Shakespeare Macbeth Registre

quotidienne. Les acteurs faisaient leur représentation de la farce sur des tréteaux dans la rue.(ex : La farce de maître Pathelin 1464). Théâtre Elisabéthain (1572-1642) Shakespeare était un grand auteur de cette époque. Il est né en 1564 à Stratford-on-avon en Angleterre . Son père était un bourrelier , marchand de laine . William Shakespeare est le second de 6 enfants . A 18 ans il décide de partir de chez lui , on le retrouvera plus tard dans une troupe de comédien « du Lord Chambellan » . Il ne deviendra

Hamlet de Shakespeare William Shakespeare (1564 – 1616) né a Stratford-upon-Avon ou il commença sa carrière d’acteur. Il a écrit une série de sonnets de caractères intimes en ayant un protecteur, le comte de Southampton. Il a écrit 37 pièces, de la comédie à la tragédie. Quatre tragédies légendaires : Hamlet (la plus longue), Le roi Lear (la plus connue), Macbeth et Romeo et Juliette. Ce passage est extrait de l’acte III, scène 2 ou la pièce La Souricière est jouée devant le roi et sa cour

ainsi que la Rome antique avec des dramaturges tels qu’Euripide pour la Grèce et Sénèque en Rome. Puis vient le théâtre Moyenâgeux avec des auteurs peu connus, et enfin le début de l’apogée du théâtre moderne, dès le XVI° siècle avec notamment Shakespeare, et Molière ou encore Racine au XVII° siècle. Le théâtre est de nouveau très présent au XIX° siècle où il s’exporte dans les pays Baltiques et en Europe de l’Est (Russie, Pologne, Suède...). Afin de mieux se rendre compte de l’état d’esprit des

les personnages de la pièce. Pour mieux s’impliquer dans leur époque, les dramaturges dénoncent les vices des hommes de leur temps. Ainsi, Molière s’attaque dans Le Tartuffe aux faux dévots et à leur hypocrisie. Bien plus tard et dans un autre registre, au XXème siècle Michel Vinaver écrit 11 septembre 2001 qui relate les attentats aux Etats-Unis. Sa volonté étant d’être le plus possible ancré dans la réalité, il reprend des bribes de paroles ayant vraiment existées lors de l’attentat et il met

Pour ce faire, il utilise le présent de l’indicatif avec le verbe être à plusieurs reprises. Il désigne les faits très brièvement et avec brutalité. Pour finir, Victor Hugo utilise le registre pathétique pour caractériser la guerre en tant qu’horreur. L’épigraphe de William Shakespeare, extrait de Macbeth « O horror ! Horror ! Horror ! » fait en sorte que l’on visualise l’horreur de la description de ce massacre. On peut apercevoir le champ lexical de la destruction : « sombre », « pleurs »

représentée ainsi en 1888, avant d'être jouée en 1896 par la troupe de Lugné-Poe au théâtre de l’Oeuvre où elle est souvent chahutée. La pièce est publiée la même année. La dédicace (le Père Ubu hoscha la poire, dont fut depuis dénommé par les Anglois Shakespeare) confond Ubu avec le dramaturge anglais, donnant le ton de l'oeuvre, baroque, bouffonne et satirique par les personnages et les thèmes qu'elle présente. À l'origine d'Ubu, existe, écrite par des générations successives d'élèves du lycée de Rennes

drames |au XVII° siècle. | | | | | | |Shakespearien, dont Macbeth, Roméo | | | | | | | |et Juliette, Le roi Lear.

1. Les réactions du lecteur Le caractère inattendu et provocateur du langage est sensible à travers la grossièreté, le mélange des registres, l'inappropriation du langage aux personnages. Le lecteur peut en être choqué. 1. La grossièreté : elle est sensible dans la reprise de certains termes, dérivés de mots vulgaires. Merdre ouvre et ferme la scène, d'abord dans la bouche d'Ubu puis dans celle de Mère Ubu à deux reprises. On en retrouve quatre occurrences, redoublement souligné

  4. Les références théâtrales •    la tragédie o    C'est principalement à Shakespeare que Jarry renvoie, et ce dès l'épigraphe : « Adonc, le père Ubu hoscha la poire, dont fut depuis nommé par les Anglois Shakespeare », et jusqu'à la dernière scène, où le bateau des fuyards double la pointe danoise d'Elseneur, où se déroule la pièce d'Hamlet. La première scène reprend le premier acte de Macbeth, où Lady Macbeth convainc son mari, fait « thane de Cawdor » par Duncan, comme Ubu comte de Sandomir

le comportement de ses convives lorsqu’il les invite à dîner : ils doivent rire quand Caligula le veut et pleurer lorsqu’il le désire sous peine d’être puni voire exécuté. Leur liberté se retrouve réduite à néant. De la même manière, dans MacBeth de Shakespeare, le roi d’Ecosse est au cours de la pièce dévoré par l’ambition et devient alors un tyran incontrôlable capable de tuer n’importe quel individu constituant une menace potentielle à son pouvoir absolu. Ainsi, la tragédie au sens large (pas