Salut fasciste

sommes demandés ce que tu écrivais encore. - Devine, chevalier. - Je ne sais pas à quoi tu pensais, mais je sais à quoi tu devrais penser. Toi, qui écris si bien, et qui as tant d’imagination, tu pourrais peut-être écrire aux membres du Comité de salut public, pour argumenter notre défense. On nous accuse d’avoir tenu des propos séditieux, d’avoir comploté avec les fédérés, nous républicains convaincus, révolutionnaires de la première heure ! Nous avons droit à un procès équitable, nous avons droit

cité par J.-J. CHEVALLIER. Jamais appliquée en raison du caractère provisoire de la situation. Cette non-application débouche sur un gouvernement élaboré de façon empirique, fort, efficace et presque dictatorial : la Convention, puis son Comité de Salut Public et enfin Robespierre.

de terreur venu d’en bas avant une terreur venu d’en haut. En décembre 1792, il vote la mort du roi, l’ennemi intérieur par excellence. 3- Danton et la terreur 8 L’indulgent Après l’échec qu’il subit à la tête du comité de salut publique ( rendu coupable des défaites sur les frontiéres ) et la mort de sa femme Danton ce retire à Arcis-Sur-Aube chez sa mère , mais l’inactivité lui pèse et très vite il retourne à Paris. En son absence le régime c’est radicalisé , il commence

Constitution »). 3/ Action pendant la Révolution : Le Tiers-Etat (le peuple) renversa l'ordre établi et la Révolution éclata. En janvier 1793 le roi Louis XVI fut guillotiné et en octobre la reine Marie-Antoinette. Au mois d'août fut institué un « comité de salut public » ( comité de membres élus pour proposer des mesures rapides face aux menaces pesant sur la France) qui sous la direction de Danton puis de Robespierre gouverna la France. La Révolution se fit très violente. Froid et ambitieux, Robespierre prit

arrestation ainsi que celle d’une vingtaine de ses collaborateurs. Leur sentence fut, sans délai, celle qu’ils avaient, eux-mêmes, pris coutume d’administrer à tous leurs opposants. Dès lors, le Gouvernement révolutionnaire est désorganisé, le comité de Salut Public est remanié et sa compétence est limitée à la guerre et aux affaires étrangères, des garanties judiciaires sont instaurées, les « suspects » d’hier sont libérés et la liberté de culte est rétablie. Cette période, marquée par une grave crise

révolutionnaires et le commandant en chef des forces républicaines.   Victor Hugo a de même personnifié dans un proconsul idéal, Cimourdain, les vertus stoïques et l'indomptable ténacité des délégués de la Convention. Cimourdain, mandaté par le Comité de salut public, va donc retrouver en Vendée Gauvain, son élève et son fils d'adoption. L'insurrection a pris de l’ampleur, grâce au marquis de Lantenac ; les petites colonnes républicaines se sont fait écraser. On fusille deux femmes, dont l'une a trois enfants ;

révolutionnaire montagnard Dans cette première partie, nous verrons tout d’abord l’instauration de la terreur (A). Ensuite, dans un second temps, nous verrons les pouvoirs du comité de salut public (B). A. L’instauration de la terreur. Le fait essentiel et déterminant est qu’en juillet 1793 le comité de salut public est complètement investit par les montagnards, sous la direction de Robespierre. Dès lors, ce comité qui n’est pourtant en théorie qu’une simple commission interne de la convention

décret « la République est une et indivisible » Serment des députés à la Nation: « Au nom de la Nation, je jure de maintenir la liberté et l’égalité ou de mourir à mon poste » Convention girondine: Septembre 1792-Juin 1793 -création du « Comité de salut public »=organe du gouvernement révolutionnaire -création « Tribunal révolutionnaire» = juridiction criminelle extraordinaire è lutte pour la liberté, l’égalité, l’unité, l’indivisibilité de la République, la sûreté intérieure et extérieure de l’État

L'année 1793 qui débute par la mort du roi Louis XVI (le 21 janvier), est caractérisée par la mise en place des institutions répressives : le Tribunal révolutionnaire en mars et le Comité de salut public en avril. C'est le triomphe des Montagnards. Les députés girondins sont exclus, et plusieurs sont guillotinés. A l'appel de Robespierre, des sans-culottes parisiens guidés par Varlet et Roux, chef de fil des Enragés, encerclent la Convention et réclament la mise en accusation des députés de la Gironde

structure administrative et judiciaire. Il s’agit là d’une réponse aux Sans-Culottes qui réclame du pain et la guillotine partout dans Paris. La Terreur est alors décrétée par le Comité de Salut Public, notamment par le jacobin Royer et l’Enragé Roux. Pour cela la Loi des suspects est adoptée en 1793. Le Comité de Salut Public, composé de onze conventionnels, devient l’organe essentiel du Gouvernement révolutionnaire. La Police et la Surveillance du pays sont placés entre les mains du Comité de Sûreté