Saint-Bertrand-de-Comminges

que l'on retrouve par exemple dans le grec leukos « brillant, blanc » ou le latin lux « lumière », Lugus étant une divinité solaire et de la lumièrenote 3. D'autres villes ont porté le nom de Lugdunum, entre autres Laon dans l'Aisne, Saint-Bertrand-de-Comminges (Lugdunum Convenarum) dans la Haute-Garonne1. Le nom de Leyden (Leithon en 860, Legihan pour *Legthan au IXe siècle) aux Pays-Bas représente vraisemblablement un ancien Lugdunum2,3, mais il s'agit probablement d'une transposition de l'ancien

bourguignonnes », 229-245. Le terme de mépart vient du latin mispartistae. Voir la définition qu’en donne D. du Cange, Glossarium mediae et infimae latinitatis, éd. Carpentier-Henschel-Favre, V, 411. 8 Meunier, « La communauté des enfants-prêtres de Saint-André de Châteauroux », 9-25. 9 Guyot, « La communauté des enfants-prêtres, et l’inventaire des fondations de la paroisse de Mirecourt », 154203. 10 Fournié, Le ciel peut-il attendre ? Le culte du Purgatoire dans le Midi de la France (vers 1320 - vers

des Cévennes. Il parcourt le département du Gard puis traverse du nord au sud le département de l'Hérault à qui il donne son nom et se jette dans la mer Méditerranée. Lez : S'écoule alors vers le sud dans une étroite plaine entre les villages de Saint-Clément et Montferriersur-Lez sur la rive droite, Prades-le-Lez et Clapiers sur la rive gauche. Arrivé au pied du bois de Montmaur il passe entre les reliefs montpelliérains et de Castelnau-le-Lez au fond d'une gorge. Il retrouve la plaine littorale

massif des Cévennes. Il parcourt le département du Gard puis traverse du nord au sud le département de l'Hérault à qui il donne son nom et se jette dans la mer Méditerranée. Lez : S'écoule alors vers le sud dans une étroite plaine entre les villages de Saint-Clément et Montferriersur-Lez sur la rive droite, Prades-le-Lez et Clapiers sur la rive gauche. Arrivé au pied du bois de Montmaur il passe entre les reliefs montpelliérains et de Castelnau-le-Lez au fond d'une gorge. Il retrouve la plaine littorale

politique ; néanmoins, elle fut mêlée aux événements les plus graves de l’histoire des Valois et constitua un enjeu dans les difficiles négociations de paix et de mariage entre la cour de France et la reine d’Angleterre quelques mois à peine après la Saint-Barthélémy. Naissance Les poètes de cour célébrèrent la naissance de Marie-Élisabeth de France ; Ronsard et Baïf firent l’éloge de sa lignée [2] ; un disciple de Ronsard, écrivit un Hymne sur la naissance de Madame de France, fille du roy très-chrétien

58 à 52 avant J.-C. pour la Gaule chevelue. | |La romanisation avait donc largement commencé en Gaule du Sud, avec la fondation de villes comme Aquae Sextiae (Aix-en-Provence), Narbo | |Martius (Narbonne) ou Lugdunum Convenarum (Saint-Bertrand-de-Comminges), lorsque César entama la guerre des Gaules. On ne peut guère dresser | |de bilan de cette politique en profondeur avant le règne des Julio-Claudiens, mais on constate que, vers 50 de notre ère, la Gaule est dotée | |d’un tissu urbain

Midi-Pyrénées, Limousin, Poitou-Charentes sont respectivement limitrophes à l'est, au nord-est et au nord. À l'ouest, la région compte 275 kilomètres de côte, dite « côte d'Argent », seulement interrompus par le bassin d'Arcachon et par la baie de Saint-Jean-de-Luz. Au Sud, la chaîne des Pyrénées marque la frontière avec l'Espagne. Les principaux cours d'eau sont la Garonne, la Dordogne, l'Adour et le Lot. La Garonne (Garona en espagnol et Garoune(o) en gascon et en languedocien) est un fleuve français

(La), Chassagne-Montrachet Creuse : Chassagne (La) 5, Chassaing, Chassaing-Cheval, Chassignol, Chassignole (La), Chêne (Le), Chéniers Deux-Sèvres : Chesnaie (La) Dordogne : Cassagne (La), Chassaignes, Chassaing, Chasseignas Doubs : Chassagne-Saint-Denis, Chêne (Le) Eure : Chennebrun, Chesnay (Le), Chesne (Le), Quesnay (Le) Eure-et-Loir : Chassant, Chêne-Doré, Chesnaye (La) 2 Gard : Cassagnoles, Cassan Gers : Cassaigne Gironde : Casseuil Haute-Corse : Cassano Haute-Garonne : Cassagnabère-Tournas

avec l’accord du pape et l’année suivante, il est choisi par les grands l’année suivante et il est proclamé roi, « rex francorum ». Il est sacré à Soisson, par Saint Boniface. En 754, le Pape Etienne II l’appel au secours contre les Lombards, Pépin est victorieux en Italie, et en 755, le pape en personne le couronne une seconde fois à Saint Denis avec ses deux fils, Charles (Charlemagne) et Carloman. Et le pape lui décerne le titre de Patris des Romains, ce qui rattache ce roi au souvenir de la grande

multitude de notules relatives à des questions de toponymie et signées de Camille Jullian, Albert Grenier, etc. Il en existe un relevé en deux mémoires de fin d'études, dactylographiés, de l'Institut des Techniques de la Documentation : - M. de Lingua de Saint-Blanquat, Dépouillement systématique et analytique des articles et comptes rendus d'ouvrages relatifs à la toponymie française dans la Revue des Etudes anciennes, de son origine, 1899 à 1918. Paris, 1964, 37 pp. - G. Delaunay, Relevé des articles et