Sergio Leone

temps chronologique, le cinéma permet de manipuler le temps. Il crée un nouveau temps, le temps fluide. Ce temps fluide est modulable, on peut le compresser ou le dilater, un exemple célèbre est celui de « il était une fois dans l'ouest » de Sergio Leone, la scène du duel, où lors d'un flashback cultissime dans l'histoire du cinéma puisque à ce moment, le motif de la vengeance de l'Harmonica est révélé, quand l'Harmonica, (Charles Bronson) était enfant, Frank a tué son frère aîné de façon cruelle

Bacall impose une nouvelle sensualité en tapant une cigarette sur le dos de sa main dans Le port de l’angoisse, Marlon Brando glisse une cigarette dérrière son oreille dans Un tramway nommé Désir, Clint Eastwood mâchouille le cigarillo pour Sergio Leone... Les cigarettes dans leurs façon de les allumer, de les fumer, les écraser, résument l’art des comédiens. Un exemple de star: Audrey Hepburn et sa baguette magique. Durant toute sa carrière, elle fuma de manière sophistiquée, elle tenait la

dont l’impact visuel renforce l’effet souhaité. Par exemple, peu avant un affrontement entre les deux gangs, il combine un gros plan sur les bottes de Tybalt et une musique évoquant les compositions d’Ennio Morricone pour les westerns spaghetti de Sergio Leone. Cet effet parodique est renforcé par de gros plans sur les yeux et les pistolets chromés dont la crosse figure des représentations de la Vierge ou les armoiries des deux maisons ennemies. Ce genre de clin d’œil parodique propre à moderniser l’histoire

mercenaires étaient très autonomes les uns par rapport aux autres et n’opéraient qu’en petits groupes: ils n’étaient ainsi que quelques centaines au Katanga en 1961 et au Biafra en 1968, quelques dizaines au Comores en 1978, au Tchad en 1982 et au Sierra Leone en 1995. Mais les années 1990 ont vu apparaître un tout nouveau phénomène avec le développement de sociétés de mercenariat qui n’ont plus rien à voir avec les « chiens de guerre » incarnés par Bob Denard. Ces sociétés puissantes, organisées

L'idiot 1952 : Vivre 1954 : Les Sept Samouraïs avec le remake américain Les Sept Mercenaires. Des brigands attaquent des villageois, ceux-ci recrutent alors 7 samouraïs pour se défendre. 1958 : La Forteresse Cachée 1961 : Le Garde du corps, Sergio Leone en fait un remake avec Pour une poignée de dollars. Il est connu par les remakes de ses films qui ont été faits aux États-Unis. Les films de Kurosawa ont tous une dimension climatique extrêmement importante. Kenji Mizoguchi ( 1898-1956 ) est

Changeling is inderdaad overvol - met name in het laatste kwartier had flink kunnen worden geschrapt - maar wel goed gespeeld en daardoor meeslepend. Doc 2 : Lang was Clint Eastwood vooral als acteur bekend om zijn ruwe kop in de spaghettiwesterns van Sergio Leone. Hij bleek nog meer in zijn mars te hebben toen hij, ook als regisseur en producent, na het oscarwinnende Unforgiven uit 1992 geen westerns meer maakte. Eastwood ging zich concentreren op dramatische thema’s rond geweten en schuld in relatie tot

comme un thriller, bifurque vers le manga et s’achève par un hommage encore plus marqué des films de samouraï et d’action asiatique des années 70 que Tarantino affectionne particulièrement. Le second volet rend notamment hommage aux westerns à la Sergio Leone qui parsèment le film. On a également une référence au film La mariée était en noire* de François Truffaud qui se rapporte au thème de la vengeance d’une jeune mariée. Boulevard de la Mort (2007) : Ce film est extrait de la saga Grindhouse.

de connivences, de complémentarités en fait naturelles. De dévoiler les rapports étroits, plus qu’intimes, entre les choses. Pour prendre un second exemple un peu plus gai, la scène finale du duel à trois dans Le bon, la brute et le truand, de Sergio Leone. Si les trois personnages du film se retrouvent ensemble pour livrer ce combat, c’est parce qu’à eux trois, par les haines réciproques qu’ils se portent les uns pour les autres, ils révèlent leur ténacité commune, leur côté bagarreur, leur roublardise

savent l’être les imbéciles, qui dégaine et qui tire sans réfléchir, fûtce sur le serveur du restaurant. Le grand talent de Scorsese est de ne jamais être didactique. Le sang et la violence s’imposent donc, avant même le début de l’histoire. Un Sergio Leone, un Peckinpah ou un Brian De Palma eût-il tourné cela que beaucoup eussent hurlé à la gratuité et à l’outrance. Mais aussitôt un carton surgit sur l’écran : «This is a true story». Il y a un certain temps que Scorsese tournait autour de la mafia

dit que c'est lui qui à fait de la projection filmique un art -il a créer le 1er studio de cinéma à Montreuil -il a réalisé des tableaux sous forme de théâtre filmé (en se mettant à la place du spectateur) La bon, la brute et le truand de Sergio Leone 1966 (scène dans le désert) -4 entrées successives par l'avant champ -le héros entre en hors champ pour renforcer son charisme Scream de Wes Crover 1997 (scène où le proviseur se fait tuer dans son bureau) -le masque à était réalisé en rapport