Sécurité en mer

de Malaka : dans cette zone la cour avait à déterminer l’appartenance d’une petite ile occupée par un phare, qui avait était établi par les britanniques ou les britanniques avaient créé Singapour, Singapour avait besoin d’établir un phare pour la sécurité. Le Sultan de Malaisie avait accepté l’établissement de ce phare sur cette petite île. La question qui se posait c’est : a qui appartient ce phare ? Etablir quelle était l’autorité du sultan de Malaisie sur le détroit, le sultan n’exerçait qu’une

accorde un vote pondéré en faveur des membres du conseil de sécurité (membres permanents, droit de veto). Ce régime a été accepté par les signataires de la charte mais aujourd’hui contesté par plusieurs pays du tiers monde voire même l’occident et les puissances montantes notamment l’Allemagne et le Japon entre autre. 3-L’ÉGALITÉ DE TRAITEMENT ÉCONOMIQUE Elle s’applique : - En matière maritime et fluviale : la liberté de navigation en haute mer et dans les espaces internationales (détroits, canaux

mondiales des États-Unis. » « Naturellement, les États-Unis doivent se montrer prudents dans la façon d’exercer leur puissance. Seulement, on ne peut en toute sécurité dissocier les responsabilités de la domination mondiale des coûts qu’entraîne l’exercice de cette autorité. L’Amérique joue un rôle vital dans le maintien de la paix et de la sécurité en Europe, en Asie et au MoyenOrient. Si nous ne prenons pas nos responsabilités, nous susciterons des défis envers nos intérêts fondamentaux. L’histoire

relations internationales c’est l’état, son rôle avec les autres. 1er facteur : la géographie : « la géographie fait l’état » : NAPOLEON. Les états sont dotés par leur géographie : certains ont de très grandes ouvertures maritimes (commerces à travers la mer), d’autres n’en ont aucune. Certains sont dotés de richesse dans leurs sols, d’autres non. 2ème facteur : la démographie (population) : soit c’est une ressource pour certains pays, d’autres pensent qu’une surpopulation peut engendrer des guerres (idées

national Tout d'abord, on doit bien faire la différence entre la Sécurité et la Défense. En effet, ce sont la deux Institutions qui dépendent de deux ministères différents : la Sécurité civile dépend du ministère de l'Intérieur alors que la Défense du territoire dépend du ministère du même nom. Lorsque l'on parle de « force militaire », on a tendance à penser aux « forces armées », or, on pourrait difficilement se passer de la Sécurité civile, et pourtant, il s'agit bien de déploiement militaire,

Turkistan, Abkhazie, Tadjikistan, Azerbaïdjan… Ces pays sont tous aujourd’hui soit des possesseurs d’importantes réserves pétrolières ou gazières, soit des vecteurs de pipe-lines et gazoducs qui transitent des sources énergétiques vers l’Océan Indien, la Mer Noire ou l’Europe. Aujourd’hui nombre de ces « artères énergétiques » passent directement par la Turquie. Enfin, la Turquie tente indéniablement

sites par collectivité territoriale d’outre-mer pour les candidats résidant outre-mer ; 2o Pour la phase d’admission : un site au moins dans chaque zone de défense et de sécurité pour la métropole et dans chaque collectivité territoriale d’outre-mer en fonction du volume de candidats admissibles ; 3o Les candidats résidant à l’étranger seront rattachés au site métropolitain de leur choix ou, sur leur demande, au site d’une collectivité territoriale d’outre-mer. Les candidats sont soumis à une visite

fleuves et cela par une lecture géostratégique de l'eau. Ainsi que d’autres aspects seront évoqués : la sécurité qui se chevauche en contradiction avec ses ressources et les besoins nécessaires, les droits et les avantages, à ne pas oublier les conflits liés aux relations coloniales ou bien aux ambitions basées sur vertu de succession ou d’alliances historiques dans le but d’atteindre une sécurité régionale et agressive qui prétend transformer le Moyen-Orient à un marais de conflits destructeurs.

En droit international, on entend par eaux territoriales, ou mer territoriale, l'espace maritime intermédiaire entre les eaux intérieures (lacs, estuaires ou baies) et la haute mer, espace compris entre la ligne de base de la mer territoriale côté terre et une ligne idéale qui, établie à la limite de la haute mer, est définie par l'État côtier et portée à la connaissance de la communauté internationale. On définit en principe la ligne de base des eaux territoriales par le tracé côtier que découpent

Page 17 2-Mobilier et agencement Page 17 3-Technique de marchandisage appliquée Page 17 4-Communication de l’action Page 17 5-Technique de promotion et/ou d’animation choisie Page 18 6-Règles d’hygiène et de sécurité à respecter Page 18 7-Réglementation commerciale Page 18 ANNEXE 2 V) Déroulement de l’action 1-Démarche suivie Page 21/22 2-Planning de l’action Page 23 3-Personnes mobilisées Page