Satires

didactique apporte toujours un enseignement, une leçon, une morale qui peut être explicite c'est-à-dire concrète ou implicite c'est-à-dire imagé qui nécessite plus de réflexion, il appartient donc au genre argumentatif, car il doit convaincre. La satire est une représentation critique et comique (de façon moqueuse) d'un défaut, d'un vice, d'un mensonge observé dans la réalité, sur le plan moral, politique ou social. L'auteur satirique poursuit un but précis: corriger le monde, rétablir un ordre perdu

d’utiliser les animaux car cela permet d’éviter la censure et rend la fable plus amusante car cela fait référence à des clichés observés par les lecteurs sur les animaux. III) La satire A) une critique du pouvoir arbitraire Le lion est doté d’une vanité complaisante mais aussi d’une volonté de toute puissance (=satire sociale). Une volonté d’universalisation et représentation concrète de la puissance. Il y a une rime importante aux vers 12 et 13 « magnificence et puissance ». Il y a une disproportion

II - Le réquisitoire du nègre, porte-parole de Voltaire présentation du maître caricaturale : «fameux négociant» : ironie ici dans le poids de l’adjectif polysémique = réputé pour son sens du commerce ou sa cruauté ? / onomastique porteuse de satire ici : qui a la dent dure (allitération qui renvoie à sa cruauté) avec connotation hollandaise pour rappeler le commerce triangulaire / le nom seul permet d’éviter une trop longue caractérisation car en un ou deux mots, Voltaire «croque» (faire le

Tartuffe). Ces intrigues quand même demandent des compléments - soit sous forme de jeux de langage, soit en présentant la rupture imprévue dans l´ordre logique. Les jeux de langage variés (presque toujours enrichis d´une grande dose d´ironie et de la satire) rarement manquent dans les comédies intemporaines. Molière nous bien divertit, à travers de ses personnages, en utilisant des écarts de niveaux de langage par raport à la situation. Le contrast entre la vieillesse majesteuse de Madame Pernelle (Tartuffe)

petits
Force de Figaro : son caractère (son humour)
=> il ne pleure jamais sur lui.


III- La satire de la société : 1- Diatribes

  a) La satire sociale

La critique de l'injustice sociale => elle repose sur un seul critère : le hasard de la naissance (les nobles et les roturiers).
Le mérite personnel n'est pas pris en compte => Figaro veut la reconnaissance de son travail.

  b) La satire politique

Figaro vise le pouvoir royal ; il faut rendre public le langage (dénoncer, juger).

2-

mots qui préparaient cette annonce « Prince » v.3 (placé a la rime), « province » v.6 et « prevots » v.8 et « cérémonie » , « compagnie »  univers courtisant _v.16 ironique qui montre bien que ce qui intéresse la F. est une volonté de satire social. La satire des courtisans ( textes qui s’attaque a quelque chose ou a quelqu’un en se moquant) _v.18 on observe deux antithèse renforcé par un chiasme qui souligne caractère changeant, versatile. Idée mise en valeur par le rythme irregulier et sautillant

un journal qui a le caractère de la satire, qui critique en raillant. Une satire est : une pièce de vers où l'auteur attaque les vices et les ridicules de son temps ou un pamphlet (petit écrit en prose au ton polémique, violent et agressif)  ordinairement mêlé de prose et de vers, dans lequel on s'attaque aux mœurs publiques ou un écrit, un propos, une œuvre par lesquels on raille ou on critique vivement quelqu'un ou quelque chose (ex : Ce film est une satire des mœurs politiques). Railler : tourner

On tend alors vers la satire, qui arrache "l'enveloppe brillante dont chacun, paradant sous les regards, recouvrait sa laideur intérieure" (Horace). Il n'est guère étonnant que le satiriste s'attaque à un ministre ; toute figure typée, surtout grave, lui est un sujet : le bourgeois de Flaubert ou le rond-de-cuir de Courteline. Mais, au fond, la satire ne plaisante guère : La Résistible Ascension d'Arturo Ui (1941), de Brecht ou Le Dictateur (1940), de Chaplin sont des satires dont les éléments plaisants

ce qui est juste et injuste, beau et laid. La littérature puise dans la justice, le vrai, le juste et le beau. Une sorte d'universalité de la conception du beau et du juste. La satire est un mouvement d'indignation qui part du fait que l'on est sensible à l'injustice, la vulgarité ou la fausseté. Boileau a écrit des satires. La poésie satirique est un moyen pour les auteurs de réfléchir à l'injustice. Montaigne, les Essais sont une réflexion sur l'injustice. Boileau va quitter les milieux judiciaires

moelle. On ne s’attache qu’aux os, c’est-à-dire aux bouffonneries absurdes ». Il explique, en réutilisant la métaphore du prologue de Gargantua, que la plupart des personnes qui ont lu ce livre ne s’en sont tenu qu’a l’absurde. Mais Gargantua est une satire des événements du temps de Rabelais. Si les lecteurs l’avaient compris, son livre lui aurait probablement couté la vie. Mon objectif sera de montrer ce qu’est l’acte de lecture pour Rabelais puis de comprendre comment Rabelais a pu critiquer toute