Semaine des barricades

démocratie, né de la révolution de février, est-il devenu une illusion à la fin de l’année 1848 ? Comment le lyrisme, l’explosion d’enthousiasme collectif et unificateur né de la chute de la Monarchie de Juillet est –elle devenu illusoire quelques semaines après la formation d’un gouvernement provisoire de la nouvelle République ? Pour le savoir nous étudierions l’évolution de la vie politique française du 22 février, début du mouvement insurrectionnel parisien de février contre le gouvernement Guizot

rallie progressivement (à partir de 1958) à l’idée d’une « Algérie algérienne » et s’oppose donc aux personnes approuvant l’Algérie française. Ils s’opposent au gouvernement en provoquant à Alger une première série de manifestations avec la semaine des barricades en janvier 1960. Tentative de coup d’Etat militaire en avril 1961 (putsch des généraux).Le pouvoir gaulliste est mis à l’épreuve, de Gaulle utilise son pouvoir exceptionnel de l’article 16 de la Constitution. Il poursuit ses négociations avec

Négrel. Hennebeau songe à profiter de la grève pour absorber la mine de Deneulin. Arrive une délégation de mineurs. Maheu, qui a accepté de la conduire, expose les revendications de ses camarades. Étienne exprime sa volonté de changement social. Deux semaines plus tard, la grève est générale, sauf au puits Jean-Bart. Le silence règne sur le coron. Les mineurs tiennent, bien que la caisse de prévoyance soit épuisée. Une scène violente se déroule chez les Maheu. Chaval accuse Étienne de coucher avec Catherine

révolution populaire et le retour de la réaction.La dernière phase de cet ascendant révolutionnaire, s’achève avec les journées de juin.Les ateliers nationaux ferment le 21 juin 1848 et provoque une énième révolte populaire réprimée férocement.Des barricades sont construites autour de Paris (journées de juins), et 1 500 personnes sont tués, 11000 emprisonnées, et 3448 déportés dans des bagnes en Algérie.L’Importance de la répression met fin jusqu’en 1871 aux contestations populaires, plus d’émeutes

représentants supposés du gouvernement, élève des barricades et fraternise avec la troupe. Deux généraux, Claude Lecomte et Clément Thomas (responsable de massacres en juin 1848), sont fusillés rue des Rosiers (en partie rue du Chevalier-de-La-Barre actuelle). C'est le début de l'insurrection. Thiers gagne Versailles. Environ 100 000 Parisiens, surtout provenant des quartiers chics de l'ouest parisien ou fonctionnaires, l'y suivent. Il semble qu'au cours des semaines suivantes, une bonne moitié de la population

Le travail et les conditions de vie des chevaux Le travail des chevaux était extrêmement éprouvant. Les chevaux devaient en effet tirer des berlines remplies de charbon pendant des kilomètres. Les chevaux après leurs descentes avaient deux semaines d’adaptation à la mine avant de commencer à travailler. Un cheval travaille pendant 8 heures au fond des galeries, après ce temps de travail, il a 8 heures également de repos dans une écurie aménagée dans la mine. Les chevaux ne sortent pas de la

sociale va basculer rapidement vers le conservatisme dès juin 1848. A.2/ Le refus d'une république démocratique et sociale • Supports : doc 3 p.121. • Activités : questions du document. R 1. Au premier plan, l’armée prend d’assaut une barricade érigée par les insurgés, tandis qu’au second plan des tireurs embusqués dans les immeubles tentent de repousser l’offensive. R 2. L’auteur suggère la violence des combats de plusieurs manières : par les cadavres et la scène de combat au corps à

peste éclate à Bordeaux et force Montaigne à fuir ses terres (de septembre 1586 à mars 1587). Pendant cette période de troubles politiques, de souffrances physiques (ses déplacements entre Paris et Bordeaux le contraignent à chevaucher durant des semaines, ce qui aggrave son handicap), Montaigne continue à réviser et à augmenter les Essais. Il rentre chez lui en mars 1587 pour retrouver son domaine dévasté par la guerre et la peste. En janvier 1588, à 55 ans, Montaigne part à Paris pour faire imprimer

Gaulle ambiguë. 1959 : propose l’autodétermination ac 3 solutions : cessation, francisation ou association, mais en même temps la G est poursuivie. But : contrôler tout le territoire algérien = réaction des pieds noirs qui se sentent trahis= semaine des barricades en janv 1960, Putsh des généraux. Création de l’OSA (Organisat° de l’Armée Française) contre indépend. 18 mars 1962 : accords d’Evian. Juil 1962 : indépendance. C- Indépendance douloureuse 1- Les rapatriés Français d’Algérie (pieds

Septembre Le GPRA refuse la proposition de De Gaulle. Il exige l'indépendance totale avant toute discussion.   28 Novembre Ben Bella et les dirigeants arrêtés en 1956 sont désignés comme négociateurs par le FLN . 24 Janvier 1960 Début de la semaine des barricades à Alger. 22 morts et 150 blessés le premier jour.   5 Septembre Discours de De Gaulle. "L'Algérie algérienne est en route". Procès à Paris des membres du "réseau Jeanson" de soutien au FLN. Octobre Rafles d'Algériens à Paris et en banlieue