Satire Tartuffe

théâtre 2. Récit avec une énonciation diversifiée - Un récit qui alterne avec le discours du fabuliste, présent dans sa fable - Les différentes voix des personnages 3. Le procédé de la mise en abyme 4. Le changement de métrique II. La satire du Roi et des courtisans A. Humanité et animalité B. Les défauts du Roi 1. Le Roi apparaît tout d'abord orgueilleux 2. Le Roi apparaît superficiel, il ne semble pas éprouver de sentiments profonds 3. Royauté rime avec cruauté 4. Le Roi apparaît

« passion » « elle n'en était pas moins violente » il y a ici un euphémisme ( dire le moins pour dire le plus, atténuation) Euphémisme : complication, politesse du langage ironie discrète : + de 20 ans, pas moins évidente Insistance : galant, amoureux Satire : il est trop amoureux composé de qualité mondaine et de qualités sportives para 2, portrait hyperbolique : « admirablement » « tous » (généralisation) «  éclatants » «tous » repris plusieurs fois ( l8 11 12) Sport de l'age féodal → de la chevalerie

Le rire est un acte de liberté. On peut rire de tout au moment où on fait attention à la situation dans lequel on se trouve. Beaucoup pensent qu’on peut rire de tout mais il ya certaines limites. Pour cela, le rire satirique est-il vraiment libre en France ? Pour répondre à notre question, nous allons voir dans un premier temps que le rire est presque libre en France. Et en deuxième lieu, nous allons voir que le rire a des limites ? Depuis des années, les humoristes provoquent le rire

général plus clair, les cas de correspondance fictive formant un genre en soi ; quand Paul Scarron compose son Épître chagrine, il ne fait pas mystère du caractère fictif de l'ouvrage, à l'époque, ce genre d'épîtres se différencie peu du genre de la satire (sous-titre de l'ouvrage de Scarron). En contraste, la correspondance de la marquise de Sévigné à sa fille rend compte d'un échange épistolaire réel, même s'il y eut un retravail. Un cas limite est Les Lettres persanes de Montesquieu, qui est fondamentalement

L’autodérision : rire de soi-même. SATIRE : une satire est une œuvre dont l’objectif est une critique moqueuse de son sujet (des individus, des organisations …), souvent dans l’intention de provoquer ou prévenir un changement. ( Charles BEER, discours prononcé le 22 juin 2005 Besoin de rire faire face à la réalité – Prendre du recul par rapport à ce qu’il peut y avoir se sérieux, de tragique. Rire et critique : pour le décalage, pour l’absurde Rire pour lâcher prise Rire et satire : liberté d’expression

« L’espagnol est sévère. » Synthèse Finale : L’utopie est ainsi utiliser dans le but de cacher et de promouvoir une critique virulente de la société européenne mais surtout française avec notamment l’utilisation de masques telle que l’humour, la satire, et aussi la description d’un monde lointain se rapportant implicitement au monde réel ne dissimulent pas totalement l’audace de l’auteur. C’est pour cela que l’œuvre ne sera publié qu’au titre posthume par le Bret, un ami de Cyrano. L’utilisation

d’ouvrir la bouche – cet organe est symbolique de l’érotisme et finalement, Ovide, en semblant vouloir favoriser le jeu amoureux et aider les femmes à s’y livrer dans les meilleures conditions, leur recommande au contraire de s’y soustraire ! B) La satire 1) Ovide, de façon très misogyne, critique les femmes et leur aptitude au mensonge, à la dissimulation : cf. les analyses menées précédemment : beaucoup d’expressions disent la dissimulation : occule (cache) / abde (cache) / tangat (que recouvre)

est souvent mieux perçu s'il est délivré de façon amusante: La Fontaine dénonçait la Cour à travers ses fables, en ayant recours à des moyens de démonstration et de persuasion, dont les plus remarquables sont l’anthropomorphisme, l’allégorie et la satire, comme dans la fable ‘‘Les Obsèques de la Lionne’’. Après le XVIIIe siècle, seuls quelques écrivains s'en inspirent, pour en faire des parodies, comme Georges Orwell ou Pavloff, dans dans leurs contre-utopies ‘‘1984’’et ‘‘Le Matin brun ’’. L’agrément

Châtiments en 1870 rédigé par Théodore de Banville. Il a en effet constaté que : « [Victor Hugo] a en une fois et tout d’un coup, comme une créature à qui les mondes ne coûtent rien, rajeuni, repétri, retransformé vingt formes de l’art, forçant la satire à se faire, sous sa main de géant, ode, épopée, roman, tragédie, chanson et à soupirer et à chanter, elle qui n’avait jamais fait que rugir, et à résonner tour à tour sur toutes les cordes diverses de la lyre. » Cette énumération de genres paraît

construites sur le même modèle à partir d'un infinitif (ce que l'on trouve déjà dans le sonnet précédent), relèvent avec dérision certaines attitudes que l'on devine propres au courtisan. La dernière strophe, conclusive, révèle clairement la cible de la satire et introduit une opposition entre la cour de Rome et la personne-même du poète. EXPLICATION LINEAIRE Le premier quatrain débute par le procédé majeur, l'emploi de la proposition infinitive (il y en aura quatre dans ce quatrain, neuf sur l'ensemble