Salut les copains

de la Rép René Coty nomme Pierre Pflimlin pdt du Conseil. Celui-ci est favorable à une négociation avec le FLN en Algérie, et certains, à droite, l’accusent de vouloir brader l’Algérie. A Alger, l’armée dirigée par Salan et Massu forme un Comité de salut public, qui refuse l’autorité de Pflimlin. Salan veut que DG arrive au pouvoir, et menace de faire un putsch le 27 mai. DG se déclare prêt à prendre la tête de l’exécutif dès le 15 mai. Finalement Pflimlin, pourtant soutenu par l’AN, démissionne le

personnes parviennent l’une après l’autre à s’enfuir à bord d’une Isetta, privée pour l’occasion de batterie et de chauffage. Ou, 4 hommes revêtus d’uniformes soviétiques confectionnés par leur compagne d’évasion passent tranquillement le Mur, sous le salut respectueux des sentinelles. Si l’attitude de certains gardes frontières est condamnable, d’autres désertèrent d'ailleurs pour ensuite apporter leur aide aux passeurs de l'Ouest, où une organisation d'aide se met en place. En particulier, le musée

grenadine, c’est connu, ça plaît aux filles… Je me dis mais qu’est-ce que je fous là ? J’ai les boules56. Les yeux me piquent. Heureusement que je porte des lentilles, avec la fumée, tout s’explique. — Salut Marianne, tu vas bien ? me demande une minette57 avec qui j’étais en terminale. — Salut !… en avant pour les quatre bises… ça va. Ça fait plaisir de te revoir, il y avait si longtemps… Où tu étais passée ? — Les autres t’ont pas dit ? J’étais aux States, attends, tu me croiras jamais, un

tourne vers lui. Il grimaça un sourire ; l’officier resta de marbre. C’est alors que Jean se tourna, lui aussi et s’exclama : – T’es plus mort ? (Et il enchaîna :) Mon copain Michel, bien que Breton, était victime du mal de mer ! Je te présente le capitaine Roger Duchateau. L’officier américain lui tendit la main sans avoir attendu un salut – militaire – que Michel s’apprêtait à lui adresser, ainsi que les “classes” le lui avaient inculqué. Il arrêta donc son geste à mihauteur et prit la main qu’on lui

carabinées. En ce sens, il ne se trompait pas. La ville était à peu près complète, maintenant ; je commen- çais à débiter des cours de sciences naturelles, de géologie, de physique, et des tas d’autres trucs dans le genre. Ils m’envoyaient tous leurs copains. Les filles étaient terribles. À quatorze ans, elles s’arrangeaient déjà pour se faire peloter, et, pourtant, il faut y mettre du sien pour trouver un prétexte à pe- lotage en achetant un livre. Mais, à tout coup, ça rendait : elles me faisaient tâter

m’habilla vite fait. Comme tout les mardi, j’alla voir ma mère et mon père dans le Limousin. Une fois arriver je vit mes parents en train de parler à une femme. Elle était plutôt grande avec des yeux marrons, et des cheveux long. Je fait un petit salut à tout le monde. Nous allons nous asseoir dans le canapé, et papa me parlait de tout et de rien. Puis, il me parla de cette femme. Elle s’appelais Sophie et avait crée sa propre entreprise. Je comprit tout de suite se que mon père essayait de faire

carabinées. En ce sens, il ne se trompait pas. La ville était à peu près complète, maintenant ; je commençais à débiter des cours de sciences naturelles, de géologie, de physique, et des tas d’autres trucs dans le genre. Ils m’envoyaient tous leurs copains. Les filles étaient terribles. À quatorze ans, elles s’arrangeaient déjà pour se faire peloter, et, pourtant, il faut y mettre du sien pour trouver un prétexte à pelotage en achetant un livre. Mais, à tout coup, ça rendait : elles me faisaient tâter

conditionnement culturel est celui de la déclaration de la Sacrée Congrégation pour la doctrine de la foi (1980): | |«Cependant, on devra bien distinguer du suicide le sacrifice par lequel, pour une cause supérieure — comme la gloire de Dieu, le salut des âmes| |ou le service des frères —, on offre ou l’on met en péril sa propre vie.» Une définition du suicide ne devrait être ni trop étroite, qui | |exclurait par exemple des suicides accomplis au nom de valeurs supérieures (le suicide altruiste

société. De la naissance à la mort, la religion est présente à chaque instant de la vie des hommes au Moyen Age. Les fêtes religieuses rythment l’année et la vie sociale des paroisses et des corporations. Les chrétiens sont soucieux d’assurer leur salut. Le jour du Jugement dernier, en effet, les bon, qui accèderont au royaume des cieux, seront séparés des méchants qui brûleront en enfer. Aussi la foi s’exprime-t-elle par la prière, la pratique régulière, la vénération des reliques, la construction

fêter ça. Elles sont affectueuses, non ? (Au Bois de Boulogne… mes tout-petits… un jour, je serai déchu de mes droits de fraternité.) La suite se déroule en bas, chez les enfants, où nous improvisons un festin brésilien. Jérémy a dégoté chez un copain de l’immeuble un disque de Ney Matogiosso, le plus fondu des chanteurs pluri-sexués du continent sud-américain. La musique gueule, Tante Julia danse avec ses rêves incarnés. Je bois café brasileiro sur café brasileiro, couvé par les tendres regards