Sapinière

grand comédien lorsqu'il hélait son jeune compagnon à la grille de l'école. C'est l'appel à quoi Frantz nous avait fait jurer de nous rendre, n'importe où et n'importe quand. Mais que demande-t-il ici, aujourd'hui, celui-là? «Cela vient de la grande sapinière à gauche, dis-je à mivoix. C'est un braconnier sans doute.» Jasmin secoue la tête: «Tu sais bien que non», dit-il. Puis, plus bas: «Ils sont dans le pays, tous les deux, depuis ce matin. J'ai surpris Ganache à onze heures en train de guetter dans

Pratiquées > Randonnée sous toutes ses formes : pédestre, équestre, VTT. > Sport d'eau vive dans l’oued Talembote et ses deux affluents Farda et Laklaâ, escalade, canyoning, pêche à la truite. Sites d'intérêt touristique > Quantarat Rabi à Talembote, Sapinière de Talassametane, Cascade de Chrafate, Forêt Izzarene, Ras el Ma, Kehf Ennssour, Ain Danou (Chefchaouen), massif de Boukouya (Al Hoceima), Bab Boudir (Taza), Jebel Lakraâ, Jbel Tissouka, Jbel Bouhchem. Principaux Souks Jour Lundi Mardi Mercredi

les éléments marquants sont l’escalade, comme dans les Cerces, le pastoralisme (grande transhumance notamment), les paysages construits du plateau de Charnière. La montagne forestière Elle comprend quatre sous-ensembles bien distincts - La hêtraie-sapinière-pessière du Valbonnais correspond à la « classique » forêt montagnarde mêlée d'épicéa. Elle est trouée par des pelouses supra-forestières, des landes à éricacées sur les éboulis de pied de pente, des bocages et des villages de fond de vallée. On

des chaumières sont impures D'avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches au

chaumières sont impures D'avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins – 79 – Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches au sol

bourgs où des chaumières sont impures D'avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches au sol

des chaumières sont impures D'avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches au

bourgs où des chaumières sont impures D’avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j’ai dormi au sol des sapinières Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m’apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j’approche En entrant j’ai béni les foules des deux mains Cité j’ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches au sol

bourgs où des chaumières sont impures D'avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j'ai dormi au sol des sapinières - 64 - Enfin Ô soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m'apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j'approche En entrant j'ai béni les foules des deux mains Cité j'ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches

des chaumières sont impures D’avoir des hiboux morts cloués à leur plafond Mes kilomètres longs Mes tristesses plénières Les squelettes de doigts terminant les sapins Ont égaré ma route et mes rêves poupins Souvent et j’ai dormi au sol des sapinières Enfin O soir pâmé Au bout de mes chemins La ville m’apparut très grave au son des cloches Et ma luxure meurt à présent que j’approche En entrant j’ai béni les foules des deux mains Cité j’ai ri de tes palais tels que des truffes Blanches au