Sécurité passive

l’Etat de mener la lutte contre les discriminations dans l'accès à l'embauche ou au logement, par exemple. La fraternité évoque la solidarité entre les citoyens, valeur qui a permis la mise en place des droits sociaux depuis 1944 (création de la Sécurité Sociale). La nation garantit à tous les moyens de subsister, d'avoir accès à l'éducation et aux soins. C'est du principe de fraternité qu'est né le Revenu Minimum d'Insertion en 1988, créé pour les plus démunis. Mais cela a un coût et c'est à la

revenus à ceux qui en ont besoin. L’Etat providence intervient dans le domaine social en développant un système de protection sociale qui s’exprime par des services publics (école , SNCF, poste ...), des assistances (RMI ),ou bien par la sécurité sociale ( assurance maladie, assurance logement …). La protection sociale est une instance d’intégration qui protège les individus des risques sociaux tout en permettant la création de fort lien social entre les individus et donc par la, la cohésion

d'administrations : administrations publiques centrales(APUC) qui relèvent du pouvoir central : l'Etat au sens strict administrations publiques locales (APUL) qui relèvent d'un échelon local : mairie, conseil général, régional administrations de Sécurité Sociale (ASS) L'ensemble représente l'Etat au sens large . PARTIE 1 - LA MESURE DE L'INTERVENTION DE L'ETAT Pour connaître le poids de l'Etat dans l'économie , il faut prendre en compte toutes les dépenses et les recettes de l'Etat. 2 techniques

l’accessibilité aux biens et services. On se rapproche plutôt de la sociale démocratie, ou l’État providence est de mise, permettant une plus grande réglementation. Par la privatisation la plus importante possible des systèmes de santé, d’éducation et de sécurité sociale, pour alléger les responsabilités de l’État. Il faut introduire ce principe (cette privatisation) graduellement. Par exemple, en transférant un service du secteur public au secteur privé, mais en continuant le financement public. Il peut

droit transitoire en matière de jurisprudence (fondements, sources, conséquences, régimes) au regard du principe de sécurité juridique et proposez éventuellement les solutions principales que ce dernier pourrait comprendre « Les revirements de jurisprudence ont du bon. Ils font progresser l'état de droit. Mais ils peuvent aussi avoir des conséquences redoutables au regard de la sécurité juridique » (Frédéric Thiriez, Les dommages collatéraux des revirements de jurisprudence). On entend par revirement

système d’assurances sociales réservées aux seuls travailleurs ainsi que le principe d’une assistance limitée aux plus démunis, et introduit l’idée d’une protection universelle de tous les citoyens financée par l’impôt. Il plaide pour un système de Sécurité sociale à la fois : • généralisé : chacun, par sa seule appartenance à la société, doit avoir le droit de voir ses besoins minimaux garantis par la solidarité nationale ; • unifié : une seule cotisation est nécessaire pour accéder aux différentes

orientations à partir des besoins des citoyens est mise en place. Autres aspects de la prévention : La politique vaccinale : pilier de la stratégie nationale de prévention. Un certain nombre de vaccins sont obligatoires pour toute la population. La sécurité sanitaire, autre volet de la politique de santé publique, permet d’assurer la protection contre l’ensemble des risques susceptibles d’affecter la santé de la population : liés aux activités de soins, aux produits de santé, aux milieux professionnel

la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA) afin de gérer les services pour les personnes âgées dépendantes et les handicapés. En 2006, la CNSA pose la question du 5ème risque, qui s’ajouterait aux quatre branches existantes de la Sécurité Sociale soit les branches maladie-maternité, famille, accident du travail et retraite. Il s’agit en fait d’un nouveau droit social exclusivement destiné aux personnes âgées fragilisées. L’objectif: mieux répondre à leurs besoins. Anticiper le défi

remarquer Guy Carcassonne, cette traditionnelle saisine à priori permet en premier lieu une « sécurité juridique ». En effet, seul un petit nombre d’individus peuvent se prévaloir du droit de saisir le conseil constitutionnel, cela permettant une certaine sécurité quant au contrôle des lois. De plus, « la certitude de ne pas la voir rétroactivement annulée » garantie dans un autre sens cette sécurité juridique. Effectivement, le principe de non-rétroactivité des lois interdit de revenir de revenir

s’agit bien d’une extension des normes de références inhérentes au contrôle de conventionalité des normes infra constitutionnelles. L’exigence du « «pacta sunt servanda » s’étend aux principes issus des traités tels que la confiance légitime, la sécurité juridique, le principe de loyauté. Dès lors, il semble que les contrôles exercés par le Conseil d’Etat tendent moins à se faire en termes de hiérarchie qu’en vue de l’établissement de garanties individuelles équivalentes, au regard de ces principes