Scene Daveu

5 : La mort de Phèdre Introduction : Phèdre est une tragédie classique parue en 1677. C’est la dernière tragédie profane (qui n’a pas de sujet chrétien) de Racine. Ce texte se trouve à la scène 7, acte 5 entre les vers 1617et 1654. La catharsis est ici illustrée par la punition de Phèdre. Cette scène est la fin de la pièce, c’est l’excipit. C’est aussi le retour au calme, le dénouement. En quoi la déclaration et la mort de Phèdre annoncent-elles un retour au calme ? I/La mort de Phèdre

pour objet de le faire sortir d'une de ses niches. Marivaux a été l'auteur le plus joué de la première moitié du XVIIIème siècle, avec Voltaire. Dans les années 1950-60, redevenu à la mode, Marivaux permet à la nouvelle génération de metteurs en scène de s'essayer à de nouvelles interprétations: Vitez, Vilar, Planchon, Chéreau, entre beaucoup d'autres. L’Ile des esclaves L'Île des esclaves est une comédie en un acte de 11 scènes et en prose de Marivaux représentée pour la première fois le lundi

Shakespeare. Ce dernier a dit un jour « Le monde entier est un théâtre, et tous, hommes et femmes, n’en sont que les acteurs et notre vie durant jouons plusieurs rôles. » Il accapare alors le monde à un immense théâtre. Antoine Vitez (metteur en scène), lui, nous dit : « Le théâtre est un champ de force très petit mais où se joue toute l’histoire de la société et qui malgré son exiguïté sert de modèle à la vie des gens ». Le théâtre, notamment en France, est reconnu aujourd'hui aussi bien comme

GRUMBERG séq internet TV5mdL’atelier de Jean-Claude Grumberg Thèmes Cinéma, littérature, musique, théâtre Comédie dramatique. Molière 99 du meilleur auteur, Molière 99 du meilleur metteur en scène, Molière 99 de la meilleure pièce du répertoire, Molière 99 de la révélation théâtrale féminine Mise en scène : Gildas Bourdet Assisté de : Valérie Nègre et Ladislas Chollat Production du Théâtre Hébertot Créée à La Criée Théâtre National de Marseille Filmée au Théâtre Hébertot en juillet 1999 Avec

nombre de metteurs en scène ont su représenter au théâtre ou au cinéma des oeuvres littéraires. Est-il envisageable, qu’une personne puisse prendre le pas sur une autre, ou plus précisément, que le metteur en scène puisse supplanter l’auteur ? Nous allons nous demander dans quelle mesure, est-il possible d’estimer le metteur en scène de même que l’authentique créateur de la pièce, écrite par autrui ? Notre but sera de connaître qui est à l’initiative de la pièce : le metteur en scène,l’auteur de la pièce

Toutes ces expériences l’ont conduit à la sagesse et donc à cultiver le jardin qui est en soi. L’enseignement de Voltaire est juste, car au-delà de la morale, la fierté de l’homme repose sur le bonheur muri par le fruit du travail. La mise en scène de Rafael Bianciotto restitue avec justesse la pensée de Voltaire. Il apporte une forme de contemporanéité à l’adaptation de ce conte philosophique en maquillant les visages avec des masques de la commedia dell’arte. Sous le masque, sentiments et impressions

d’autres seulement à être vu comme les représentations de Charlie Chaplin. Le texte théâtral est-il suffisant pour sa représentation ? Nous aborderons d’abord l’importance du texte lu puis la part de liberté dans la représentation lors de la mise en scène. Dans un premier temps, le texte théâtral est primordial ; lorsqu’on lit une pièce de théâtre, son texte contient des informations qu’on ne peut pas disposer dans une représentation théâtrale. La préface, par exemple, n’est pas présente dans une

sort devant tous les candidats avant les entretiens individuels. - La scène choisie, dialogue ou monologue, offre 3 à 5 minutes de jeu par candidat évalué et appartient au(x) texte(s) travaillé(s) dans l’année ou lui (leur) est intimement lié. Une même scène ne peut être présentée qu’une fois. Les scènes de dialogue sont privilégiées. Chaque candidat (4 maximum) de cette scène se verra proposer un rejeu différent. Mais la scène ne sera pour autant pas forcement jouée 4 fois. - Les candidats bénéficient

portent certains personnage tels que Fantine expriment clairement la pauvreté du personnage, qu'autrement nous n'aurions pas décelé. De même, les décors sont très simples ( des échafaudages) mais ingénieux puisqu'ils permettent une vue d'ensemble de la scène dégagée. Pour une ambiance plus réaliste, des décors plus recherchés comme un bureau à roulette pour le maire ou bien un objet quelconque dans les mains des forças, auraient été appréciés. Concernant l'éclairage, Manon MONTEL s'est bien débrouillée

l’exposé : Lectures analytiques : 1) scène I, 1 (entière) 2) extrait de la scène I, 7 de « La marquise : … (Après avoir lu,… »  à Le chevalier : « changer les ordres que je lui ai donnés.» 3) scène II, 2 (entière) Pour l’entretien : • Maîtres et valets dans La Seconde Surprise… • Spécificité de la comédie selon Marivaux (comparaison avec la comédie selon Molière). • La notion de « marivaudage » • Etude de la mise en scène de La Seconde Surprise de l’amour par Luc