Sahraoui

états est déclarative mais un état non reconnu ou très peu ne peut avoir de véritable R.I. Dans les années 1970, le peuple Sahraouie a revendiqué son indépendance et déclaré son indépendance. Il se dit Etat mais les Nations Unis ont répondu que ce n’est pas le cas car cela reviendrait à amputer le Maroc une partie de son territoire. Seul l’Algérie reconnait la république Sahraouie pour affaiblir le Maroc. En Italie, dans les années 1990, un leader Umberto Bossi déclare que la Podolie ne fera plus

est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du front Polisario au Maroc qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. Devenu un enjeu global illustrant la rivalité entre le Maroc et l'Algérie, le dossier saharien bloque toujours la construction de l'Union du Maghreb arabe (UMA). Le territoire est revendiqué à la fois par le Maroc — qui l'appelle « Sahara marocain » — et par la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée par le Front Polisario en

la défunte OUA qui déjà a servi de cadre à la résolution de certains conflits à travers le continent. Les conflits restés pendants devront tôt ou tard constituer l'ordre du jour des rencontres au sommet de l'Union Africaine. Notamment le problème sahraouie, opposant le Maroc à la RASD2 qui attend d'être définitivement réglé. A l'analyse, on s'aperçoit que la question du règlement des conflits en Afrique constitue un défi majeur à relever par l'Union Africaine. Elle devrait y parvenir dans la perspective

marocaine. En plus de ça, cette initiative est une stratégie qui permettra d’apaiser les tensions régionalistes et de contrecarrer les revendications autonomistes de quelques entités ethniques et socioculturelles et surtout celles des séparatistes sahraouis menés par le front du Polisario |[pic]Sujet: regionalisation avancée   [pic]Mer 12 Aoû - 12:52 | |

accorder ses violons avec l’organisation sous-régionale. A en croire Jawad Kerdoudi, « Malgré son retrait de l’UA, le Maroc a continué à avoir de bonnes relations bilatérales avec les pays africains. C’est la reconnaissance de la République arabe sahraouie (RASD) par l’Union africaine qui a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Le Royaume n’est certes plus membre de l’organisation mais il est souvent présent lors de ses réunions ». ◆ A rappeler que Monsieur El Othmani, s’était rendu à Addis-Abeba

|RAJI |SALLE M5 | |3620 |RAMAH |3700 |SAHRAOUI |SALLE M6 | |3720 |SAID |3859 |SENNAN

volontaires et 130 salariés qui ont pour objectif de protéger les plus faibles sans faire de distinction de race ou de condition sociale. Ils veulent répandre une aide humanitaire dans les camps. Le Croissant-Rouge sahraoui veut apporter de l’aide et une protection aux populations sahraouie. EUCOCO travaille sur le conflit du Sahara Occidental, mais s’occupe également de la situation des réfugiés et des différents problèmes rencontrés sur les zones qui sont encore occupées par le Maroc. 4.3.3. Territoires

rencontres spécialisées portant sur le patrimoine culturel Hassani  ; le faible intérêt porté au travail artisanal, perçu comme limité à une catégorie sociale donnée et enfin la marginalisation de la femme, dont le rôle est central dans la culture sahraouie. 89. En dehors de quelques productions écrites promues par l’Agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du Sud du Royaume, le potentiel culturel de ces provinces est peu valorisé. De même, les entreprises ne

|ig |doigté, doigtier | |ae |maelström, groenendael |igt |doigt | |ah |dahlia, sahraoui, fellah, coprah |igts |doigts, rince-doigts | |ahs |fellahs, casbahs, poussahs |is |bois, fois, lois, pois | |ao

de l’Union Africaine (OUA) a changé d’appellation pour prendre le nom d’Union africaine. Actuellement, l’organisation rassemble 53 des 54 Etats africains, le Maroc s’est retiré de celle-ci en 1982 suite à la reconnaissance de la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD). Le but premier de l’Union est de renforcer la coopération dans tous les domaines entre les Etats africains. Dans ce cadre, l’UA soutient les projets économiques du nouveau partenariat pour l’Afrique (NEPAD). Les bonnes intentions