Salamano Etranger

« conventionnelle » à la suite de la mort de sa mère et pour avoir tué une personne sans raisons valables, c’est en prison qu’il va se rendre compte des réalités de la société. Il meurt en restant l’homme digne de ce qu’il a toujours été : un homme certes étranger à la société, mais aimant la vie et toujours à la recherche de la vérité. 1)Repérez les passages qui mettent Meursault en lien avec d’autres personnages ; caractérisez le mode de relation du héros avec les autres. Meursault apparaît dès le

peur ou quels sentiments peuvent traverser Meursault lorsqu’il dit : - « ce n’est pas ma faute.. » p9 - « j’ai cru qu’il me reprochait quelque chose » p11 - « j’ai eu un moment l’impression ridicule qu’ils étaient là pour me juger. » ? S’il semble étranger aux pratiques sociales, il ressent un fort sentiment de culpabilité. Il a peur d’être jugé sur ce qu’il fait, sur ses attitudes et surtout d’avoir envoyé sa mère à l’asile. Il a mauvaise conscience même s’il ne pouvait garder sa mère auprès de lui

constate que malgré la mort de ça mère, sa vie n’avait pas changé. Chapitre 3 : Lundi, Meursault retourne à son travail et à son restaurant habituel et agit comme si la mort de ma mère était une affaire classé. Le soir, il rencontre le vieux Salamano et son chien, qu’il bat et insulte constamment. Ensuite son voisin Raymond Sintès qui a une réputation de souteneur (paye des femmes..), l’invite à manger et lui raconte comment il s’est battu avec le frère de sa maîtresse et qu’il l’a soupçonne

s’appelle l’Etranger ? Meursault, il est étranger aux autres. Il ne sent pas d’amour, d’empathie, … Etranger aux conventions sociales, à ce qui se fait. Ex : la mort de sa mère dont il n’a voulu voir le corps. Notion de hasard -> toutes les relations de Meursault sont dues au hasard. Il est taciturne, peu loquace, laisse parler les autres. Il permet aux autres de s’exprimer et quelque part il « oblige » incite l’autre à parler de par son silence. Il est même étranger à lui-même. Pourquoi tire-t-il

s'amusent et s'endorment ensemble sur une bouée . Le soir, ils vont au cinéma . Ils passent la nuit ensemble. Le dimanche matin elle part avant son réveil. Dans l'escalier de son immeuble, Meursault rencontre Salamano, son voisin de palier, accompagné de son chien, un épagneul . Dès qu'il quitte Salamano, son autre voisin de palier, Raymond Sintès, l'invite à venir manger . Ce voisin a mauvaise réputation. Raymond Sintès se confie à Meursault : l'homme avec qui il s'est battu est le frère d'une femme qu'il

partie qu'il ne l'est pas réellement et qu'il sait s'ouvrir aux autres. Il mène une existence médiocre limitée à la répétition mécanique des gestes quotidiens et à la recherche de sensations très primitives. Il vit dans une sorte de torpeur, une étrange indifférence. Au moment d'agir, de choisir entre deux activités, il dit souvent : « ça m'est égal ». Il représente l'homme avant la prise de conscience de l'absurde de l'existence, mais il est déjà préparé le découvrir. Il se comporte sans illusion

d'affection - et non « Ma mère » et que la remarque qu’il fait lorsqu’il entend Salamano sangloter pour la disparition de son chien (« Et au bizarre petit bruit qui a traversé la cloison, j’ai compris qu’il pleurait. Je ne sais pas pourquoi j’ai pensé à maman. ») montre sa sensibilité. Mais il est vrai que la suite du roman, qui s’attache à multiplier les notations les plus insignifiantes, laisse le lecteur perplexe : quel étrange personnage que ce Meursault… Par son goût profond des joies physiques que

travaille beaucoup. A midi, il va manger chez Céleste avec son collègue, Emmanuel. Ensuite, il rentre chez lui et fait une sieste, puis retourne à son bureau. Le soir en rentrant chez lui, il rencontre dans les escaliers son voisin de palier, le vieux Salamano, accompagné de son chien, un épagneul malade et recouvert de croûtes, que le vieil homme insulte à longueur de temps. Il croise ensuite son autre voisin de palier, Raymond Sintès, un homme mal vu car soupçonné d’être un souteneur. Mangeant tous les

côté, je peux m’identifier avec Meursault lui-même, particulièrement à la fin du roman après avoir lu le livre pour une deuxième fois. J’ai trouvé qu’au début son personnage était difficile à comprendre parce qu’il est un individu très bizarre et étrange, mais il est plus facile de comprendre son point de vue dans la deuxième partie du livre et à comprendre la signification plus profonde derrière ses valeurs obscures et détachement de la vie parce qu'ils ont plus de contexte quand il sait et le lecteur

effet, Meursault semble étranger au monde et à lui-même. Il se contente de faire l’inventaire de ses envies et de son ennuis comme dans un journal intime. Il représente tout à fait le personnage absurde. L’œuvre eut du succès, en effet ce roman est célèbre dans le monde entier. III- Etude du titre La forme du titre est un nom désignant le personnage. Il fait référence à la caractéristique du personnage, il est étranger à la société comme le dit le titre « étranger ». il désigne le personnage