Siècles obscurs

Malgré tout, il est contraint à l'exil en 1851 pendant 20 ans, jusqu'en 1870, pour avoir été contre l'empire. Durant cette période, il écrit ses œuvres majeures telles Les châtiments (poèmes, 1853), Les Contemplations (poèmes 1856), La légende des siècles (poèmes 1859), Les misérables (romans 1862). Pour ses 80 ans en 1882 il est célébré et l'avenue d'Eylau à Paris où il habitait sera rebaptisée avenue Victor HUGO par la suite. A sa mort en 1883, il est inhumé au Panthéon. Durant sa vie, il a collectionné

Le 21 décembre 2012 Travail philosophie De nos jours, la philosophie nous est souvent présentée comme une science, définition qui rend toutefois sa caractérisation difficile et son intérêt obscur par l'absence d'une méthode et d'un objet d'étude déterminés, c’est à dire très vaste. Contrairement à avant, celle-ci était le nom donné au domaine d'activité de la pensée qui portait une réflexion sur les êtres, les causes et les valeurs. Néanmoins, le but est toujours le même, la philosophie

Sokoto Fonctionnement politique Fonctionnement économique Fonctionnement militaire Conclusion Introduction Alors que le XIIXe et XIIIXe siècles représentent « les siècles obscurs » de l’Afrique, le XIXe siècle voit briller un renouveau en plusieurs zones du grand continent. Le renouveau africain est cette période (début du XIXe siècle) en Afrique qui voit naître des états solidement organisés et conquérants. Ces états émergent dans un contexte d’expansion coloniale. Le renouveau africain

XIXe siècle Néo – classicisme L’art néo-classique apparaît au 18e siècle et s’inspire de faits datant de l’antiquité greco-romaine mais privilégie l’expression par le dessin, la ligne, les compositions harmonieuses , comme nous témoigne cette peinture de Jacques-Louis David (1748-1825), réalisée en 1799 et intitulée Les Sabines Source : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/b1/The_Intervention_of_the_Sabine_Wome n.jpg document consulté le 17/05/2015 à 15h24 L’art au XIX siècle Romantisme

mystérieusement une distance face au drame de sa propre existence. C’est dans ce mystère que s’engouffre une étude sans merci des rapports humains. Un grand classique du XXe siècle dont le rythme intense orchestre autant les mots que les corps. Seuls de grands acteurs peuvent restituer toutes les dimensions de ce chef-d’œuvre en clair-obscur.

Marion Margalejo 1ere ES3/L Dossier de Littérature Image 1 : Source : Wikipédia Titre: Still-Life with a Skull Date: 1ere moitié du XVIIe siècle Peintre : Philippe de Champaigne Dans cette peinture, le peintre veut montrer que la vie est éphémère et que nul ne peut échapper au cycle de la vie à savoir : naître, vivre et mourir. La vie ou la naissance, est ici symbolisée par la fleur qui est en train de s’ouvrir, pleine de vie et fraîchement coupée elle représente donc la vie humaine

la forme d’une quête initiatique aux frontières de l’humain. Rien ne lui est épargné : déshumanisation, effacement de l’homme derrière la machine, hostilité de l’environnement, perfidie de l’altérité, solitude. Graphiquement, Hugo choisit le clair-obscur pour représenter Gilliatt. La fin du roman coïncide avec la disparition de Gilliatt, symbolisé par un œil qui n’a plus rien d’humain. À ce moment précis se retrouvent la présence continue des oiseaux, la douceur inquiétante de la mer, l’ombre. La

Dossier histoire des arts Allégorie au fil des siècles Vanité, ou Allégorie de la vie humaine Philippe de Champaigne Première moitié du XVIIe siècle 26 mai 1602- 12 août 1674 Huile sur bois, nature morte Nationalité: basque espagnol puis français 28 x 37 cm Musée de Tessé

Depuis le xviiie siècle, la « fabrique » (c'est-à-dire l'industrie de la soie) a fait de Lyon la première ville ouvrière de France. Au début du xixe siècle, l'arrivée des métiers à tisser de grande taille (tels que les métiers Jacquard) va profondément modifier le travail de la soie, mais également le mode de vie des ouvriers. Les anciens couvents de la Croix-Rousse, aux plafonds très élevés, sont parfaits pour héberger les premières mécaniques, mais très vite il faut de nouveaux immeubles pour y

Conservation : Musée Carnavalet (Paris) Avec cette toile, le peintre installe le spectateur sur la chaussée, au coin de la rue de la Chaussée-d’Antin et du boulevard des Capucines. Cette partie du Boulevard est l’une des plus en vogue au XIXe siècle : longée par la rue Basse-du-Rempart jusqu’à l’aménagement de la place de l’Opéra à partir de la fin des années 1850, elle abrite magasins chic, cafés et restaurants à la mode et cercles mondains. Offenbach a habité (et est mort) au 8 boulevard