Satin

scène, le metteur en scène sollicite l'imagination du spectateur afin d'évoquer dans son esprit, la représentation de paysages imaginaires, de contrées lointaines.  Exemple 1 : C'est le rôle de l'annonciateur dans la scène première du Soulier de Satin, --> Il évoque " l'épave d'un navire démâté qui flotte au gré des courants"  Exemple 2 : Rhinocéros, représentation de Demarcy Motta. Il sollucite l'imagination du public car il ne peut reproduire la scène de la transformation de Jean en rhinocéros

analytique n° 5 (oral) Corrigé nourri de l’analyse de l’excellent site consacré à Rimbaud : http://abardel.free.fr/petite_anthologie/conte.htm Introduction [Amorce] « C’est ce que vous ne comprendrez pas qui est le plus beau » (Claudel, Le Soulier de satin). [Auteur] Rimbaud (1854-1891), l’adolescent-poète, le génie fugueur et rebelle, qui cesse d’écrire à vingt ans mais renouvelle et bouleverse la poésie, en quelques années et quelques recueils, avant de devenir « l’homme aux semelles de vent ». La

public ; La scène peut être variée, mais des impératifs : nécessité d’être vu (cf étymologie « théamai » = je vois, je regarde). • Le temps… d’un spectacle : contraintes d’horaire (événement collectif) ; limite de durée humaine (cf Le Soulier de satin de Claudel : 5 heures, un maximum). • Les limites des possibilités techniques (cf texte annexe de Ionesco) 2. Les nécessités inhérentes à l’œuvre, au texte • A certaines époques soumis à des règles très strictes (classicisme) • Même au XXè où

L’indication temporelle « le jour va naître » (v.2) précise le moment. Les didascalies initiales mettent l’accent sur Don Salluste par la description de ses vêtements caractérisés par la richesse « manteau de cour, velours, brodé d’or, satin, plumes », l’évocation de ses attributs « la Toison d’or, la grande coquille ». Gudiel est présenté « en noir » comme un homme de l’ombre. De son côté, Ruy Blas paraît un homme inférieur en « livrée » et « sans épée ». Une accumulation de termes relatifs

pour les voitures aux lignes aérodynamiques : robes du soir très formelles avec d’énormes cols rabattus, toilettes du soir très élégantes aux décolletés profonds faisant ressortir les radiateurs entre des froufrous d’organdi et de larges bandes de satin pour les soirées de Gala! Hermine pour tapisser les capotes convertibles des décapotables, avec les poignées des portières en peau de phoque et manchon de bison pour couvrir le moteur ! La matérialisation de ce design Dalínien doublait automatiquement

prostitue pour gagner de l’argent et se met dans un cercle sans fin qui lui enlève toute dignité et féminité. 2- Un retour à la réalité (9-15)« hue donc ! hue donc » (l.12) ; « elle se mit à galoper » (l.11)Animalisation Nana et Satin sont totalement déshumanisées, ce qui exclue encore une fois ces jeunes filles/femmes en difficulté dans la société.« Des jupes fuyaient » (l.13)ComparaisonElles sont réduites à un seul vêtement, représentatif de leur métier, qui les déshumanise encore

défroques de princesse déchue, dort dans un entassement de coussins duveteux et d'immenses draps épais sous des combles près du Sacré-cœur, vit dans son rêve éthylique et anisé. La plage de son esprit est noire et triste. Étendue dans ses linges de satin, son nom est volupté et elle le calligraphie de ses membres suaves sur le corps de ses millions d'amants. Entre deux sucres verts et amers. C'est pourtant comme si chaque coup de rein érodait progressivement sa conscience jusqu'à l'obscurité finale

la France giscardienne, celle des années 70, de la télévision pailletée, des mythiques émissions de variétés de Maritie et Gilbert Carpentier. Personnalité ambiguë, certainement très méconnue encore, pas toujour saussi brillante que ses costumes satinés, Claude François est aujourd'hui une icône. Le 11 mars 2000, 22 ans jour pour jour après sa disparition, une place Claude-François est inaugurée en fanfare au pied de son ancien domicile parisien. Le 11 mars 2003, ce nouvel anniversaire est largement

par sa destination qu’elle ne remarqua que trop tard l’Hêtre vers lequel elle se dirigeait. Même si l’obstacle s’allongeait sur plus de vingt mètres de hauteurs et déployait une envergure importante avec ses grandes et nombreuses feuilles d’un vert satiné, Félicité n’avait constaté sa présence auparavant. Elle avançait avec un tel entrain que s’arrêter en chemin la renverserait en arrière. Sans plus réfléchir, l’étourdie continua sa course et se retrouva bientôt bloquée par l’arbre. Freinée tout d’un

sur les tendances comme elle règne sur le cœur de son mari, avec panache Sa paru­rière et marchande de modes, la demoi­selle Rose Bertin, qui tient par ailleurs boutique dans la rue du Faubourg-Saint-Honoré, à Paris, orchestre la révo­lu­tion de satin de la jeune souve­raine, elle lui donne un nouveau pouvoir en veillant à ce que chacune de ses appa­ri­tions publiques crée toujours plus de surprise et d’en­vie que la précé­dente. Les deux femmes ont été présen­tées l’une à l’autre par la duchesse