Signifiant

L'Art est-il un langage ? Le problème pose sur ce que l'on entend par '' langage ''. Puis-je dire que dans l'art il y a un code arbitraire et conventionnel entre signifiant et signifié ? Dans l'Art , le lien entre le signifiant et le signifié n'est pas codifié. Il n'y a pas code. Est-ce que l'art qui se voit imposer un code est encore de l'art. Il ne faut pas répondre à cette question par un exposé d'exemple sur cette question. Peut-être peut on partir d'un constat , celui que l'art contemporain

grain », réintroduit le lecteur dans un microcosme contenant le macrocosme initiale. Le poème en prose est clôt. II- Un investissement passionnel dans la présentation de l'objet • Le signifiant (forme matérielle) et le signifié (chose qu'il désigne) (le signifié : concept, idée désigné par le signifiant) La poésie compense alors l'arbitraire du langage. > rapport entre le mot « orange » et la lettre « o » l'OR de l'Orange appelle « la colOration glORieuse du liquide » • féminisation de

sur la mise en forme. (Ex : slogan publicitaire, qui accroche.) C'est la manière de dire qui importe. Notion de signe linguistique : un signe linguistique est constitué de deux entités : le signifiant et le signifié. (Ferdinand de Saussure.) Le signifié, c'est le sens, la signification. Le signifiant, c'est la matérialité (sonore, graphique...) du signe, ce que mes sens en perçoivent. Le signe linguistique renvoie à un référent : un objet abstrait, tel un sentiment, ou un objet concret.

gestes = ex : les plongeurs, des muets/sourds. Les images = particularité d’avoir un signifiant et un signifié qui sont très proches. Toutes ces formes nécessitent un apprentissage. Signe : unité élémentaire, son assemblage crée la syntaxe. Les codes ont 3 caractéristiques : Forme physique perceptible : on doit pouvoir l’entendre, le voir, le toucher. C’est ce qu’on appelle le signifiant. Il renvoie à autre chose que lui-même : c’est la notion de signifié qui a été mis en

|l’enfant pense et se représente les choses avec des |de communication, un objet absent (un « signifié ») |réalité ? | |mots et des symboles, mais sa pensée n’a pas encore la|par autre chose (un « signifiant ») ? |Indice : c’est ce que l’on appelle couramment jouer à | |cohérence logique ni l’adaptation à la réalité de |Indice : ce schème apparaît avec la période |« faire semblant ». |

sont aussi lier pour Saussure, comme le recto et le verso d’une feuille de papier. Benveniste affirme que du point de vue psychologique, le lien entre « le signifiant et le signifié, le lien n’est pas arbitraire, il est necessaire. » cad que par exemple, le concepte, le signifier « maison » est forcement identique dans ma conscience au signifiant phonique c) La parole pour Merleau-Ponty, n’est pas simplement un bruit, mais sens egalement. Une pensee est necessairement paroles, tout comme la pensee

perçois de matériel (objet) et l’image mentale associée à cette perception. Il y a 3 constituants du signe : -Le référent èce que représente l’image -le signifié è ce que signifie l’image -le signifiant èce que l’on perçoit de l’image -Le référent = scène réelle, l’image initiale, le signe visuel -Le signifiant = L’œil récepteur, perception -Le signifié = Le cerveau, traitement intellectuel et affectif Ces 3 constituants sont indissociables pour créer le signe. C’est à cette association que la sémiologie

Texte, au contraire, est celui du signifiant, qui engendre le symbolique dans l'après-coup, comme jeu et dans son jeu (dans ses lacunes), sur le mode métonymique d'associations en réseau. - la nature du Texte est donc intégralement symbolique, fonctionnant, comme le langage, de manière décentrée et sans clôture. Tout Texte est pluriel et introduit à une dissémination du sens. Le lecteur, désoeuvré, perçoit dès lors la pluralité stéréographique des signifiants dans une promenade sans objet. Car

de la nouveauté de la création littéraire. Les figures libres se forment par substitution d'un signifiant à un autre, le signifié restant le même ("les ailes de l'espoir") . Parmi celles-ci on distingue encore les lieux communs ou clichés, souvent utilisés, et les figures d'invention, inédites, originales. Dans les figures obligées ou éteintes, un signifiant subit une extension ou un déplacement de son signifié; il n'y a pas d'autre mot disponible ("les ailes de l'avion")

linguistique est, par définition, conventionnel («codé») en tant qu’élément du système verbal. «Dire que tel ou tel mot d’une langue est «conventionnel» est un truisme, en fait, une tautologie, qui ne contient aucune indication sur le rapport entre signifiant et signifié, voire avec l’objet désigné. Ce rapport peut être parfaitement aléatoire ou, au contraire, plus ou moins motivé.»2 Dans le Dictionnaire de linguistique, nous trouvons deux définitions possibles de la motivation3. La première: «l’ensemble