Saint-Denis-de-l'Hôtel

fils des Lhomme Les Baudu : -M. Baudu : oncle de Denise, tient une boutique de tissus -Colomban : employé des Baudu -Denise : normande, 20 ans, employée du « Bonheur », vendeuse au rayon confections puis renvoyée puis reprise vendeuse puis seconde aux confections puis première (chef de rayon) au rayon costumes pour enfant -Baudu Elisabeth : épouse de M Baudu -Baudu Geneviève : fille des Baudu -Jean : frère de Denise, 16 ans -Pépé : frère de Denise, 5 ans Les clients du « Bonheur » : -Blanche : fille

|(lecture) |2°) Distinguer les discours narratif et descriptif. |Texte 1 | Au Bonheur des Dames, la situation initiale | | Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l’avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la | | | |dure banquette d’un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous

agricoles et des forêts2 .Naissance de centre secondaireC'est à Paris que l'on observe le plus la naissance d'une métropole multipolaire :-Le quartier d'affaires de La Défense c'est le premier centre et le premier quartier d'affaires d'Europe-La Plaine Saint-Denis c'est c'est le deuxième quartier d'affaires après la défense. il accueille le Stade de France mais aussi le plus grand campus universitaire londorcet- Technopôle du plateau de Saclay point le plateau va concentrer de grandes écoles, des entreprises

de Troyes écrit Perceval ou le conte du Graal. Perceval est représenté comme chevalier errant qui va d’aventure à aventure et qui accomplit de brillantes missions de défenseur des faibles et de redresseur des torts. Le but de ses aventures est le Saint Graal. Les deux autres livres sont de Patrick Modiano. Dans Rue des boutiques obscures Guy Roland est un amnésique. Il est détective et va s’enquêter sur sa propre vie. Dans ce livre il s’agit donc d’un personnage à la recherche de sa propre histoire

En 1717, il commence un second noviciat à La Flèche, puis s’engage à nouveau dans l’armée, cette fois comme officier. En 1721, il entre chez les bénédictins de l’abbaye de Saint-Wandrille, avant de prononcer ses vœux à l’abbaye de Jumièges et de passer sept ans dans diverses maisons de l’ordre, en Normandie. À l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, en 1727, il travaille à l’ouvrage des bénédictins, Gallia christiana. En 1728, il obtient une approbation pour les deux premiers tomes des Mémoires et aventures

1889 Naissance, le 5 juillet, à Maisons-Laffitte de Jean Cocteau, fils de Georges et Eugénie. Le couple a déjà deux enfants : Marthe, née en 1877 et Paul, en 1881. 1890 1897 La famille vit chez les grands-parents maternels : l’hiver, dans l’hôtel particulier du 45 rue La Bruyère à Paris ; l’été, dans la propriété de Maisons-Laffitte. Jean est un enfant choyé, mais nerveux, difficile de caractère et souvent malade. Il grandit dans un milieu mondain où l’on a le goût des arts. Son père dessine

bon sens, avec qui nous avions l'habitude de converser à l'occasion du souper. Mais une querelle avec Maupertuis (président de l’Académie de Berlin) nous poussa à quitter la cour et à nous installer en Suisse dans la demeure de sa maîtresse: Mme Denis. Il était alors âgé de soixante ans, moi de soixante-trois. En 1755, mon ami emmenagea aux « Délices », à côté de Genève, tandis que je retournais à Paris, et y invita ses amis (académiciens, savants, comédiens, ambassadeurs…). Par sa riche correspondance

César dans La Mort de Pompée, peint par Nicolas Mignard (1658). Collection Comédie-Française. Nom de naissance Jean-Baptiste Poquelin Autres noms Molière Activité(s) Dramaturge, Comédien Naissance Indéterminée, baptisé le 15 janvier 1622 Rue Saint-Honoré, Paris, Pavillon royal de la France.svg Royaume de France[1] Décès 17 février 1673 Paris, Royaume de France Royaume de France Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622[2] et mort à Paris le 17 février

Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Paul Verlaine suit des études secondaires en pension et devient bachelier, il renonce par la suite à des études de droit et entre comme employé à l'Hôtel de ville de Paris en même temps qu'il fréquente cafés et cercles littéraires comme celui des Vilains Bonshommes. Admirateur de Baudelaire, il s'essaie à la poésie et publie son premier recueil, Poèmes saturniens en 1866 à 22 ans. Frappé par le mariage

faire de ses plus belles souffrances, des "poulets". » Guy de Portalis Marie de Rabutin-Chantal, Marquise de Sévigné, est née le 5 février 1626, place Royale (actuellement place des Vosges) à Paris. Elle est la petite-fille de la future sainte Jeanne de Chantal, qui fonda l'ordre de la Visitation avec François de Sales. Son père Celse-Bénigne de Rabutin fut tué au combat quand elle avait 1 an (1627). Sa mère Marie de Coulanges mourut six ans plus tard. Orpheline à sept ans, la future madame