Shining

(Grateful Dead, Jefferson Airplane, Big Brother and The Holding Company). Tomorrow Never Knows – The Beatles Turn off your mind, relax and float down stream It is not dying It is not dying Lay down all thought Surrender to the void It is shining It is shining That you may see The meaning of within It is being It is being That love is all And love is everyone It is knowing It is knowing That ignorance and hate May mourn the dead It is believing It is believing But listen to the color of your dreams

cette figure n'est pas la seule. Souvent dans les films qui nous font peur, on retrouve des enfants. La figure de l'enfant connecte a des peurs ancestrales elle-même reliée au peur vicérale se developpant durant l'enfance. Par exemple, dans le film Shining de Stanley Kubrick, les jumelles terrorisent le spectateur en le perturbant en créant un décalage entre leurs âges et leurs actions. Mais le rôle de l'enfance ne s'arrête pas la ; ainsi on peut retrouver une peur hors du contexte d'un cinéma d'horreur

logiquement et historiquement la modernité du cinéma. On peine à croire que le choix du « shining » de Stephen King – au titre évoquant le don visionnaire, lumineux et clairvoyant d’un enfant qui le sauve de sa perte dans un monde de fantômes -, soit complètement fortuit pour un Kubrick à présent déterminé à nous révéler une transparence de la machine – à défaut de nous la clarifier. Avec « shining », Kubrick ne choisit pas seulement une histoire de terreur fantastique qu’il entend raconter

plusieurs cinéastes ce sont inspiré des méthodes de Kubrick. L’espace : Kubrick à une utilisation particulière de l’espace. Elle est même très importante dans l’ensemble de ses films, mais en particulier dans Shining et 2001 : L’Odyssée de l’Espace. Dans la scène de Shining ou le petit garçon se promène à vélo, elle représente bien le point de vue spatial qu’utilise Kubrick. Les couloirs sont étroits et ne finissent plus, les sons sont assourdissant. Donc l’espace dans cette scène joue un

serious job and a steady girlfriend in England. We didn’t see each other very much, and he had wanted to spend his vacations with me. He had taken me to Phuket. I was 10 at the time, and everything I saw made me marvel. The birds singing, the sun shining, the waves crashing on the rocks, the wind blowing… I was very naïve at the time, and my brother meant everything to me. He was the one I told everything to, the one who could easily comfort me, and the one who’d always make me laugh. He really meant

Meurtre dans la garderie (The Brood) YouTube - excerpt from The Brood (1979) Une maîtresse d’école qui se fait tuer sauvagement avec des jouets dans une garderie devant les yeux d’enfants de cinq ans. Fucking insane. WTF!? (The Shining) YouTube - The Shining - the most rare scene T-A-B-A-R-N-A-C-K! Comment tuer avec un trottoir (American History X) AMERICAN HISTORY X est certainement parmi les films cultes les plus dépressifs sur le marché. Le thème de base du film est déjà extrêmement

préservent les caractéristiques d’un huis clos tout en diversifiant les lieux et ce en utilisant un nombre plus au moins élevé d’espace, comme un lycée dans The Breakfast Club, un train dans Murder on the Orient Express ou une maison entière dans The Shining. Jacques Aumont parle alors de « films se déroulant dans une vaste propriété composée de plusieurs lieux distincts mais formant un tout… ».3 Alfred Hitchcock arrive même, grâce à l’un des premiers longs métrages du genre, 1 PREDAL René, « La

trois termes se rattacherait l’adaptation. Lorsque Stanley Kubrick s’attaque à l’adaptation de The Shining, roman de l’écrivain américain Stephen King, il ne conserve qu’une partie de l’intrigue qui ne devient alors qu’un prétexte permettant au réalisateur de composer une nouvelle variation, une nouvelle plongée dans un univers complexe mais cohérent, celui qui lui est propre. The Shining devient alors tout autant le film de Stanley Kubrick que le roman de Stephen King. Le langage bien sûr,

des informations qualitativement différentes mais cependant toutes au service de la narration et/ou du propos artistique, formel, plastique, tant du point de vue de l’image que de celui –paradoxalement- du son. La caméra portée (la Steadicam) : Shining de Stanley Kubrick, images de Garret Brown, est le film prototype de la réalisation avec le procédé Steadicam, il s’agissait alors de suivre un enfant emporté dans une course dans les couloirs d’un très grand hôtel. Ce procédé permet de maintenir

arrière et qu’on s’intéresse aux réactions suscitées sur le moment par les films de Kubrick, on s’aperçoit qu’ils furent tous, à l’origine, mal compris. Puis, au bout de cinq ou dix ans, on a finissait par se rendre comte que Barry Lyndon ou 2001 ou shining ne ressemblaient à rien de ce qui avait précédé ou suivi. » Kubrick : auteur souvent incompris, qui fait l’objet de multiples controverses, soit admiré, soit détesté, mais il ne laisse jamais insensible !  Il a une conscience esthétique du cinéma