Serpent de mer

niais des falots ! Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte pénétra ma coque de sapin Et des taches de vins bleus et des vomissures Me lava, dispersant gouvernail et grappin. Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème De la Mer, infusé d'astres, et lactescent, Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême Et ravie, un noyé pensif parfois descend ; Où, teignant tout à coup les bleuités, délires Et rythmes lents sous les rutilements du jour, Plus fortes que l'alcool, plus

aux serpents, aux rats, au vent surtout, car c’était leur véritable famille ». On assiste ici à la fois à une réification* de l’homme, mais également à une personnification du désert, une sorte d’entre-deux où chacun a pu trouver le juste milieu pour se fondre à l’autre. La place de la nature y est très importante. Le Clézio n’hésite pas à faire de nombreuses énumérations « ce sable, ces pierres, ce soleil, ce silence, cette douleur » l.3, ou encore « au sable, aux chardons, aux serpents, aux

l'intelligence; Sous la nature enfin découvre son auteur! Une voix à l'esprit parle dans son silence, Qui n'a pas entendu cette voix dans son coeur? Le serpent qui danse . Charles baudelaire (1857) : Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau! Sur ta chevelure profonde Aux acres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain

magique de Dieu) s'est envolé dans l'air. Adam, désemparé et sans doute aussi irrité par son comportement insolent, voulait que son dos. Sur demande d'Adam, Dieu a envoyé trois anges, nommée Senoy, Sansenoy, et Semangelof, qui l'a trouvée dans la mer Rouge. Malgré la menace des trois anges qui, si elle ne revenait pas à Adam d'une centaine de ses fils meurent chaque jour, elle a refusé, affirmant qu'elle a été créée expressément pour nuire aux nouveau-nés. Toutefois, elle ne jure qu'elle ne nuirait

La beauté : ….....................................................Page 8/9 2.4) La géante : …...................................................Page 10/11 2.5) Bien loin d'ici : …............................................Page 12/13 2.6) Le serpent qui danse : …...............................Page 14/15 2.7) Les bijoux : …..................................................Page 16/17 Préface : Amis lecteurs, vous n'avez sans doute pas l'habitude de fréquenter les recueils poétiques des siècles

des eaux douces et également des tempêtes et des tremblements de terre. Il est le fils de deux Titans : Cronos et Rhéa. Son palais se trouve dans la mer Egée.   Attributs Le trident qui est un cadeau des Cyclopes. On lui attribue aussi le taureau, les dauphins, les chevaux. Il a des chars et des chevaux (mi-chevaux, mi-serpents). Des sabots d’Airain. Un chariot d’or qui apaise les tempêtes.   Ses amours Comme son frère Zeus, on lui prête beaucoup d’aventure hors

farouche résistance de la terre à l'heure de la création […] Toutefois, pour monstrueux qu'il fût, ce chaos n'était pas sans harmonie. Le caressant travail de la mer calmait ces terres en rébellion en tirant sur leur fouillis les traits réguliers de ses plages » (RB p160). On peut remarquer une certaine dualité entre la terre et la mer, le chaos et l'harmonie, l'endroit où il vont et l'endroit d'où ils viennent. Ce clair-obscur invite à craindre ce nouvel espace inconnu, et met en relief

Comme d'autres esprits voguent sur la musique, Le mien, ô mon amour ! nage sur ton parfum. J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève, Se pâment longuement sous l'ardeur des climats ; Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève ! Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts : Un port retentissant où mon âme peut boire A grands flots le parfum, le son et la couleur ; Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire, Ouvrent leurs vastes bras

l'oeil niais des falots !Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,L'eau verte pénétra ma coque de sapinEt des taches de vins bleus et des vomissuresMe lava, dispersant gouvernail et grappin.Et dès lors, je me suis baigné dans le PoèmeDe la Mer, infusé d'astres, et lactescent,Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blêmeEt ravie, un noyé pensif parfois descend ;Où, teignant tout à coup les bleuités, déliresEt rythmes lents sous les rutilements du jour,Plus fortes que l'alcool, plus vastes

qu’ils voudront garder de toi, et c’est ce sourire qu’ils ressasseront et ressasseront encore rien ne sera changé, bien au contraire, et ce sourire aura aggravé les choses entre vous, et ce sera comme la trace du mépris, la pire des plaies -> le mer fait le plaidoyer d'A +S ellle les excuse de leurs mladresse -> reproche à Louis : blame pour le peu de temps qu'il leur accorde + reproche cruel : double sens -> procés d'intention : pessimiste + discours indirect + parle à sa place = croit