Saltimbanque

folies. Depuis longtemps je me vantais de posséder tous les paysages possibles, et trouvais dérisoires les célébrités de la peinture et de la poésie modernes. J'aimais les peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires ; la littérature démodée, latin d'église, livres érotiques sans orthographe, romans de nos aïeules, contes de fées, petits livres de l'enfance, opéras vieux, refrains niais, rythmes naïfs. Je rêvais

PICASSO Il peint ses premiers tableaux à l’âge de 10 ans. Il fait des études à l’école des Beaux-arts de Barc elone. Période bleue : 1901 Son meilleur ami meurt. Il utilise les teintes bleu es pour exprimer la tristesse. Il peint des saltimbanques, des mendiants. Ses tableaux exprimen t la misère et la pauvreté. Période rose : 1904-1906 Période plus joyeuse, en teintes rouges, roses, jau nes. Un grand nombre de ses personnages sont inspirés du cirque. http://missiontice.ac-besancon

on ne va pas s’habiller de la même façon. Il existe un marquage des corps, il est le lieu d’appartenance à différents groupes. L’adolescent exprime à travers le style qu’il met en évidence son appartenance à une secte, une meute ou un groupe de saltimbanques (Pour Lisa Navarro !). Dans ce sens-là le corps est révélateur de la structure de pouvoir qui traverse une société. II. La prise du corps sexué dans une problématique du pouvoir Si on remonte à l’époque de l’ancien régime, le principe d’interprétation

double VI. Chacun sa chimère VII. Le fou et la Vénus VIII. Le chien et le flacon IX. Le mauvais vitrier X. A une heure du matin XI. La femme sauvage et (...) XII. Les foules XIII. Les veuves XIV. Le vieux saltimbanque XV. Le gâteau XVI. L’horloge XVII. Un hémisphère dans (...) XVIII. L’invitation au (...) XIX. Le joujou du pauvre XX. Les dons des fées XXI. Les tentations, ou (...) XXII. Le crépuscule du soir XXIII

donnéJ'étais très heureuxInsouciantJe croyais jouer aux brigandsNous avions volé le trésor de Golconde et nous allions,grâce au transsibérien, le cacher de l'autre côté du mondeJe devais le défendre contre les voleurs de l'Oural qui avaient attaquéles saltimbanques de Jules Verne Contre les khoungouzes, les boxers de la ChineEt les enragés petits mongols du Grand-Lama Alibaba et les quarante voleursEt les fidèles du terrible Vieux de la montagneEt surtout, contre les plus modernesLes rats d'hôtelEt les spécialistes

Question1 On attend ici que l’élève dégage le premier degré des textes qui lui sont proposés : « La cigale et la fourmi » souligne les dangers d’une existence imprévoyante et peu soucieuse des réalités matérielles, les déboires de cette vie de saltimbanque dont la cigale est ici représentative ; « La cigale » d’Anouilh montre au contraire qu’il est naïf de prendre les artistes pour des gens désintéressés et uniquement préoccupés par leur art, qu’en matière d’argent le plus cynique n’est pas toujours

par les athlètes sans but de compétition : - des exercices physiques (assouplissements, musculation, courses... ) pour se préparer à l'athlétisme, la lutte ou le pugilat (bagarre à coups de poings). - Des figures acrobatiques exécutées par des saltimbanques (des sauts, des équilibres sur les mains... ) Au début du 19e siècle, l'Allemand Ludwig Jahn lance la gymnastique avec des appareils ou agrès (cheval de bois, poutre, barre fixe, barres parallèles).Ces différents agrès sont utilisés en Allemagne

« rêver », et l’aboutissement dans le paragraphe « inventer ». Cette présence du rêve et des « enchantements » donne un caractère poétique au texte. L’auteur emploie aussi des énumérations : « peintures idiotes, dessus de portes, décors, toiles de saltimbanques, enseignes, enluminures populaires (…) », « croisades, voyages de découvertes dont on n’a pas de relations, républiques sans histoires, guerres de religion étouffées (…) ». Enfin, ce texte parle de poésie et devient de la poésie. L’auteur décrit

et non en librairie ou chez les marchands de musique). Toutes ces formes relèvent de la poésie et renouent avec les aspects primitifs de ce genre à la fois écrit et musical, toujours recommencé : le chant du rhapsode ou de l’aède, du troubadour, saltimbanque ou du clerc.

d’Oscar Wilde - Elle est amoureuse du Baptiste - Elle le veut mort ou vif, sans pressions de sa mère - Salomé et - St Jean Baptiste libres de leur énonciation - Pas de banquet • Hérodias de Gustave Flaubert - Salomé enfantine - Acrobatie + saltimbanque à la fin Réécriture : - Les mythes fondateurs : mythologie grecque : fond inépuisable - Les textes à l’origines d’un genre : l’Odyssée ou l’Iliade d’Homère Genre épique - Les imitations : parodies - Passage d’un genre à un autre : Roman