Sénat conservateur

la république française » par l'Assemblée nationale élue. Mais la république n'est véritablement consacrée qu'en janvier 1875 par le vote de l'amendement Wallon qui stipule que « Leprésident de la république est élu à la majorité des suffrages par le Sénat et la Chambre des députés réunis en Assemblée nationale. » « Nous avons un roi, sauf l'hérédité » remarque Louis Blanc : si l'on dresse la liste des compétences présidentielles sous la iiième république, on est plus proche de 1830 que de 1848. Sous

de leur choix et soutient que « cela violerait le droit du juge garanti par l'article 133 de l'Acte de l'Amérique du Nord britannique », Hugo de Granpré clot son article avec les propos de la libérale Claudette Tardif, marraine du projet de loi au sénat. Cette dernière décrédibilise l’argumentation du gouvernement en rappelant qu’ils parlent bien « dans la loi de la compréhension sans l'aide d'un interprète. Alors, le juge ne perd aucunement le droit d'utiliser la langue de son choix ».2   La presse

complexe : - manque de discipline militaire - Incompétence des sénateurs-généraux (parfois achetés par Jugurtha) Les populares n’auront de cesse de dénonçaient cela. Marius arrivera en Numidie en 109 avec son protecteur, le consul Metellus. Les conservateurs estiment que la carrière d’un homme nouveau doit-être lente. Il se présentera au consulat contre l’avis de son protecteur et sera élu en 107. Marius, dans la droite ligne des populares, fondera une propagande sur l’incompétence des sénateurs

aussi à cause de leur malhonnêteté, certains se font achetés par Jugurtha. Les soldats ne suivent aucune discipline, ils préfèrent le pillage aux combats et très vite cela devient un scandale politique. Les populares critiquent les généraux issus du sénat pour leur incompétence. Un membre de la famille de Cacili est envoyé en Afrique et il emmène Marius qui se fait vite remarqué par ses succès militaires. En 108 av JC, Marius décide de se présenter au consul contre l’avis de son patron qui lui aurai

républicain conservateur demande d’ouverture des travaux sur la future constitution. 30 janvier 1875 = amendement Henri Wallon « le président de la République est élu à la majorité absolue des suffrages par le Sénat et la chambre des députés réunis en Assemblée Nationale. Il est nommé pour sept ans » voté. Décisif pour la Republique = établit l'impersonnalité de la fonction présidentielle. Sont ensuite votée les trois lois constitutionnelles qui fixent le régime. loi du 24 février 1875 sur le Sénat, établit

prochaine forme de République : il introduit l'idée d'un président de la République. L'amendement Wallon sers à préparer un régime républicain, étant donné que la Restauration est pour l'instant compromise. Les réformes suivantes mettent en place un Sénat afin de contrer l'hégémonie de l'Assemblée. La République ainsi définit serait conservatrice ; comme le voulait le peuple (las du provisoire). La majorité (à l'Assemblée) pensait alors que ces institutions étaient suffisamment conservatrices pour pouvoir

le sujet en profondeur, il est nécessaire de définir qu’est-ce le sénat ainsi que de savoir comment fonction le système d’organisation politique en France. La France est une République constitutionnelle qui repose sur le principe de la séparation des pouvoirs : exécutif, législatif et judiciaire. Plus précisément, le pouvoir législatif est bicaméral c’est-à-dire que le parlement est divisé en deux chambre une chambre haute (Le sénat) et une chambre basse (Assemblé Nationale).Cette organisation politique

sièges à pourvoir : 400 monarchistes (214 orléanistes et 186 légitimistes) – 150 républicains – 80 libéraux – 15 bonapartistes. L'assemblée est donc monarchistes mais ils ne sont pas un bloc uni, la plupart sont nobles. Il y a donc une majorité de conservateurs mais hétérogénéité de ceux ci. Division du camp monarchiste car deux prétendants au trône : le descendant de Charles X et celui de Louis Philippe. Légitimistes : monarchistes demeurés fidèles après la révolution de 1830 à la branche aînée de

vote d'un amendement (amendement Henri Wallon, 353 pour, 352 contre). Après l'acceptation du principe républicain l'Assemblée vota les trois lois qui forment la Constitution de la IIIème République : la loi du 24 février 1875 sur l'organisation du Sénat, la loi du 25 février 1875 sur l'organisation des pouvoirs publics, la loi du 16 juillet 1875 sur les rapports entre les pouvoirs. Section 2. La IIIème République : 1875-1946 171. Construites pour une monarchie parlementaire les institutions politiques

Thiers prend fin et propose l’élection d’un nouveau président de la République, proposition qui recueille elle aussi la majorité. Il est aussitôt procédé à l’élection par l’AN d’un nouveau président, le Maréchal de Mac-Mahon, qui est non seulement conservateur, mais de surcroît, monarchiste. Le 30 novembre 1873 est adoptée la loi sur le septennat : « Le pouvoir exécutif est confié pour sept ans au Maréchal de Mac-Mahon, à partir de la promulgation de la présente loi ; ce pouvoir continuera d’être exercé