Sacrifice

Racine (1674), Acte II, scène 2, vers 531-579 Objectif : analyser la cruauté d’un dialogue tragique à travers la double énonciation Agamemnon, roi de Mycènes, a rassemblé la flotte des Grecs pour attaquer Troie. Toutefois les dieux exigent le sacrifice de sa fille Iphigénie pour accorder des vents favorables. Iphigénie […] Dieux ! avec quel amour la Grèce vous révère ! Quel bonheur de me voir la fille d'un tel père ! Agamemnon Vous méritiez, ma fille,

fait entrer à pleines voiles dans le port de Salente, au moment où il croyait arriver à Ithaque. Idoménée, roi de Salente, fait à Télémaque et à Mentor l'accueil le plus affectueux: il se rend avec eux au temple de Jupiter, où il avait ordonné un sacrifice pour le succès d'une guerre contre les Manduriens. Le sacrificateur, consultant les entrailles des victimes, fait tout espérer à Idoménée, et l'assure qu'il devra son bonheur à ses deux nouveaux hôtes. Pendant que Télémaque et Adoam s'entretenaient

lettre de Descartes à Elisabeth dont l’objet principal semble être le dépassement de l’orgueil et de l’égoïsme privé dans le sens d’un altruisme social, d’un civisme politique, et plus radicalement encore d’une attitude capable d’aller jusqu’au sacrifice de soi au bénéfice des ensembles sociaux dont nous faisons partie. La question que Descartes traite est donc à la fois morale et politique: doit-on préférer nos intérêts personnels à ceux des entités collectives d’appartenance ? Il s’agit ainsi ici

une quelconque entreprise , se tournant ainsi vers la facilité de « croire » plutôt que de s'évertuer à « savoir » et se pensant redevables de chaque présages favorables , les conduisant ainsi à faire des sacrifices en signe de gratitude: « […] Dès lors, ne pas conjurer ce prodige par des sacrifices et des vœux devient une impiété [...] »(l.20) Enfin,la diversité des « croyants » ainsi que la portée universelle de la superstition est également mise en exergue dans ce dernier paragraphe: « […]leurs

les autres hoplites et les plus pauvres sont rameurs sur des trières. Tous les citoyens doivent participer aux fêtes religieuses et notamment les rîtes surtout les sacrifices, pour obtenir la protection des Dieux a Athènes. Il y a un lien entre la vie civique et religieuse. Chaque de séances de l’Assemblée débute par un sacrifice, chaque départs de l’Armée aussi. Tout les 4ans il y a les grandes panathénées. Elle débute par une longue concession à travers la ville. Elles se terminent devant

société de consommation qui prend forme avec la création des grands magasins. Paradoxalement, Paul Valadier pense que l’ambition va jusqu’au sacrifice des liens sociaux. Certaines valeurs fondamentales sont donc sacrifiées. Paul Valadier souligne que l’ambition est difficilement associable avec la solidarité puisque la compétition nécessite des sacrifices allant jusqu’à détruire les liens sociaux. Emile Zola, lui, joue sur les valeurs de son temps opposant la spiritualité à la consommation. Pour

divinité. C’est la que l’on trouve l’Omphalos, l’autel-foyer, ou brûlait le feu sacré immortel, et dans ses profondeurs le siège de l’Oracle. Apollon est réputé pour habiter au moins par moments le temple de Delphes. Les sacrifices on lieu devant le temple, sur la table de sacrifice, à laquelle aboutit la voie sacrée (le chemin de procession pendant les fêtes, qui va de l’entrée de la cité jusqu’à l’acropole), et non sur l’autel car faire couler le sang dans un temple est proscrit. Selon la tradition

l'expédition et exigent le sacrifice d'Iphigénie, fille du chef des Grecs Agamemnon. Celui-ci hésite un long moment entre son devoir, son honneur de roi et l’amour de sa fille. Conseillé par Ulysse, il doit se résoudre à faire venir sa fille à Aulis pour la sacrifier. Nous étudierons la scène d’exposition où l’on peut comprendre que le départ à Trois est bouleverser tant qu’il n’y aura pas de vent et donc le sacrifice d’Iphigénie. En quoi Racine

fondait sur le militarisme, l’offrande de prisonniers, ou le sacrifice de victimes.. Tout ceci met en valeur la dimension guerrière de la cité. Les guerriers sont souvent représentés par avec un bouclier et un masque en forme de papillon (divinité de la mort). Mais ils sont aussi représentés à travers des animaux symboliques tel le jaguar qui est leur emblème. Le paradis guerrier était appelé « la colline de subsistance ». Sacrifices de consécration dans la Pyramide de la Lune A l’extrémité

temps des verbes, où le présent renforce le style direct des dialogues et leurs conséquences tandis que le passé simple et l’imparfait marquent les éléments de récit. La composition du chapitre apparaît selon une double inclusion qui enserre le sacrifice de paix. La première est formée par la reprise de la montée vers Dieu6 et, couronné d’une vision réservée aux « privilégiés des fils d’Israël ». Elle met à jour une formation autonome du récit situé au bas de la montagne. La seconde inclusion se