Segmentation S Evian

chinois étant un marché quasi inexistant, le groupe avance doucement avec sa marque Bio (Activia), adaptée au marché chinois. Seulement, Danone risque bien de ne plus attaqué le marché des eaux en chine… 1.2. Divisions et produits de la société La segmentation des différentes divisions de la société Danone à fortement évolué au cours de son existence. Grâce à ses diverses acquisitions, la société a sans cesse attaqué des nouveaux marchés. Elle fut donc présente sur les marchés de la bière, des pâtes

millions de passagers ont voyagé en long courriers, 3 millions de passagers en classes Affaires et Premières et 66 % représentent la catégorie CSP+. Suite à une étude commandée au cabinet conseil WPP (Aded Value Icon), Air France se base sur une segmentation comportementale qui consiste à découper son marché en différents groupes de clients en fonction de leurs connaissances, expériences et attitudes à l’égard du produit. Par exemple, lors d’une campagne promotionnelle ciblant la classe affaires, une

dernier est entré en 1943. Le sigle BSN est adopté en 1967. Après l'échec de l'OPA (la première en France !) sur Saint-Gobain en 1968, Antoine Riboud jette son dévolu sur l'agroalimentaire et se lance, dès 1970, dans la bière (Kronenbourg), l'eau \(Evian), l'épicerie (Amora..). En 1973, la fusion de BSN avec Gervais Danone se fait sous la forme d'échanges d'action. 1979 : BSN se désengage de son activité verre plat. Antoine Riboud, président du groupe entend alors faire de Danone le Coca-Cola français

ethnographiques ». 2.1. SEGMENTATION INTERNATIONALE : UNE APPROCHE ETHNIQUE La segmentation internationale est très importante pour une entreprise qui veut pénetrer un marché étranger, parce qu‘elle permet de décomposer un ou plusieurs marchés en différentes parties homogènes, appelées segments, où les consommateurs et les utilisateurs indutriels présentent des caractéristiques communes. Il existe plusieurs manières de segmenter un marché. Il peut s’agir de la segmentation géographique, démographique

| |locaux,…) | | | | |But principal des études |Faisabilité |Rentabilité |Segmentation | |Sources d’informations |Pénurie relative |Croissance forte |Sur-abondance | |secondaires | |

représentent pour le groupe (en France): - PLF avec 57 % CA (2009 – approximativement comme 2008) soit + 4,6% en volume : Danone, Activia, Danette, Taillefine, Gervita, Danonino, Fjord, etc. - Eaux avec 19 % CA (2008) : les eaux minérales d’Evian (Volvic, Evian, Badoit, etc.), Aqua (leader mondial) - Nutrition infantile avec environ 18% CA (2008) soit + 17% : Blédina (Nutricia, Bebiko sont d’autres marques phares du pôle). - Le reste du CA pour la nutrition médicale qui reste la catégorie la plus attractive

 gamme,  à  plusieurs  gammes  ou   simplement  à  une  ligne  de  produits  exemple  Danone  a  un  DAS  ultrafrais   (yaourts,  fromages  blancs),  un  DAS  eaux  minérales  (Evian,  Badoit),  un  DAS   biscuits  (Taillefine,  clé  des  champs),  un  DAS  compote.  Peugeot  a  plusieurs  DAS  :   Les  véhicules  de  tourisme,  les  véhicules  u.litaires,

techniques de publicités intensives par les médias et en organisant des actions promotionnelles. 3. la maturité - croissance des ventes : Plafonnement des ventes a un niveau élevé. - Concurrence : forte. - Rentabilité : forte. - Produit : segmentation du marche. - Distribution : intensive - Prix : baisse des prix due a la forte concurrence. - Communication : Rôle de fidélisation de la clientèle a la marque. L’objectif est d’accroitre le taux d’utilisation du produit. On continue d’utiliser

atteindre les objectifs fixés pour un couple produit-marché (ou pour un DAS). Il doit être en correspondance avec le diagnostic interne et externe et assurer une cohérence des actions marketing. Diagnostic Interne et externe Marketing mix Segmentation, Ciblage, Positionnement Objectifs Distribution Produit Prix Communication Choix stratégiques Calendrier des actions marketing Contrôle 2- Buts et objectifs Pour M. Capet, G. Causse et J. Meunier (Diagnostic, Organisation et Planification

« à chacun selon ses besoins » (Alfred Sloan, General Motors) Quelques enseignements : - le prix bas est nécessaire, mais pas suffisant - le client moyen n’existe pas - il faut adapter l’offre aux attentes du client - toutefois, la micro-segmentation n’est pas la panacée Le marketing individualisé : l’exemple de Citroën -> Communication directe, développement de services, gestion du client (« Customer care ») Du marketing segmenté au marketing individualisé : - une approche du marché