Salaire Ennemi Emploi

prenante. Les États faibles qui échappent difficilement au statut de « clients » des plus forts y perdent en marge de manœuvre mais peu­vent y gagner une certaine sécurité. Dans l'entreprise, patrons et ouvriers ont des intérêts opposés en matière de salaires ou de mobilité professionnelle mais un in­térêt commun à la survie de la firme. Ces conflits potentiels s'inscrivent dans un système global d'inter­dépendance qui pose d'emblée des limites à l'ag­gravation éventuelle du conflit ; sauf à raisonner

C'est l'âge d'or du capitalisme où les principaux pays occidentaux (France, Italie, Royaume-Unie, RFA, Japon entre autre, les EU n'ayant pas vraiment connu une telle révolution) ont connu une croissance économique ininterrompue accompagnée du plein emploi, ce qui constitue un fait sans précédent dans l’histoire. Cette période de faste durera une trentaine d'années, allant de la fin de la seconde guerre mondiale en 1945 jusqu'en 1973, date qui marque le premier choc pétrolier consécutif à une réaction

(stalinienne). Par cette signature, les deux pays se trouvent placés dans le même camp. A partir du moment où ce pacte est signé, les communistes des pays occidentaux se trouvent dans une situation délicate. Les communistes se trouvent, de fait, des ennemis de la France puisque (indirectement) aux côtés des Allemands. A partir de là, un certain nombre de militants de la CGT demandent que ce pacte soit condamné par leur organisation. Cette condamnation n’intervient qu’en janvier 1940. Entre-temps, les

les moyens utilisés pour l'obtention des intérêts sollicités. Ces «intérêts représentés et défendus par les syndicats sont tout d'abord des intérêts immédiats et concrets qui concernent le salaire, le travail et l'emploi[6]». Il s'agit principalement de l'obtention des hausses salariales ou du maintient du salaire, la durée du travail en termes d'heures ou de semaine, de mois, les dangers inhérents à l'emploi ainsi qu'aux cadences ou à l'organisation du travail et enfin, à l'obtention de garanties

faible et le plein emploi est assuré. Cette croissance est basée sur la hausse de la consommation. Le fordisme (le travail à la chaîne et la hausse des salaires des ouvriers) se généralise dans tous les secteurs, cela permet une hausse de la productivité et une baisse des prix. Une vaste gamme de produit devient accessible à de large couche de la population. Donc la consommation augmente. La consommation progresse aussi grâce a la baisse du chômage et à la hausse des salaires. Désormais tous les

- 4 grandes mutations转变 majeures constituent le contexte. En matière de RH, on retrouve les notions de marketing. Le consommateur est aussi salarié. -La mondialisation. Il y a aujourd’hui une multitude de camps, les amis peuvent devenir les ennemis, c’est la complexité du monde. On a des actions et des interactions entre les agents à un instant T, et peuvent être très différents à un Temps T+Λ. -La financiarisation. Il est plus facile de jouer sur les marchés en spéculant qu’en créant une

changements le régime du président ne s’est pas effondré en quelques jours, il y a des signes dès 2008, c'est-à-dire à partir du moment où l’activité économique s’est ralentie, il y a eu des entreprises qui ont des problèmes (licenciements, baisses de salaires, plus de recrutements) dans des régions il y avait des tensions et des grèves, cela aura pour conséquence est qu’une partie des responsables syndicaux vont commencer à se comporter comme un véritable syndicat, vont cesser d’être une institution de

augmentation de salaire sera, par exemple, octroyée indifféremment à tous les salariés de même caté­gorie dans une entreprise, au ternie d'une grève « réussie ». L'obtention de cet avantage n'implique pas que l'individu s'engage personnelle­ment dans l'action collective ; tout au contraire, il peut espérer que l'action des autres lui permettra d'avoir satisfaction sans qu'il ait eu à «payer de sa personne», sans qu'il ait eu à supporter les coûts parfois très élevés de la participation (perte de salaire, sanctions

interroger sur leur bonne volonté ménagère. Là, en théorie, 73 % des mâles adultes français estiment que les hommes « devraient mieux partager les tâches domestiques » (2). En théorie. Une situation désespérément stable : la dernière enquête « Emploi du temps » de l’Insee, en 1999, montrait déjà que peu de progrès avaient été réalisés depuis 1986 : en treize ans, huit minutes de travail domestique de plus pour les hommes, une de moins pour les femmes (3). Finalement, peu de choses ont bougé depuis

guerre éclate. Mais en 45-46, l’essentiel du cadre juridique est fixé. Les 25 ans de l’après-guerre, ce sont les 30 glorieuses, phase de croissance, on maintient la paix social en augmentant régulierement le pouvoir d’achat, période de quasi pleine emploi. Le seul objectif définit c les gains de productivité. Les sciences cognitives se développe, la psychologie entre ds les entreprises avec les tests psychométriques. Progressivement, les organisations se structure et les pb deviennent plus complexes