Salut fasciste

Fascismes en Europe : 1919-1945 Le fascisme rappelle un passé récent qui se caractérise par le génocide de millions d’hommes et de femmes pour leur soi-disante race ou leurs opinions politiques. Il décrit en premier lieu le mouvement fasciste de Mussolini en Italie qui existe depuis 1919, avant de devenir un terme générique pour tous les mouvements extrêmes nationalistes. Cette idéologie rejette le libéralisme et l’individualisme et s’oppose au mouvement ouvrier marxiste, ainsi qu’au socialisme

localisée.La publication en France             Le livre est purement allemand et destiné aux allemands, il est donc complexe à analyser dans les autres pays.  En France, la trajectoire du livre est chaotique. Des nationalistes comme Fernand Sorlot (fasciste proche de Marcel Bucard et son mouvement franciste) souhaitent faire traduire le livre par antisémitisme ou encore par germanophobie. La LICA s’associe aussi afin de prévenir les juifs de l’antisémitisme hitlérien. La LICA finance d’une forte somme

se transformait en une pression nationaliste de droite. 1917 : tournant de la guerre. Clemenceau président du Conseil = républicain radical de 76 ans, le Tigre ou Père la Victoire. Veut une guerre intégrale. Instaure une sorte de « dictature de Salut public » = parlementaires perdent une part de leur responsabilité. Généralise le rationnement en 1918 : tout pouvoir du gouvernement sur production, vente, consommation des denrées. L’immédiat après-guerre : un difficile retour à la paix 1919-1924

5468 : les 15-24 passe de 6 à 8 millions. - Evolution démographique. Tp de jeune  danger public, menace pr l’ordre public - Les jeunes se montrent de + en + autonome  ils se manifestent ds le domaine culture = la radio, la TV, l’émission « salut les copains »  Structuration de cette indépendance + les « idoles des jeunes » = identification à une idole A cette culture de la jeunesse va s’ajouter la culture américaine (vestimentaire, alimentaire, musicale). Ex : la pop musique va créer

rythmer le quotidien des élèves : on se lève pour parler, on salue le professeur, on garde la place qui nous est attribuée. Plus on avance, plus il y a de règles et plus elles sont contraignantes. Tout le monde s’habille en blanc, tout le monde fait un salut. On pourrait se dire que face à cette atteinte à leur individualité, les élèves, fort de leur enseignement sur l’escalade autocratique, seraient les premiers à se rebeller contre cet affront direct à leur liberté. Qui ne l’aurait pas fait ? Pourtant

charisme, il s'impose comme la seule figure capable d'assurer la survie et la cohésion d'un mouvement aux multiples tendances. C'est à partir de cette date que s'élabore le mythe du Führer, du « Guide », fondé sur un rituel sophistiqué, l'usage du salut hitlérien et l'application du principe du chef (Führerprinzip), qui consiste en un respect absolu de la hiérarchie. Hitler sait laisser de côté ses idées les plus violentes pour se consacrer à son premier objectif, la conquête du pouvoir par les voies

leur opposition à la république. Léon Daudet était Camelot du Roi. Le 2nd courant est celui dans Jeunesses Patriotes quand, ils admirent le fascisme en Italie et veulent le copier. Ils vont donc créer un groupe d’intervention, reprendre l’uniforme fasciste et se battre à coup de pioche contre leur opposant (socialiste et communistes) avec à leur tête JE NE SAIS PAS QUI Le 3ème mouvement est le Faisceau crée par George Valois en 1925 il est tout d’abord soutenu par les milieux d’affaires qui financent

lieu d'une nuit). Ces avancées servent la presse à fort tirages de droite dont les attaques contre le gouvernement coïncide avec la période de forte instabilité gouvernementale qui débouche sur la manifestation du 6 février 1934 ("Le coup d'état fasciste a échoué" titre Le Populaire). La virulence de la presse atteint son acmé en 1936 avec l'élection du Front Populaire ("Le ministère juif est fait" titre Maurras). Cette apothéose a lieu avec l'affaire Salengro, une campagne de diffamation à propos

aurait été résigné ! Alors comment dans le pays le plus industrialisé d’Europe, qui comptait la classe ouvrière la plus importante et la mieux organisée du monde, avec les partis de gauche les plus puissants, comment donc en Allemagne un groupuscule fasciste qui comptait quelques milliers de membres au milieu des années 1920 a-t-il pu prendre le pouvoir ? Comment le mouvement nazi a-t-il réussi à s’imposer à la classe ouvrière allemande, riche d’une expérience dans les luttes déjà ancienne, et l’obliger

la moitié en Bavière et les régions proches. Hitler acquis le pouvoir de désigner seul les responsables du parti dès mai 1926. Le principe du Führer s'est imposé au congrès de Weimar où les votes furent bannis. C'est là que Hitler inaugura le salut fasciste. Une nouvelle étape fut franchie lors du congrès de Nuremberg en 1927. Revêtu de la chemise brune, Hitler y occupa une position centrale obsédante, à la tête d'un parti militarisé défilant au milieu des drapeaux déployés. Pourtant cette impression