Salafisme djihadiste

politique, ð En vigueur en Arabie, son berceau. § Doctrine fondée par Abd Al Wahhab (1720-1792) censée être celle des "salafi" (successeurs de Mahomet) § Les Wahhabites prônent le "tahrib" (la contrainte) pour imposer l’islam 2. Le Salafisme 2.1. Caractères d’ensemble § De Salaf, ancêtre, il prône aussi le retour au chemin des ancêtres, aux valeurs les plus authentiques de l'Islam. § Interprétation figée des textes sacrés, hostile à toute innovation. § Il prend

dérive djihadiste de jeunes français (LM9-11/10/12) Suite à la mise en garde à vue, lundi 8 octobre, de 11 personnes, suite au démantèlement d'un groupe d'islamistes, on s'inquiète de la montée de l'islamisme radical chez les jeunes Français. Le chercheur Samir Amghar, spécialiste du salafisme, explique qu'une nouvelle dynamique de l'islamo-banditisme s'est créée, dans la mesure où des personnes choisissent, sous couvert de religion, la délinquance pour financer des filières djihadistes, puisque

l’autorité du calife, considéré comme le successeur de Mahomet dans l’exercice politique du pouvoir Djihadisme  : courant de l’islamisme favorable à la diffusion de la guerre sainte. Combattre les mécréants ( non croyants) Salafisme  : version fondamentaliste de l’islam répandue dans les pays du golfe. Ce mouvement religieux sunnite prône un retour aux pratiques en vigueur dans les communautés musulmanes au temps du prophète. Moudjahidine  :

du Moyen-Orient. Plus récemment en Syrie on assiste à une rébellion contre l’actuel gouvernement de Bachar el-Assad, menée principalement en termes d’effectif par le front islamique regroupant des brigades de combattants syriens se réclamant du salafisme ou des frères musulmans (environ 80 000 hommes). Les divergences que peuvent avoir les pays occidentaux sur la tactique à adopter ou les mouvements à soutenir peuvent être source de tensions et peuvent pat malheur entraîner une guerre. Citons la

remportent les élections législatives. Ce mouvement constitué d'ancien djihadistes arrive à séduire la population car elle est déçue par ce monde capitaliste et ne supporte plus les valeurs occidentales. De plus en plus de salafistes viennent du peuple, de toute facon qu'ils soient djihadistes ou venant du peuple ils ont toujours combattu les politiciens corrompus. Une affaire plus récente, l'affaire Merah démontre bien que le salafisme n'est pas uniquement une histoire de pays musulmans. Mohammed Merah

constamment leur unité en manifestant un soutien indéfectible aux Palestiniens. Cette aspiration unitaire se traduit aussi, paradoxalement, par le soutien à diverses formes de fondamentalisme, des courants quiétistes et piétistes de l’islam au salafisme radical. De tels courants effraient autant l’Occident que les Arabes sécularistes, mais ils incarnent la quête de sens et le désir de voir renaître une communauté unifiée. Si la pieuse oumma(communauté des croyants) a remplacé la grande nation arabe

amazigh aussi pragmatique que rigoriste. De ce fait, l’option politique actuelle de fonder le projet de "nationalisation" pour ne pas dire d’autochtonisation de l’islam marocain sur le malikisme pour le mettre à l’abri de la vague déferlante du salafisme international n’est pas née du vide. Sa force est de s’appuyer sur une histoire particulière de la production de l’idiologie religieuse par les différents sultans du Maroc et encore plus sur une religiosité particulière métissée, travaillée par les

observées parmi une foule majoritaire de jeunes banlieusards en "jean baskets". "Une majorité de jeunes musulmans se sont spontanément rassemblés, outrés par le film anti-islam", affirme au Point.fr le sociologue Samir Amghar (1). Le spécialiste du salafisme en veut pour preuve le fait que les participants n'aient même pas pris le soin de demander au préalable l'autorisation de manifester à la préfecture de police de Paris. De la même manière, ajoute-t-il, ils ne portaient aucune pancarte durant la manifestation

amazigh aussi pragmatique que rigoriste. De ce fait, l’option politique actuelle de fonder le projet de « nationalisation » pour ne pas dire d’autochtonisation de l’islam marocain sur le malikisme pour le mettre à l’abri de la vague déferlante du salafisme international n’est pas née du vide. Sa force est de s’appuyer sur une histoire particulière de la production de l’idéologie religieuse par les différents sultans du Maroc et encore plus sur une religiosité particulière métissée, travaillée par les

contestation de l’ordre politique,  En vigueur en Arabie, son berceau.  Doctrine fondée par Abd Al Wahhab (1720-1792) censée être celle des "salafi" (successeurs de Mahomet)  Les Wahhabites prônent le "tahrib" (la contrainte) pour imposer l’islam 2. Le Salafisme 2.1. Caractères d’ensemble  De Salaf, ancêtre, il prône aussi le retour au chemin des ancêtres, aux valeurs les plus authentiques de l'Islam.  Interprétation figée des textes sacrés, hostile à toute innovation.  Il prend sa source dans le Wahhabisme