Sismondi

les Principes de Ricardo, l'historien suisse Sismondi affirme le caractère historique et transitoire d'un système économique qu'on appellera plus tard le capitalisme, fondé sur la contradiction entre les intérêts des riches et des prolétaires. Ce système engendre une "mieux-value" accaparée par le capital. Les revenus distribués aux travailleurs ne sont pas suffisants pour assurer des débouchés, ce qui provoque des crises. Rejetant la loi de Say, Sismondi attaque le laisser-faire. Dans son Système

au niveau commercial pour stimuler les exportations et limiter les importations (le "colbertisme") ; - les socialistes réformateurs (début XIXème) : l'Etat intervient au niveau social afin de réduire les inégalités, promouvoir le progrès social (Sismondi, Saint-Simon) ; - les marxistes (XIXème) : l'Etat est l'instrument de la dictature du prolétariat pour renverser la domination bourgeoise et établir un système communiste (Marx) ; - l'école néo-classique (fin XIXème, Pigou, Marshall, Pareto) : l'Etat

dans ce cheminement, nous lui avons faussé compagnie à deux reprises. D’une part, nous avons emprunté un chemin plus direct, à propos du rejet de la théorie néoclassique de l’offre de travail, en suivant celui pointé par A. Smith mais tracé par Sismondi et Marx, à savoir l’asymétrie de rapport de force entre employé et employeur : l’employé ne possède que sa force de travail à offrir sur le marché pour vivre, tandis que l’employeur dispose, en plus de sa propre force de travail, des moyens matériels

subventionné par les pouvoirs publics. * Division entre les économistes : - les optimistes : qui se basent sur la loi des débouchées par JB SAY = la d de produits s ajuste automatiquement a l offre. - les pessimistes : comme T. R. MALTHUS ou SISMONDI = craignent insuffisance de la demande par excès d épargne ou par défaut de revenu. Selon MARX, le PT paupérise les salariés par une hausse du chômage d où baisse des profits par un manque de débouchés. - intermédiaire : position de D. RICARDO

56 ta te Y PetitSaconnex de Mervelet Moillebeau UIT Varembé AELE t on rm Ve UIT Sismondi 13 15 Sécheron de Sécheron France Musée des Sciences Perle du Lac M4 Montalègre Quai Be rg èr e du v d Riant Colladon Colla don Parc CEC Av en ue Maison in em de Retraite Clin. Joli-Mont Ch Varembé u HCR Collège Sismondi Rigot OMM GenèveSécheron Mines ou Lac de Genève Route Ro ri n c an Massettes y mi n

principe du relativisme : l’on doit choisir sur la base de la maximisation de ses préférences personnelles. La société est ainsi identifiée à un marché, au point de rendre très ténue la différence entre société et marché. A ce sujet, l’économiste Sismondi, auteur des Nouveaux principes d’économie politique, définissait la mondialisation d’une manière qui reste pertinente : « le genre humain ou toute cette partie du genre humain qui commerce ensemble et qui ne constitue en quelque sorte qu’un seul

distinguer ce « social-libéralisme » du socialisme ! Il est également très discutable de dire que cette école de pensée provient du libéralisme classique, s’émancipant de celui-ci au tournant du 20e siècle. Le « social-libéralisme » existe au moins depuis Sismondi, tandis que l’Etat-providence était déjà en germe dans les écrits de certains grands auteurs libéraux classiques, comme Condorcet et Thomas Paine. Le néolibéralisme : Le néolibéralisme est la version contemporaine du libéralisme

des pratiques commerciales anticoncurrentielle tels que les monopoles déloyaux). La concurrence est donc contrôlée. La coopération juridique et la législation. Le début du capitalisme est chaotique. II – Débat sur le capitalisme (Cf annexe 1) Sismondi(1850) : « le capitalisme est bon, mais il peut être la pire des choses ». → Cela crée des richesses, mais c'est un cheval fougueux, il faut tenir les rênes : il faut légiférer. → Lorsqu'il y a la Révolution française, il y a une destruction de

résultant de cette coexistence, et particulièrement celui de la justification de la bonne fortune de quelques uns face à la mauvaise fortune des autres, sont des préoccupations de l'être aujourd'hui ». 2.1.1- La pensée d’Adam Smith et de Jean Sismondi De nombreux économistes venant de divers courants économiques se sont déjà penchés sur la manière d'orienter l'économie nationale en vue d'assurer le bien-être de tout le monde. Ainsi, les théoriciens de la pensée classique ne restent pas indifférents

sont maintenus au niveau du minimum vital et qui prédit un état stationnaire sur lequel la croissance vient s'épuiser. Les autres auteurs de l'école classique sont William Petty, Richard Cantillon et John Stuart Il. Il faut également évoquer Léonard Sismondi, même si celui-ci occupe une place à part du fait de la dimension critique de ses analyses. L’école classique ne représente pas un ensemble très homogène du fait de l'absence d'un leader charismatique (comme Quesnay pour les physiocrates), du fait