Rêve Exotique D

présentation de Perrette (un portrait antipatique à l’imparfait brosse son apparence vestimentaire, le mobile de son voyage et ses pensées à compter du vers 12 à 21: puis on passe de la description du personnage un peu moqueur d'une laitière emporté par son rêve, au discours direct qui restitue, dans un monologue enthousiaste, les rêves d’enrichissement de Perrette. On passe d'une vision d''un personnage séductrice à un personnage séduit par son imagination. Vers 22 à 27 : retour au récit avec le présent de

Le poème ondule donc comme Jeanne et l'image du serpent vient aussi renforcer métaphoriquement l'image de l'ondulation. C. La rêverie du poète 1. Un rêve exotique Jeanne invite aux rêves parce qu'elle incarne l'ailleurs, pour Baudelaire l'idéal absolu. Elle est métisse et pour parler d'elle Baudelaire emploie des références exotiques : « âcres parfum » « le serpent » « l'éléphant ». Tout ces éléments donne l'impression qu'elle est un ailleurs, elle invite le poète à un voyage des sens, tout

exceptionnelle. Ils deviennent des choses extraordinaires. Le « châle » est le point de départ d'une rêverie. A partir de quelques détails, la servante, « négresse », « andalouse », « créole », « au milieu de la mer », on est plongé dans une vie exotique et extraordinaire. On peut parler d'une cristallisation de l'amour. Mme Arnoux est comme une incarnation de la femme inaccessible, la femme mystérieuse mais derrière l'enthousiasme et le transport, un autre regard est présent qui est le point de

de qualité exceptionnelle. Ils deviennent des choses extraordinaires. Le «châle» est le point de départ d'une rêverie. A partir de quelques détails, la servante, «négresse», «andalouse», «créole», «au milieu de la mer», on est plongé dans une vie exotique et extraordinaire. On peut parler d'une cristallisation de l'amour. Mme Arnoux est comme une incarnation de la femme inaccessible, la femme mystérieuse mais derrière l'enthousiasme et le transport, un autre regard est présent qui est le point de

Le poème ondule donc comme Jeanne et l'image du serpent vient aussi renforcer métaphoriquement l'image de l'ondulation. C. La rêverie du poète 1. Un rêve exotique Jeanne invite aux rêves parce qu'elle incarne l'ailleurs, pour Baudelaire l'idéal absolu. Elle est métisse et pour parler d'elle Baudelaire emploie des références exotiques : « âcres parfum » « le serpent » « l'éléphant ». Tout ces éléments donne l'impression qu'elle est un ailleurs, elle invite le poète à un voyage des sens, tout

Duval, créole rencontrée à Paris et morte de la syphilis tout comme lui. Comment Baudelaire mystifie-t-il la femme et pourquoi? Ce poème appartient à la section idéal, idéal lié à la sensualité puisque la chevelure semble être un tremplin vers le rêve. Est-ce pour aboutir à un idéal? Est-ce un hymne amoureux? LECTURE I. 1. L'invocation lyrique Le poème commence par un ton oratoire propre à la prière, O est répété 3 fois en 2vers, Baudelaire semble appeler une divinité. De plus, le premier

voyage : Impératif - injonction « songe » (invitation à la rêverie commune) + rêve de « douceur » (rêve agréable) + destination inconnue et floue « aller là-bas vivre ensemble » Le poète cherche surtout à vivre à deux. Il rejette la solitude pour fonder un ailleurs commun. Il jette d’ailleurs un pont en faisant le choix de l’enjambement : Enjambement « Songe à la douceur/D'aller là-bas vivre ensemble » favorisant le rêve.· Le programme du voyage : série d’infinitifs « aimer » et « mourir ». L'infinitif

pas une banale description de ce bord de mer, mais sa transfiguration vivante. Un paysage transfiguré. Un point de vue qui transforme le réel. Le poète vient de se réveiller (« sors de la sieste ») : état de transition entre le rêve et la réalité : c'est un état qui peut influencer sa vision des choses. Ce qui va réellement introduire le merveilleux que le poète veut faire ressentir au lecteur, c'est la métaphore du hublot, comparé à une « lanterne magique » : la lumière

Ils  deviennent  des  choses  extraordinaires.  Le  «  châle  »  est  le  point de départ d'une rêverie. A partir de quelques détails, la servante,  « négresse »,  «  andalouse »,  « créole », « au milieu de la mer », on est plongé dans  une vie exotique et extraordinaire.     On  peut  parler  d'une  cristallisation  de  l'amour.  Mme  Arnoux  est  comme  une  incarnation  de  la  femme  inaccessible,  la  femme  mystérieuse  mais  derrière  l'enthousiasme  et le  transport, un  autre regard  est 

l’écume inconnu et les cieux »  ce qui désigne plus précisement l’élévation de l’auteur vers de nouveaux horizons comme par exemple vers un monde exotique . A la fin du poème l’auteur nous laisse sur une fin mysterieuse nous ne savons pas exactement ce que va devenir le poète , on sait juste qu’il semble perdu à la recherche de sa personne . Le voyage rêvé et voulu par Stéphane Mallarmé est en fait une métaphore de l'imagination dont l'auteur croit manquer (avec l'image de la page blanche).