Scène Séduction De Madame Bovary

l’autorité du père de famille. La civilisation bourgeoise du 19ème siècle, dominée par les normes bourgeoise, s’appuie sur ce modèle de domination : les femmes sont moins libres au 19ème qu’avant la Révolution française. Plusieurs aspects : mise en scène des valeurs bourgeoise et respectabilité bourgeoise. La bourgeoisie accorde grandes importances à la respectabilité. Cela impose des codes vestimentaires (homme en noir ; femmes en blanc, symbole de pureté, fragilité, innocence). La bourgeoisie se

ont plutôt tendance à faire du héros romanesque un personnage hors du commun, paré de toutes les vertus. Par exemple, dans Le Lys dans la vallée, Balzac présente l’héroïne principale, Madame de Mortsauf, comme l’image de la « perfection terrestre », le symbole même de la vertu, en la dotant de toutes les séductions de l’âme et du corps. À leur manière, les héros stendhaliens se distinguent eux aussi du vulgaire par l’énergie qui les anime lorsqu’ils ont à lutter pour leur amour ou pour leur ambition

ont plutôt tendance à faire du héros romanesque un personnage hors du commun, paré de toutes les vertus. Par exemple, dans Le Lys dans la vallée, Balzac présente l’héroïne principale, Madame de Mortsauf, comme l’image de la « perfection terrestre », le symbole même de la vertu, en la dotant de toutes les séductions de l’âme et du corps. À leur manière, les héros stendhaliens se distinguent eux aussi du vulgaire par l’énergie qui les anime lorsqu’ils ont à lutter pour leur amour ou pour leur ambition

roman et aussi avec le mouvement littéraire du romantisme. Définir et critiquer l’imagination Qu’est-ce que l’imagination ? N’est-elle qu’une partie de l’esprit, une image mentale, une simple trace de perception ? L’esprit ne serait-il qu’une scène peuplée d’images, comme le précisait l’empirisme de Hume ? Dans Eléments de philosophie (1917-1941), Alain réfute cette thèse des images mentales, puis la phénoménologie de Husserl affirme l’intentionnalité de toute science. Pour Sartre, dans L’imagination

soulignent volontiers des lacunes dans leur information. On peut dire aussi qu’il existe une esthétique de la description lacunaire qui permet la rêverie. Ex : Barbey d’Aurevilly dans son recueil les Diaboliques postule cette rêverie en la mettant en scène, avec des personnages qui sont auditeurs des nouvelles racontées. EX : Le bonheur dans le crime : le narrateur du récit cadre est en position d’auditeur de l’histoire d’amour de deux êtres exceptionnels, Hauteclaire Stassin et le Comte de Savigny

Diderot prête la parole à un être fictif en l’enrôlant dans le combat encyclopédique. Le cordelier fait l’éloge de la philosophie dont « les Lumières se répandent partout » & argumente en faveur d’une rationalité humaine. - 4ème § : il y a la mise en scène d’une guerre ridicule culminante avec l’accumulation de bulles papales5 : Diderot traite les querelles ecclésiastiques de manière comique. La critique surgit au détour du traitement d’une notion qu’au départ ne laissait pas présager une contenu polémique

méthode de lecture qui subordonne l’étude de la « forme » et la rigueur scientifique à la quête d’un « frisson » et d’une « émotion » qui, pour être rapportés à la figure de l’auteur, ne sont peut-être pas si éloignés de ceux que cherche une Emma Bovary dans l’identification aux personnages ? Il convient donc d’examiner la proposition de Nabokov en se posant la question suivante : le mode de lecture qu’il préconise, orienté vers une communion avec l’auteur, est-il satisfaisant pour rendre compte

» ; Les Fables, Jean DE LA FONTAINE*. Récit court en vers ou en prose, la fable est destinée à illustrer une morale, une maxime, une leçon ou un apprentissage. « Le Chêne et le Roseau » est une fable qui prend la forme d’un récit qui met en scène une confrontation entre un Chêne, arbre majestueux, robuste et un Roseau, plante aquatique, fragile. Quant au Chêne, il fait preuve d’égocentrisme, de prétention, de vanité et d’orgueil ; bref, c’est « un personnage » aveuglé par sa personne. Néanmoins

présente comme un amant prêt à tout, on note l'emploi de formules hyperbolique comme « j'étais prêt tout entreprendre » ligne 43 avec l'adverbe de totalité « tout » et le verbe « entreprendre » qui est un verbe d'action. Transition : Dans cette scène on retrouve des éléments propres à la rencontre amoureuse : le hasard, et le coup de foudre qui métamorphose les personnages. Cependant cet extrait donne aussi à réfléchir à la passion révélant l'aspect moral du roman. Une vision ambivalente

* 3eme modèle : arrivée des média audiovisuel => but : capter l'audience en mettant l'accent sur le divertissement, privilégiant la mise en scène au détriment de l'argumentation. * 4eme modèle : généralisation des relations publiques à partir de 1970 dans les entreprises, les administrations, les associations et valorisent les stratégies de séduction dans citoyens-consommateurs. Aujourd'hui tous ces modèles se superposent : presse d'opinion (en déclin), presse commerciale, télévision de