Seconde Patrie

synthèse du socialisme et du nationalisme :ce que Barrès appelle le ‘socialisme nationaliste’ » Barrès dirige la revue nationaliste La Cocarde de septembre 1894 à mars 1895. Il adhére ensuite à la Ligue de la patrie française en 1899 puis à la Ligue des patriotes de Paul Déroulède. Le second axe est résumé par l'expression « La terre et les morts » qu'approfondissent les trois volumes du Roman de l'énergie nationale : Les Déracinés (1897), L'Appel au soldat (1900) et Leurs Figures (1902) L'étranger

l'autre peut-être par cet esprit de corps qui fait des bureaux de la guerre l'arche sainte, inattaquable. [...] J'accuse enfin le premier conseil de guerre d'avoir violé le droit, en condamnant un accusé sur une pièce restée secrète, et j'accuse le second conseil de guerre d'avoir couvert cette illégalité, par ordre, en commettant à son tour le crime juridique d'acquitter sciemment un coupable. [...] L'acte que j'accomplis ici n'est qu'un moyen révolutionnaire pour hâter l'explosion de la vérité et

millions de blessés sur 8 millions de mobilisés, pour une population de 40 millions d'habitants). De part ses nombreuses pertes, les monuments aux morts ne glorifient pas les victoires, mais plutôt honorent les soldats ayant donnés leurs vies pour la patrie (on retrouve d’ailleurs sur la plupart des monuments l’inscription « mort pour la France » révélant le patriotisme). Cette notion d’honneur est d’ailleurs importante car plus de 80% de ces monuments furent construits avec une participation majoritaire

dans un premier temps l'échos populaire de l'antisémitisme et en particulier de l'antidreyfusardisme au tournant du XX ème siècle à travers le portrait de Joseph et les nouveaux « agitateurs d'opinion » de l'époque, puis nous montrerons dans une seconde partie en quoi Joseph, cet « adepte du sabre et du goupillon », incarne l'idéologie de cette nouvelle « droite révolutionnaire » de la fin du XIX ème siècle. I. Organisations, leaders et presse antidreyfusardes : l'écho populaire de l'Affaire à

de la luxure et de la traitrise des Juifs. L'inscription au bas de l'image dit "Juifs, chez nous, en France, le sang, seul lave les taches comme celle-là !". L'affiche est clairement antisémite. Enfin, en octobre 1898, la création de la Ligue de la patrie française va affirmer le nationalisme des antidreyfusards. L'opinion française est donc partagée mais cette affaire va réaffirmer les valeurs de la République (Liberté, Égalité, Fraternité). B) ... mais réaffirme les valeurs de la République. L'affaire

parallèle avec le véritable front, le champ de bataille : « Remplacez sur le champ du travail ceux qui sont sur le champ de bataille . . .» Pour obtenir cet engagement des femmes, Viviani fait appel à leur patriotisme: « Vous ne pouvez pas rendre à la Patrie un plus grand service. Ce n'est pas pour vous, c'est pour Elle que je m'adresse à votre coeur.(…) Il faut sauvegarder ….. l’approvisionnement de ceux qui défendent à la frontière, avec l'indépendance du pays, la Civilisation et le Droit ». Les rythmes

Angleterre et y resta 25 ans. En 1433, du haut des falaises de Douvres, il aperçoit dans le lointain les côtes de France et ressent le regret de sa patrie. Là, dans une langue à la fois fine et simple, il se souvient avec mélancolie de son pays. Charles d’Orléans n’oublie pas son pays et il insiste à la fin de chaque strophe sur cet amour de la patrie qui l’anime: « De voir France que mon coeur aimer doit« . On perçoit la tristesse de l’exilé. Cependant, dans la deuxième strophe, Charles d’Orléans

Le combattant du bien 1- Le défenseur du bien, de la liberté et de la démocratie contre un ennemi diabolique et sanguinaire (propagande). 2- Le paysan soldat : mobilisation en masse des paysans, retour des ouvriers aux usines. 3- Défendre la patrie et son sol sacré, défendre la terre. C) Le guerrier moderne 1- Amélioration de son équipement de combat pour les nécessités d'une guerre moderne. 2- Perfectionnement des moyens de communication. 3- Protéger le combattant: masques à gaz, armures

pour attacher tout son intérêt et toutes ses espérances à ses généraux et aux ministres du pouvoir exécutif. C'est pendant la guerre que l'habitude d'une obéissance passive et l'enthousiasme trop naturel pour les chefs heureux fait, des soldats de la patrie, les soldats du monarque ou de ses généraux. Dans le temps de troubles et de factions, les chefs des armées deviennent les arbitres du sort de leur pays, et font pencher la balance en faveur du parti qu'ils ont embrassé. Si ce sont des Césars ou des

celle de l'année prochaine. Vous ne pouvez pas rendre à la Patrie un plus grand service. Ce n'est pas pour vous, c'est pour Elle que je m'adresse à votre cœur. Il faut sauvegarder votre subsistance, l'approvisionnement des populations urbaines et surtout l'approvisionnement de ceux qui défendent la frontière, avec l'Indépendance du pays, la Civilisation et le Droit. Debout donc, femmes françaises, jeunes enfants, filles et fils de la Patrie. Remplacez sur-le-champ du travail ceux qui sont sur les champs