Saloum

proposée modestement de le situer avant de parler de sa composition suivant ces deux aspects que nous aborderons. Toujours est- il que leur pèlerinage s’est terminé dans cette localité où on les trouve actuellement et qui va de l’Océan Atlantique au Saloum*. Pourquoi parler des Sereers du sine dans ce travail qui porte sur l’amour ? Nous répondrons d’abord que c’est bien parce que « le milieu détermine l’individu ». Et qu’on ne peut parler de LSS sans pour autant se référer au milieu qui l’a engendré

établissements d’exportation. Le WWF, dans le cadre du Programme USAID/WULA NAFAA, exécute le volet pêche de gestion des ressources naturelles qui vise l’élaboration et la mise en œuvre du plan d’aménagement des ressources halieutiques dans les îles du Saloum. C’est dans ce contexte, qu’ ENDA Diapol/REPAO, en partenariat avec le WWF/WAMER, font la promotion des bonnes pratiques d’hygiène et de salubrité, l’information et la sensibilisation sur la traçabilité et l’écolabellisation, dans le cadre du projet

palais de Justice, les hôtels, le palais présidentiel de Poponguine, le village de Thiaroye, entre autres qui ont été évaluées à cette hauteur. Les zones les plus menacées sont la Presqu’île, Saint-Louis, la Petite Côte, la Casamance, les îles du Saloum. Les mamelles de Ouakam font partie des zones les plus vulnérables. Quelques solutions peuvent être envisagées pour diminuer l’érosion côtière -Rétablir les plages, les techniques de protection, la conception et la réalisation d’ouvrages de défense

prés de 45 % de l'effectif (tableau 4).Ces ethnies proviennent de différentes zones. A Mbour seuls 5% des individus interrogés n'y sont pas permanents. Ils viennent pour la plupart des îles du Saloum, de Guéréo et de Saint-Louis, tandis qu'à Joal les migrants (45%) proviennent de Mbour, des Iles du Saloum, de Ndayane, de Guéréo et de Guet-ndar (tableau 5).Tableau 4: Répartition ethnique des capitaines-piroguiers | Mbour | Joal | Total | Ethnie | V. absolue | V. relative | V. absolue

d'eau .- Ministère de l'Agriculture - Centre Technique du Génie Rural des Eaux et des Forêts (CTGREF), Mémoire n° 11. HLAVEK (K.) et DUPUIS [J.] 1978 .- Proposition pour la résolution des problèmes de l'eau en milieu rural dans la région du Sine Saloum (Sénégal) .- Rapport SATEC/SODEVA. SOLAGES (S.) 1978 .- Moyens et techniques d'exploitation .- Extrait de l'étude sur les "Méthodes d'études et de recherches de l'eau souterraine des roches cristallines" (CIEH/GEOHYDRAULIQUE). o o o 27

restauration de mangroves pour absorber du carbone et neutraliser son empreinte carbone. En 2009, déjà, grâce au soutien du Fonds Danone pour la Nature, 36 millions de palétuviers avaient été replantés sur quelque 2 000 ha en Casamance et dans le Saloum (Sénégal), ce qui devrait représenter environ 100 000 t de CO2 absorbées en dix ans. Ces écosystèmes constituent en effet de véritables «puits de carbone» – la mangrove est composée de 90% de carbone et stocke une quantité importante de CO2 dans ses

économique 02/2 002 ME Ambassade France). Production et valeur ajoutée. Le marché national est animé par les sociétés de production de boissons locales très dynamiques dans le secteur de l’agroalimentaire (additifs de goût): La société des eaux Kirène, Saloum Agroalimentaire, Mamelles Jaboot, SOBOA Le marché national est porteur. Une forte demande s’est exprimée dans le passé, mais seul l’ITA a été en mesure de fournir le concentré à partir de ses laboratoires, en quantité très insuffisante. Les prix

Introduction  Admirer les façades coloniales de Saint-Louis, explorer le delta du Saloum en pirogue, acheter des amulettes au marché de Kaolack, pêcher le barracuda à Cap-Skirring, boire un jus de fleurs d'hibiscus sur la Corniche de Dakar, randonner dans les vertes collines du pays bassari, voici quelques merveilles qui donnent envie de visiter le Sénégal. Les parcs nationaux sénégalais ainsi que les nombreuses réserves de faunes présentes sur le territoire font aussi parties des joyaux d’Afrique

L’installation des Lébou dans la presqu’ile du Cap-Vert se situerait vers la fin du XVIème siècle après «  qu’ils eurent chassé ses premiers occupants les Sossés qui la peuplaient à l’époque et qui prirent la direction du sud-est vers la Gambie et le Saloum ». L’introduction de l’islam dans cet espace est le résultat de nombreux contacts noués avec les commerçants maures, mais aussi de l’afflux massif des marabouts du Ndiambour et du Cayor. D’ailleurs Mollien faisait remarquer en 1818 que : « Les Lébous

intermédiation entre les morts et les vivants, le roi en Afrique se présente en tant que magicien ou comme un dieu ou un descendant de Dieu. Ainsi, nous pouvons citer le cas du Damel du Cayor dont le caractère sacré et la puissance magique, comme le Bour du Saloum, ont été fortement identifiés dans les cérémonies d’intronisation. Nous avons également le cas du Brak du Walo qui obéit au rituel païen du bain sacré. Au Mali, des sujets frappaient la terre avec leurs coudes et jetaient la poussière sur le dos