Savate

propre dans le poème « Les sept vieillards » (poème XC, section « Tableaux parisiens », vers 26), en lien avec la laideur de la ville, lieu de spleen : « Dans la neige et la boue, il allait s’empêtrant, / Comme s’il écrasait des morts sous ses savates, / Hostile à l’univers plutôt qu’indifférent ». La fange de la ville : une boue morale, représentation des vices de la ville : « La prostitution s’allume dans les rues ; […] Elle remue au sein de la cité de fange » (lire poème XCV « Le crépuscule

vieillards  » (poème XC, section « Tableaux parisiens », vers 26), en lien avec la laideur de la ville, lieu de spleen : «  Dans la neige et la boue, il allait s’empêtrant, / Comme s’il écrasait des morts sous ses savates, / Hostile à l’univers plutôt qu’indifférent  ». La fange de la ville : une boue morale, représentation des vices de la ville  : «  La prostitution s’allume dans les rues ; […] Elle remue

là bas sous les cocotiers(bis) et les crocos ils l'ont mangé(bis) et on peut plus pagayer(bis) et on va bientot couler(bis) J'ai un gros nez rouge J'ai un gros nez rouge Deux traits sous les yeux Un chapeau qui bouge Un air malicieux. Deux grandes savates Un grand pantalon Et quand ça me gratte Je saute au plafond.: 

costume. Je rentre dans la salle, un infirmier arrive et m’apporte une capote, un pantalon, des savates et un bonnet. Je me regarde ainsi fagoté dans ma petite glace. Quelle figure et quel accoutrement, bon Dieu ! avec mes yeux culottés et mon teint hâve, avec mes cheveux coupés ras et mon nez dont les bosses luisent, avec ma grande robe gris-souris, ma culotte d’un roux pisseux, mes savates immenses et sans talons, mon bonnet de coton gigantesque, je suis prodigieusement laid. Je ne puis m’empêcher

niais. La différence est qu’ici N1 n’appartient pas forcément à la classe lexicale des termes de qualité : imbécile, salaud … mais recouvre toute sorte de termes dont la caractéristique commune est d’être ressentie comme des appréciatifs : pantoufle, savate, bûche, boulet … 2.2 L’EMPLOI QUANTITATIF : Ici sont différents les termes qui apparaissent en N1, puisqu’ils sont quantitatifs, qu’ils soient collectifs ou indiquent une mesure, un volume, une forme, par exemple : Un cube de cervelles ( Mallarmé)

vinaigrette Le ratatine-ordures Et le coupe-friture Et si la belle Se montre encore rebelles On la fiche dehors Pour confier son sort {Coda:} Au frigidaire À l'efface-poussière À la cuisinière Au lit qu'est toujours fait Au chauffe-savates Au canon à patates À l'éventre-tomates À l'écorche-poulet Mais très très vite On reçoit la visite D'une tendre petite Qui vous offre son cœur Alors on cède Car il faut bien qu'on s'entraide Et l'on vit comme ça Jusqu'à la prochaine

angoissante : • « Comme s’il écrasait des morts sous ses savates / Hostile à l’univers plutôt qu’indifférent » : L’homme est ici présenté comme le mal incarné, le démon, puisqu’il nous apparaît comme un être violent et inhumain par la comparaison faite de sa démarche. Une image qui peut être renforcée par l’allitération en [r] et en [s] pouvant symbolisé le bruit d’une part des craquements des os et de l’autre la sonorité des « savates » (terme relativement familier) lourdes qui trainent sur le

notre poète de perturber l'ordre bourgeois établi. Les pendues deviennent des pantins manipulés par le mal ( le diable ) qui les ficelles ( la cravate ). Le pendu a des sandales, la chaussure du riche, le diable ainsi que les pauvres n'ont que des savates. Les effarés Effarés : Qui ressent, manifeste un grand trouble, une grande peur. Soupirail : Ouverture donnant un peu d'air et de lumière à un sous-sol. Il décrit 5 jeunes de la rue en prise avec le froid et l'injustice de la société. Le boulanger

interdit mais il y avait une foule et les gardiens ne pouvais pas voir .Zézé raconta des sottises à Luis que la panthères avait mangeai 18 bras de dompteurs alors Luis eu peur et demanda dans quel cirque il venait .Alors Lalà va lui donnait un coup de savate et disait que c'était un diable mais Glorià va le sauvait et Zézé lui promettait de ne plus le refaire .Ils donnèrent la nouvelle du déménagement à Glorià et à tous les autres .Tous le monde parti dans la maison et choisi un arbre sauf Zézé il trouva

pendusAu gibet noir, manchot aimable,Dansent, dansent les paladins,Les maigres paladins du diable,Les squelettes de Saladins. Messire Belzébuth tire par la cravateSes petits pantins noirs grimaçant sur le ciel,Et, leur claquant au front un revers de savate,Les fait danser, danser aux sons d’un vieux Noël ! Et les pantins choqués enlacent leurs bras grêlesComme des orgues noirs, les poitrines à jourQue serraient autrefois les gentes damoisellesSe heurtent longuement dans un hideux amour. Hurrah ! les