Sirventès

instaure une conception de l'amour qui s'intègre au système des valeurs féodales, la fin'amor (voir courtois, courtoisie). côté de la «chanson», ou canso, le poème d'amour lyrique, les troubadours pratiquent en les adaptant des formes comme le «sirventès», qui illustrent l'autre grande veine de cette poésie, guerrière et satirique. Bertran de Born, seigneur de Hautefort en Périgord (v. 1140-v. 1215), qui écrit en satiriste et en moraliste, a recours à cette forme. Guillaume IX d'Aquitaine, comte

MARSEILLE 13007 MARSEILLE Téléphone autre : 04 91 57 67 58 (club) Mobile personnel : 0623683835 Email principal : yves.jacobi@oran ge.fr TRÉSORIER VICE-PRÉSIDENT DÉLÉGUÉ RESPONSABLE SÉCURITÉ 1710389559 M. SERAFINI PHILIPPE RES LES FLORILEGES AVENUE PAUL SIRVENT 13380 PLAN DE CUQUES RESPONSABLE SÉCURITÉ ADJOINT MEMBRE RESPONSABLE JEUNES FOOT 2000 - FFF 28/10/2010 16:33 Page 428 / 485 LIGUE MEDITERRANEE Fiches clubs : Tri par numéro de club VICE-PRÉSIDENT 1720872278 M. CAROLIN CHRISTIAN

quarantaine de poèmes qui nous est parvenue peint de façon réaliste la vie fastueuse des cours du Midi et le genre de vie noble. Dans ses Sirventès, il ne reprend pas le thème de l’amour courtois. Il termine sa vie dans un monastère cistercien où il meurt vers 1215. Réponses aux questions Question 1 : Le document proposé est un poème, plus particulièrement un sirventès qui est un poème chanté par les troubadours dans les cours des régions méridionales en langue d’oc. L’auteur est d’ailleurs un seigneur

coupe avec une profonde gravité, secouant la tête en même temps, en signe de blâme de l’intempérance du ménestrel écossais. Sur ces entrefaites, le chevalier avait rajusté les cordes, et, après un court prélude, il demanda à son hôte s’il voulait une sirvente dans la langue d’oc ou un lai dans la langue d’oui, ou enfin un virelai ou une ballade en simple langue anglaise. – Une ballade, une ballade ! s’écria l’ermite, cela vaut mieux que tous les oc et les oui de France. Je suis Anglais de pied en cap

astonishing variety of fixed forms which were defined by stanza length, rhythm, rhyme scheme and the presence or absence of a refrain. The alba (in which two lovers separate at dawn), the pastorela (where a knight converses with a shepherdess), the sirvente (which raised topical matters), the didactic ensenhamen, the reverdie, or spring song, and others besides, would evolve when lyrical poetry passed to the trouvères after the middle of the thirteenth century. The poetry of the troubadours (from trobar