Serge Thériault

Vers la fin de l’automne 1915 Edgar Varèse présenta à Picasso le brillant jeune Jean Cocteau, âgé de 26 ans, l’un des avant-gardistes français. Ce poète poussé à connaître Picasso, pour la seule raison de nourrir le projet de faire monter un spectacle par les ballets russes de Diaghilev, des plus audacieux en modernisme parisien. A Paris depuis 1909, Diaghilev a présenté les ballets les plus appréciés par le public, et sont tirés soit de livres de contes de fées, soit du folklore, soit de la mythologie

                                                                                                   Serge  Lifar     Qu’est-­‐ce  que  le  ballet  ?  La  réponse  semble  simple  :  un  spectacle  où  l’action  scénique   s’exprime  par  la  danse,  avec  le  concours  du

sur l’œuvre. Le Sacre du Printemps d’Igor Stravinski Extrait étudié : les augures printaniers-danse des adolescentes Ballet pour la saison russe à Paris, œuvre qui veut montrer ce que les artistes russes savent faire. Mécénat / commanditaire : Serge de Diaghilev Chorégraphe : Nijinski Genre : ballet (savoir répondre à la question : Qu'est-ce qu'un ballet?) Style : musique russe « d’avant-garde » en 1913. (C’est-à-dire en rupture avec la tradition classique et romantique) Formation : grand

Société française et politique en France et en Europe de la Révolution à la Seconde Guerre mondiale. Ouvrages généraux : Serge Berstein, Pierre Milza, Histoire de la France au XX siècle, Tome 1, 1900-1930, Paris, Perrin, 2009. François Démier, La France du XIX siècle, 1814-1914, Paris, Le Seuil, 2000, (Points Histoire). Jean-Marie Mayeur, La Vie politique sous la Troisième République, 1870-1940, Paris, Le Seuil,  1994, (Points Histoire). Marc Nouschi, le XXe

lecture Les nouveaux chiens de garde – Serge Halimi « Révérence face au pouvoir, prudence devant l'argent : cette double dépendance de la presse française crée déjà les conditions d'un pluralisme rabougri. Mais on ne peut s'en tenir là. Tout un appareillage idéologique conforte la puissance de ceux qui déjà détiennent autorité et richesse. La somme des sujets tenus à distance et des non-sujets matraqués en permanence étend le royaume de la pensée conforme. » - Serge Halimi, Les nouveaux chiens de garde

NRF-Gallimard, 1942 ; rééd. in Œuvres complètes, NRF, tome 1, 1999 Michel Collot, Francis Ponge : entre mots et choses, Seyssel, Champ Vallon, coll. « Champ poétique », 1991, 272 p. (ISBN 2-87673-113-4) Serge Martin, Francis Ponge, Paris, Bertrand-Lacoste, coll. « Références », 1994 Serge Martin, article « Francis Ponge » et analyse du Parti pris des choses, dans Le Robert des grands écrivains de langue française, 2000, ad vocem

La Marseillaise version reggae de Serge Gainsbourg Aux armes et caetera Problématique: En quoi la version de la Marseillaise de Gainsbourg s’inscrit-elle parfaitement dans la thématique « Ruptures et continuités »? I/ La Marseillaise avant Gainsbourg Rouget de Lisle chantant La Marseillaise, par Isidore Pils, 1849 Revoir l’étude d’éducation civique « La Marseillaise, un symbole de la République » Quelques dates clés à retenir: - 25 au 26 août 1792 : composition de La Marseillaise

mélodie, sans le texte. Formulent des hypothèses, échangent. Musique électronique avec des extraits d’enregistrements (samples). Pascal Conrod, Conseiller pédagogique en éducation musicale du Doubs Quatrième séance : Aux armes et cætera – Serge Gainsbourg – 1979 Plage 9 (extrait de 1’40) Le détournement, la transgression, l'objet du scandale Déroulement Rôle du maître Rôle des élèves, éléments de réponse Première écoute de l’extrait. 2’ Courte consigne pour être attentif

début, la Marseillaise a été mise en musique sous différentes formes, avec ou sans chant. Rouget de Lisle a écrit 6 couplets et le 7ème couplet a été ajouté plus tard. Plusieurs autres artistes ont repris cette musiques dans leurs chansons comme Serge Gainsbourg dans : Aux Armes Et Cætera ♣ ♣ La version jouée aujourd'hui lors des cérémonies officielles est une adaptation de la version de 1887. Par ailleurs, le célèbre chant a été adapté par des musiciens de variété ou de jazz et a eu de nombreux

Klarsfeld, 1978. Bibliographie[modifier | modifier le code] Serge Klarsfeld, Le Mémorial de la Déportation des Juifs de France, Paris, Beate et Serge Klarsfeld,‎ 1978. David Olère L'Œil du témoin, Fondation Beate Klarsfeld, Paris 1989 David Olère et Alexandre Oler, Un Génocide en héritage, éditions Wern, ISBN 2-912487-35-8 David Olère, An Artist in Auschwitz David Olère, La révolte du Sonderkommando, après la seconde guerre mondiale. Serge Klarsfeld. Mémorial de la Déportation des Juifs de France