Salon du livre de Paris

Millet s'y exerce en copiant les toiles de maîtres et s'initie aux maîtres hollandais et espagnols. Le conseil municipal de Cherbourg et le conseil général de la Manche lui octroient ensuite une pension pour qu'il puisse continuer son apprentissage à Paris. Il s'y installe en 1837 et étudie à l'école des Beaux-Arts à partir du 27 mars[2] dans l'atelier du peintre académique Delaroche. Deux ans plus tard, il est 18e sur 20 au premier essai pour le Prix de Rome le 10 avril, mais échoue au second essai

plus belles femmes de Paris. Il est surnommé le Beau Sue. Il tente de se faire admettre dans les différents salons parisiens, il adhère au Jockey Club. Très vite, en sept ans, la fortune est dilapidée. C'est un auteur prolifique quoique méconnu. On dénombre sept romans exotiques et maritimes, onze romans de mœurs, dix romans historiques, quinze romans sociaux, deux recueils de nouvelles, huit ouvrages politiques et dix-neuf œuvres théâtrales. C'est son œuvre les «Mystères de Paris» qui le rend célèbre

la vie intellectuelle est concentrée à Paris, qui fait figure de capitale intellectuelle de l’Europe au XVIIIe siècle. Le Français s’impose, plus que jamais, comme la langue de la culture et des échanges diplomatiques. Mais les Lumières ne concernent en fait qu’une élite, formée de la grande noblesse et de la haute bourgeoisie surtout financière. Les principaux penseurs et leurs entourages se réunissent dans des salons, des cafés (le Procope à Paris) et les journaux contribuent à les faire

La querelle critique des années 1950 : Abstraction géométrique contre abstraction lyrique. La querelle critique dont nous allons débattre a lieu après la Seconde Guerre mondiale, en France et plus particulièrement à Paris, dans le monde de l'art abstrait. Je voudrais en premier lieu tenter de définir rapidement ce qu'est que l'abstraction. On considère habituellement l'aquarelle « sans titre » peinte par Kandinsky en 1910, comme la première oeuvre abstraite. L'apparition de l'art contemporain

possible pour aider le Père Goriot. b) Les personnages fréquentant les salons du Faubourg Saint-Germain On a d'abord le personnage de Mme de Beauséant. Il s'agit de la cousine éloignée d'Eugène de Rastignac, épouse de M. de Beauséant décrit comme un homme blasé et sans intérêts (« Monsieur de Beauséant, semblable a beaucoup de gens blasés, n'avait plus guère d'autres plaisirs que ceux de la bonne chère »). Figure du « tout-Paris », elle vit dans un hôtel particulier rue de Grenelle sur le Faubourg

J’ai choisi le livre « De Sacha à Macha » l’auteur est Rachel Mausfater Douieb, l’illustratrice est Yaël Hassan. Ce livre contient 160 pages, ce livre ne contient ni chapitres ni épilogue. Il n’y apas vraiment de narrateur car les 2 personnages principaux discutent par mail et ils s’expriment à la 1ere personne du singulier. Sacha et Macha habitent tous deux aux alentours de Paris, l’histoirese déroule dans le salon de Macha et dans la chambre de Sacha. L’histoire se déroule aussi à St-Petersburg

Nom : Sellami Prénom : Yacine - Fiche de lecture – Titre du livre : « Le Tartuffe » Auteur : Molière Editeur : Larousse Collection : « Nouveaux classiques Larousse » • L’auteur : Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est un homme de nationalité française né à Paris le 15 janvier 1622 et mort le17 février 1673 à Paris, est un dramaturge auteur de comédies, mais aussi un comédien et chef de troupe de théâtre français qui s'est illustré au début du règne de Louis XIV sous le nom de « L’ Illustre Théâtre

------------------------------------------------- Tannhäuser de Wagner, ------------------------------------------------- Sa réception à Paris de 1861 à 1880 ------------------------------------------------- L’œuvre TANNHÄUSER Opéra en trois actes Musique et poème de Richard Wagner Création de la version originale : 19 octobre 1845, Dresde, Hoftheater Création de la version parisienne : 13 mars 1861, Paris, Opéra Portrait de Richard

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MARIVAUX - Née en 1688, dans une famille de petite noblesse. En 1710 il s’installe à Paris. - Il interrompt ces études de droit pour se consacrer à la littérature, il fréquente des salons littéraires. Il écrit d’abord des romans d’aventure. En 1721 il écrit un journal qui s’appelle « Le spectateur français ». - Il traverse beaucoup de drame : la mort de son père et la mort de sa femme. Il fait faillite en 1720. Cela le pousse a beaucoup écrire. - Elu à l’académie française en