Saparmyrat Nyýazow

Autrefois république socialiste soviétique jusqu'en 1991, il portait le nom de Turkménie ou officiellement République socialiste soviétique du Turkménistan (en turkmène cyrillique : Түркменистан Совет Социалистик Республикасы, Түркменистан ССР). Saparmyrat Nyýazow était le premier secrétaire du parti communiste de la république socialiste soviétique du Turkménistan entre 1985 et 1991, puis président du Turkménistan jusqu'à sa mort en décembre 2006. Un très important culte de sa personnalité est encore

dictateur turkmène Saparmyrat Nyýazow par Jean-Claude Narcy où sont présents quatre chefs de grandes entreprises dont Martin Bouygues. Cette émission, révélant la collusion et le mélange des genres entre les hautes sphères médiatiques, économiques et politiques, ne sera jamais diffusée. En effet, le président à vie du Turkménistan y insiste sur ses relations d'amitié avec Martin Bouygues et sur les rencontres fréquentes qu'ils entretiennent. Après son décès en décembre 2006, Saparmyrat Nyýazow est enterré

toujours pas clos. Le terme a donné lieu à de nombreuses définitions, différentes et parfois antagonistes selon les convictions des auteurs. Certains auteurs qualifient de totalitaires des régimes comme l'URSS sous Staline, le Turkménistan sous Saparmyrat Nyýazow, la Corée du Nord sous Kim Il-sung puis Kim Jong-il, le Cambodge sous Pol Pot, Cuba sous Fidel Castro ou la Chine à l'époque de Mao Zedong[48]. Les politologues des débuts de la Guerre froide ont beaucoup cité Hannah Arendt pour sa comparaison

toujours pas clos. Le terme a donné lieu à de nombreuses définitions, différentes et parfois antagonistes selon les convictions des auteurs. Certains auteurs qualifient de totalitaires des régimes comme l'URSS sous Staline, le Turkménistan sous Saparmyrat Nyýazow, la Corée du Nord sous Kim Il-sung puis Kim Jong-il, le Cambodge sous Pol Pot, Cuba sous Fidel Castro ou la Chine à l'époque de Mao Zedong[48]. Les politologues des débuts de la Guerre froide ont beaucoup cité Hannah Arendt pour sa comparaison

donné lieu à de nombreuses définitions, différentes et parfois antagonistes selon les convictions des auteurs. Certains auteurs qualifient de totalitaires des régimes comme l'Allemagne sous Adolf Hitler, l'URSS sous Staline, le Turkménistan sous Saparmyrat Nyýazow, la Corée du Nord sous Kim Il-sung puis Kim Jong-il, le Cambodge sous les Khmers rouges, Cuba sous Fidel Castro, la Chine à l'époque de Mao Zedong[48] ou l'Afghanistan sous les Talibans. Les politologues des débuts de la Guerre froide ont

donné lieu à de nombreuses définitions, différentes et parfois antagonistes selon les convictions des auteurs. Certains auteurs qualifient de totalitaires des régimes comme l'Allemagne sous Adolf Hitler, l'URSS sous Staline, le Turkménistan sous Saparmyrat Nyýazow, la Corée du Nord sous Kim Il-sung puis Kim Jong-il, le Cambodge sous Pol Pot (Khmers rouges), L'Iran sous Khomeini, Cuba sous Fidel Castro, la Chine à l'époque de Mao Zedong[56] ou l'Afghanistan sous les Talibans. L'Empire du Japon de 1932

donné lieu à de nombreuses définitions, différentes et parfois antagonistes selon les convictions des auteurs. Certains auteurs qualifient de totalitaires des régimes comme l'Allemagne sous Adolf Hitler, l'URSS sous Staline, le Turkménistan sous Saparmyrat Nyýazow, la Corée du Nord sous Kim Il-sung puis Kim Jong-il, le Cambodge sous Pol Pot (Khmers rouges), L'Iran sous Khomeini, Cuba sous Fidel Castro, la Chine à l'époque de Mao Zedong[56] ou l'Afghanistan sous les Talibans. L'Empire du Japon de 1932

donné lieu à de nombreuses définitions, différentes et parfois antagonistes selon les convictions des auteurs. Certains auteurs qualifient de totalitaires des régimes comme l'Allemagne sous Adolf Hitler, l'URSS sous Staline, le Turkménistan sous Saparmyrat Nyýazow, la Corée du Nord sous Kim Il-sung puis Kim Jong-il, le Cambodge sous Pol Pot (Khmers rouges), L'Iran sous Khomeini, Cuba sous Fidel Castro, la Chine à l'époque de Mao Zedong[54] ou l'Afghanistan sous les Talibans. L'Empire du Japon de 1932