Sauvage

Commentaire critique : << La Mère Sauvage >> A. Références bibliographiques du livre MAUPASSANT (G.), 12 contes réalistes, Ed. GALLIMARD, coll. << Folioplus classiques >>, 2005 B. Résumé apéritif La mère sauvage, issu des 12 contes réalistes de Maupassant, raconte la vie d’une vieille dame riche, veuve, vivant avec quatre soldats Prussiens. La relation entre eux ce passa très bien, jusqu’au jour ou Madame Sauvage va apprendre le décès de son fils, Victor

n’est moins sûr. Combien pensent encore que l’homme naît avec une grande part de facultés déjà constituées ? S’il défend l’évidence de cette thèse, MALSON va néanmoins assoir cette thèse sur l’analyse des « enfants sauvages », c’est-à-dire d’enfants qui se sont retrouvés à l’état sauvage très jeunes, avant même d’avoir appris au sein de la société des hommes. L’humanité est conçue par MALSON comme une « structure de possibilités, voire de probabilités qui ne peut passer à l’être sans contexte social

maternelle (1er cycle du secondaire) Ce document comprend plus d’une fiche. Vous y trouverez : une fiche pédagogique s’adressant aux élèves de français langue seconde (Niveau avancé) La Piste sauvage François Gravel Illustration(s) de Claude Thivierge PAGES 4-7 PAGES 2-3Titre LA PISTE SAUVAGE Auteur FRANÇOIS GRAVEL Collection TITAN Maison d’édition QUÉBEC AMÉRIQUE ISBN IMPRIMÉ : 978-2-7644-0176-7 PDF : 978-2-7644-1514-6 Année de parution 2002 Illustration CLAUDE THIVIERGE Nombre de pages 192

Plusieurs sens du mot sauvage ➢ Propre : ce qui est à l’état de nature, ce qui n’a pas été modifié par l’homme ➢ Figuré : celui qui aime s’isoler du monde, il a qq chose d’inhumain - La notion de barbarie est assimilée non pas aux Indiens mais aux Européens - 1ère personne du singulier - Subjectivité de l’auteur - 1ère personne du pluriel. « l’artifice » désigne un « nous » - « eux », « ils » permettent de désigner les sauvages ; « elle », la nature :

ambassade de « cannibales » et Montaigne, accompagnant la Cour, saisit l’occasion de les interroger. Quoiqu’ils pratiquent l’anthropophagie ces indigènes paraissent à Montaigne fort sociales et censés. Montaigne amorce ici l’éloge de la nature et du bon sauvage qui sera si souvent repris au XVIIIème. La critique ici trouve des accents d’une hardiesse étonnante. I. Exploitation du regard de l’étranger 1° Récit vivant -clarté du récit : étapes : l.10 « premier lieu » l.14 « secondement » démonstration

du « bon sauvage » qui devient une référence au dix-huitième siècle. Dans sa définition originelle, un mythe désigne un récit symbolique et figuratif qui révèle une réalité. Le mythe du bon sauvage consiste lui à idéaliser les hommes vivant primitivement et au contact direct de la nature. Il propose une vision idyllique, utopique, du primitif naïf, bon, vivant avec la nature, qui le fait lui même vivre. Cependant, c’est un mythe, et non pas une réalité. Pourtant, la figure du sauvage à bien existée

faire un brouillon à la main, appliquer la grille de correction dessus et remettre le tout avec votre version finale . 1. Identification du roman (auteur(e), titre, éditeur, date de publication, collection). Alexandre Jardin (1992), Le petit sauvage. Édition Gallimard, collection Folio. 251 pages. 2. Courte biographie (150 mots minimum): Renseignements sur l'auteur ou l'auteure (nom, nationalité, époque, études, grandes étapes de sa vie, autres oeuvres, renommée et prix) L’auteur

Fiche de lecture : Le petit sauvage L’auteur de ce roman est Alexandre Jardin. Alexandre Jardin né le 14 avril 1965 à Neuilly sur Seine. Son père était lui-même auteur. Il écrit son premier roman à l’âge de 20 ans dont il gagnera le prix du « premier roman » l’an d’après. Il reçoit la même année son Diplôme de Science Politique et gagne le prix Femina 4 ans plus tard pour son livre « Le Zèbre ». Ce récit commence à Paris mais se passe majoritairement dans le sud de la France près de Nice. Ce

carrés, principalement en France et en Algérie. Mais cette carrière fulgurante va connaître un revers en 1960, avec l’affaire du CNL, il sera ruiné, emprisonné et radié de l’Ordre. Pendant ses années en prison, Fernand Pouillon écrit Les Pierres Sauvages, qui reçoit le prix des Deux Magots. «Les plus nombreux considèrent ce livre comme une histoire se rattachant davantage à l’archéologie, à une architecture périmée, à une époque à jamais révolue qui n’a aucun rapport même lointain avec notre temps

est étranger. Et, plus profondément encore, sur ce que nous sommes sous le regard d'autrui : définis par une apparence, et même seulement par une étiquette --> étrangers à nous-mêmes. * DIDEROT Utilisation du mythe du" bon sauvage". Evidemment : utopie. Mais il s'agit, par l'effet de miroir provoqué par le regard étranger (le vieillard), d'une part de critiquer les erreurs et les abus de la civilisation du XVIIIe siècle, en particulier la colonisation, d'autre part de lui proposer