Sanctification du nom de Dieu

"Ni lui ni ses parents n'ont péché, répond-il, mais c'est pour qu'en lui soient manifestées les oeuvres de Dieu." Curieuses oeuvres, que de rendre aveugle un homme innocent ! Ce serait là le travail d'un Dieu capricieux, distrait ou incompétent. Ecartons de nous ces pensées blasphématoires. En réalité, ni l'homme physique actuel ni ses parents ne sont responsables de son état. Mais le Dieu intérieur de l'homme, l'Esprit, a été incapable de construire un corps sain en raison de fautes antérieures

°oOo° _______________ LA DEFINITION TRADITIONNELLE DU « NOMBRE D’OR » OU « DIVINE PROPORTION » Au IIIème siècle avant JC, Euclide a fort bien donné, dans son livre VI des « Eléments », la définition exacte de la « divine proportion », sans la nommer, en parlant du « partage d’un segment en extrême et moyenne raison : « Trois points alignés ABC forment une section dorée s’il y a de la petite partie à la grande le même rapport que la grande au tout ». Soyons concrets, et traçons un segment de droite

et mariage, oisiveté et travail, spiritualité et athéisme. Le roman semble se clore sur une fin heureuse, mais il est imprégné d’un pessimisme (Schopenhauer). Roman moral, mais pas moralisateur. Empreint du mysticisme. Sorte de Paganisme (idée que Dieu est partout). Roman chrétien : s’achève sur une révélation. Il ouvre la voie au mysticisme de Tolstoï tout en envisageant d’autres horizons. L’origine du mythe russe : mythe des grands espaces, des grandes passions. C’est un texte universel. Lévine

autorité : les mécanismes de légitimation politique, pas les mêmes dans le monde grec, perse ou égyptien. Pourtant quand Alexandre persécute Persépolis, en même temps qu’il a des vues sur Roxanne, il va revendiquer pour lui-même le statut de demi-dieu. Bien qu’il soit de culture et d’éducation grecque, Alexandre fait le choix d’une légitimité qui le rattache au sacré, au domaine perse ou égyptien. Cela ne va pas se faire sans tensions avec le monde grec. La révolte du contingent grec est sans doute

............................ 14 Le retour à Dieu ou le repentir ............................................................................................... 16 La patience (ou l’endurance).................................................................................................. 22 La sincérité (ou la véracité) .................................................................................................... 27 Le contrôle permanent de Dieu............................................

se fonde sur l’idée que l’homme a été fait à l’image de Dieu. La relation de l’homme à son créateur s’établit essentiellement par le truchement de la responsabilité éthique. » (Chaliand et Mousset, p. 16). Je développe ce dernier point. C'est à Jérusalem que l'homme s’est rendu compte qu'il a une conscience irréductible dans laquelle il est appelé à communiquer avec Dieu. A Jérusalem, se manifeste avec éclat le dialogue intérieur avec Dieu, ce qui suppose l'altérité, la transcendance. A Jérusalem

le cours de mes études, lorsque je fus atteint d'une maladie qui me tint pendant un semestre éloigné des leçons. Après ma guérison, je suivis les cours de Boeckh, de Lachmann et de Michelet. Mon triennium étant ainsi achevé, je me propose de subir, Dieu aidant, l'examen pro facultate docendi. » Quelques noms, quelques dates, une maladie, un voyage, nous ne connaissons rien de plus des premières années de celui qui devait un jour s'appeler Max Stirner. Ce curriculum vitæ, qu'il rédigea en 1834 lorsqu'il

hommes sur terre ont droit à la vérité, à Dieu. Je dis à travers les citations coraniques et celles du Prophète (mon unique documentation) ma conviction et ma foi. Ce droit de l'homme à Dieu ne peut être satisfait par un développement d'idées remâchées, hypocritement saupoudrées d'objectivité. Je présente mon témoignage enveloppé dans le langage d'origine que j'essaie de traduire en une langue profane dont je n'ai pas la pratique. Pour dire la vérité sur Dieu, sur l'homme et son destin, sur le sens

le cours de mes études, lorsque je fus atteint d'une maladie qui me tint pendant un semestre éloigné des leçons. Après ma guérison, je suivis les cours de Boeckh, de Lachmann et de Michelet. Mon triennium étant ainsi achevé, je me propose de subir, Dieu aidant, l'examen pro facultate docendi." Quelques noms, quelques dates, une maladie, un voyage, nous ne connaissons rien de plus des premières années de celui qui devait un jour s'appeler Max Stirner. Ce curriculum vitæ, qu'il rédigea en 1834

Croirai-je que je ne suis rien? Croirai-je que je suis dieu ? 3-227 et 244 Toutes choses changent et se succèdent. Vous vous trompez, il y a... Et quoi ne dites-vous pas vous-même que le ciel et les oiseaux prouvent Dieu? non. Et votre religion ne le dit-elle pas ? non. Car encore que cela est vrai en un sens pour quelques âmes à qui Dieu donna cette lumière, néanmoins cela est faux à l'égard de la plupart. 4-184 Lettre pour porter à rechercher Dieu. Et puis le faire chercher chez les philosophes