Salut fasciste

Les villageois dans la congrégation ont touché leurs fronts comme l'oxenfords a fait leur descente l'allée centrale au banc familial. Les fermiers plus riches, tous de ce qui ont loué leur terre du Père, a incliné leurs têtes dans des saluts polis. Ce rituel féodal risible a fait Margaret avec l'embarras chaque fois c'est arrivé. On a supposé que tous les hommes ont été égal avant Dieu, n'est-ce pas ? Elle a voulu crier : "mon père n'est mieux qu'aucun d'entre vous"! Un jour ou l'autre peut-être

Chaban-Delmas. Le moment est venu pour les Américains de passer à l’offensive. Le 30 avril 1958, Michel Debré déclare « Il n’est que temps de réagir et, depuis les meilleurs siècles de la République romaine, on sait ce que signifie réagir. Le gouvernement de Salut public est la seule formule moderne qui définit les mécanismes très anciens grâce auxquels, la Rome libre et fière, en ces temps de crise, allait chercher un Cincinnatus pour lui confier, pendant un temps déterminé, et avec des pouvoirs exceptionnels

expliquer comment fonctionne un régime totalitaire. Les élèves, croient que cette forme de régime n'est plus possible, de nos jours, en Allemagne. Il met alors en place une sorte de « communauté ». Rassemblée autour d'un symbole (une vague), un salut (signe de la vague avec la main), un uniforme (chemise blanche pour tous le monde) et des règles (on n’appellera plus le professeur par son prénom, on dira « monsieur Wenger », on ne le tutoiera plus, et on se lèvera pour parler après avoir demandé

30 avril 1945). Cette ressemblance peut permettre à Chaplin de réaliser une violente critique du régime totalitaire nazi. Les noms des Etats et des personnages que Chaplin dénonce sont transformés. L’Allemagne nazie devient la Tomanie et l’Italie fasciste la Bactérie. Hitler devient Hynkel, Mussolini devient Napoleoni. La double croix remplace également la croix gammée. Chaplin veut réveiller l’opinion publique américaine très passive à la fin des années 30 face au nazisme et risque de guerre qu’il

Bilan du franquisme De 1939 jusqu’à la mort de Franco en 1975, le franquisme reste identique à lui-même. Il s’adapte seulement aux circonstances. Ce qui change, c’est la forme ; on renonce à des signes extérieurs trop compromettants, comme le salut fasciste, et à un vocabulaire qui rappellerait trop le totalitarisme. Sur l’essentiel, on ne cède rien. De bout en bout, le franquisme reste un régime autoritaire dans lequel la moitié de l’Espagne impose sa domination à l’autre. Le Caudillo pratique l’immobilisme

à partir de 1920, le mouvement fasciste se met au service des possédants. Des squadre (escouades) de « Chemises noires », auxquelles adhèrent massivement des jeunes gens issus de petite et moyenne bourgeoisie, entretiennent un climat de violence, s’attaquant aux syndicats et aux organisations de gauche. Une prise de pouvoir légale En mai 1921, les élections envoient 35 députés fascistes au Parlement. En novembre 1921, Mussolini crée le parti national fasciste, dont le programme est bien différent

 •scandales politico-financiers (affaire Stavisky)           •agitation des ligues qui rendent le Parlement responsable de la crise et qui déclenchent une émeute à Paris le 6 février 1934 Les partis de gauche dénoncent une tentative de coup d'Etat fasciste et s'unissent pour défendre la démocratie. En 1935 ils s'unissent et forment le Front populaire, avec un slogan: " pour le pain, la paix, la liberté " : • le pain, à cause de la crise économique  • la paix, à cause de l'Allemagne qui ne respecte

déplorables) Xénophobie = haine envers les étranger Boycott magasins juif = magasins juif Antisémite = haine envers les juif Autodafé = livre d’intellectuels juif Hitler est chancelier = le 30 janvier 1933 Symboles du nazisme = croix gammée, salut hitlérien et l’aigle impérial Ligue = groupe d’extrême droite prenant l’antisémite, l’antiparlementarisme est un pouvoir exécutif fort Agressions Dates Les alliances Dates Remilitarisation de la Rhénanie

parties : la première se passant en 1938 et la seconde en 1943 ou 1944. En résumé : En 1938, Guido est un jeune homme juif , plein de vie , épris de Dora, une jeune institutrice. Celle-ci, enfermée dans l’environnement rigide et austère de l’Italie fasciste, se laisse séduire par la fantaisie, l’humour et la tendresse de Guido. Quelques années plus tard, le couple qui a désormais un fils, Giosué, est déportés comme de nombreux autres Juifs vers un cap de la mort. Là, dans les baraques des hommes, Guido

s'oppose l'homme fasciste viril, guerrier et courageux. Ce sont de jeunes athlètes blonds au type aryen en Allemagne. Les affiches de sport en Italie développent elles aussi ce culte de la beauté du corps. Les images de l'entre-deux-guerres sont à l'image du chef, ce culte de la personnalité reproduit de nombreuses photographies d'Hitler. Dans cette affiche italienne d'exposition fasciste, Le Duce apparaît robotisé et reproduit à l'infini. Il est intéressant de comparer ces images fascistes aux productions