Scenographie Mise En Scene

changements doux ou brutaux. Dans certains scénographies, la lumière dessine un décor à elle seule. (c.) Le costumier Contemporains ou anciens, les costumes doivent éviter de paraître trop neufs. De plus, ils imposent à l’acteur certaines contraintes (mouvements, démarche, voix). Parfois ils produisent un contraste parfois ils agissent en redondance. A travers le choix du costume, apparaît aussi l’opinion réaliste ou allusive du metteur en scène. (d.) Le maquilleur Les cosmétiques

SYNTHESE PERSONNELLE SUR LE THEATRE La scénographie au service du tragique Au XVI ème s. la scénographie est l’art de la perspective en peinture et architecture, puis au théâtre, cela désigne le décor. Le décor est symbolique, et il permet de comprendre les enjeux de la pièces. Cet art créer l’illusion d’optique c'est-à-dire que le public croit voir la réalité. L’éclairage Au XVII ème s. les théâtres sont éclairés à la bougie et à la chandelle, qui sont posés devant le plateau sur une

des travaux de deux artistes : l'allemand d'origine tchèque Harun Farocki (HF) et le canadien Rodney Graham (RG).Ils sont comtemporrains l'un de l'autre HF est né en 1944 et RG en 1949. HF est un cinéaste qui travail autour des dispositif moderne de mise en images. Il conçoit des installations traitant de la fabrication des images actuels RG est plus touche à tout : vidéaste, photographe, conceptuel et ludique ; RG est un artiste qui explore les rapports de l'histoire et de la modernité en ouvrant

GERTRUD         D’après  Hjalmar  Söderberg   Mise  en  scène  Jean-­‐Pierre  Baro                 Création  les  05,  06  et  07  novembre  2014     au  CDN  Orléans/Loiret/Centre         Calendrier  de  la  tournée  2014-­‐2015  :   Le   15,   16   novembre   à   LA   FERME   DU   BUISSON   /   le   19

DANDIN REQUIEM INTRODUCTION La pièce Dandin Requiem a été mise en scène et imaginée par Guillaume Cantillon, la troupe d'acteurs assurant le spectacle se compose de Fanny Avram (Angéliques), Stéphane Bault (Georges Dandin), Julien Bonnet (Clitandre), Jean Robert Lombart (Monsieur de Sotenville), Franck Magis (Lubin), Valérie Marinese (Claudine), et enfin Laetitia Vitteau (Madame de Sotenville). La scénographie et les costumes sont de Frédéric Rebuffat, lumières de Jean Louis Barletta et l'univers

fondamentaux dans cette activité : le chorégraphe, le (-s) danseur (-s), les spectateurs. Chacun d’entre eux possède un rôle bien spécifique : o Le chorégraphe : réalise une pièce, une œuvre à partir de thèmes et de procédés de composition et organise la mise en scène o Le danseur : interprète les souhaits et les émotions demandés par le chorégraphe o Le spectateur : regarde, écoute, ressent en fonction de sa sensibilité et son esprit critique - Quelles différences existe-t-il entre la danse, le sport

une formule : " Poésie et charité ". Nous nous emploierons donc à dégager les différentes significations et implications de ce poème. Pour cela nous étudierons tout d’abord son organisation et sa composition ; ensuite nous nous attacherons à la scénographie de l’imaginaire qu’il met en place ; enfin nous essaierons de montrer que ce poème relève d’une poétique de la modernité, où le Je comme sujet de poésie occupe une place problématique. I. Organisation et composition Ce poème, l’un des plus longs

Théâtre Louis Jouvet et qui est une mise en scène de Paul Desveaux. C’est la première fois que je vois une pièce de Tchekhov et je trouve que cette mise en scène est une vraie réussite. J’ai trouvé que les comédiens ont réussi à rendre ce texte de Tchekhov qui est à mon sens assez délicat à interpréter et non dénuée d’humour un bon moment de plaisir grâce a leur dynamisme et leur originalité. Les costumes, le décor sobre et juste, les lumières, la scénographie permettent au public d’entrer dans la

 2015  en   deux  parties).   Première  partie  :  "Château  de  Boussu"  :     -­‐ création  d’une  «  mise  en  scène  »  pour  un  banquet    sur  la  thématique  des  arts  de  la  table  à  la   Renaissance  (  premier  week-­‐end  d’octobre  2015)   -­‐ création  d’une  scénographie  urbaine  reprenant  les  trois  sites  d’exposition  de  l’événement  :  (  le   chapiteau  (banquet),

ville, dans une rue, durant la nuit. Contexte historique : Dessin reproduit en série et collé sur les murs des immeubles détruits au moment de la réhabilitation de certains quartiers parisiens (ici, Montparnasse). Ainsi Ernest-Pignon Ernest met en scène des personnages qui sont en partance à cause d’une expulsion déclenchée par la ville de Paris, sous prétexte d’une rénovation de quartier. 1945: Bombardement atomique d’Hiroshimac et Nagasaki. En France, IVème République. Les œuvres de Ernest Pignon