Résumé Le Miroir Brisé

par exemple en ont démontré la recherche de l'infini dans chaque émotion humaine. On remarquera que le poète romantique a toujours un rapport particulier avec la nature. Jadis expression d'un ordre supérieur ou divin, elle est magnifiée en tant que miroir des passions humaines indomptables, seulement soumises à leurs propres nécessités, et prend une importance particulière dans toutes les œuvres romantiques. Le vague des passions Ce thème, dont la littérature allemande se fera l'écho la première

clochers » (l. 16) ; « innombrables » (l. 16) ; « pleins de cloches » (l. 18) ; « long convoi de navires » (l. 24). Trois des quatre éléments occupent une place importante dans cette ouverture. Le narrateur est en harmonie avec l’air, matérialisé par la brise qui lui apporte le chant des cloches mais surtout, il l’est avec la terre : l’herbe, le platane, le sol natal. L’eau, représentée par la Seine est un objet de fascination, elle sera, notons-le, 2 source d’angoisse : c’est en effet par l’eau que

grandrêve.La digue de granit explique tout à Ker Emma. Sans elle, Monsieur Ti ne serait pasrevenu de Buchenwald ; elle est la colonne vertébrale de Fanfan.Cette digue leur a appris à ne jamais abdiquer. Par trois fois, les grandes maréesd’hiver l’ont brisée : en 1894, 1928 et 1972. Elle fut toujours rebâtie.Le 1 er  juillet, date anniversaire de l’inauguration de la première digue, les gens de KerEmma dansent sur la digue de 1972. Ils fêtent leur victoire sur l’océan, leur fierté d’êtredifférents. Ils

- Du côté de l’imaginaire • 7 Séquence A À quOI Sert lA cruAuté dAnS leS récItS ImAgInAIreS ? 1. Pourquoi les contes de fée sont-ils parfois des contes d’effroi ? lecture pages 12-13 du manuel u Étude du conte (document 1) 1. Résumé du conte de Cendrillon par Charles Perrault. Un homme riche perd sa femme et se retrouve seul avec sa fille. Il se remarie avec une veuve belle et orgueilleuse, et mère de deux filles. Autant sa propre fille est bonne, autant les filles de sa nouvelle

approche critique du spectacle 18 Analyse du spectacle 22 En guise de synthèse…  A nnexes 24 Fiche artistique de Les Caprices de Marianne 25 Grille de scénario 26 Répliques 28 Liste des personnages 29 Les Caprices de Marianne (résumé) 30 Comparaison d’extraits 31 Biographie d’Alfred de Musset 32 Le mal du siècle 33 Les 7 questions aux personnages 34 Entretien avec Frédéric Bélier-Garcia (metteur en scène) 35 Entretiens avec deux acteurs 37 L’affiche 40

Soyez patients; creusez avec moi le tunnel de la question et sachez attendre, non pas mes phrases – elles sont creuses – mais le chant qui montera lentement de la mer et viendra vous initier sur le chemin du livre à l’écoute du temps et de ce qu’il brise. Sachez aussi que le livre : a sept portes percées dans une muraille large d’au moins deux mètres et haute d’au moins trois hommes sveltes et vigoureux. Je vous donnerais au fur et à mesure les clés pour ouvrir ces portes. En vérité les clés, vous

découvertes sans jamais s’attacher de peur de trop souffrir… On nomme ces femmes insaisissables des « vagabondes ». Colette attribue ce trait de personnalité à chacun de ses personnages féminins et renvoie ainsi sa propre image en construisant le récit « miroir ». Mais le comportement de toutes ces jeunes femmes reste particulièrement confus et n’est pas toujours évident à analyser. Que désire donc réellement la femme héroïne des romans de Colette ? Même si la figure féminine telle que la conçoit l’écrivain

 » - Le théâtre et ses ombres : « Comme toute culture magique que des hiéroglyphes appropriés déversent, le vrai théâtre a aussi ses ombres ;et, de tous les langages et de tous les arts, il est le seul à avoir encore des ombres qui ont brisé leurs limitations. » « le vrai théâtre parce qu’il bouge et parce qu’il se sert d’instruments vivants, continue à agiter des ombres où n’a cessé de trébucher la vie. » - Théâtre et langage : « Le théâtre qui n’est dans rien mais se sert

mécontents. Cela va nous mettre face à ce qui peut être finalement le maître mot de la philosophie Strip-Tease : l’ambiguïté. En effet, les textes de ces poèmes permettent à Strip-Tease de se laisser aller à la revendication. Strip-Tease ne serait qu’un miroir, qu’un défenseur d’une culture sociale, qu’anti-information, qu’émission permettant au spectateur d’avoir enfin un regard critique sur la télévision. Strip-Tease se pose en mal aimé, en alternative à la télévision habituelle. L’ambiguïté réside ici

Philosophiques ou Lettres Anglaises  (1734), Pensées sur le gouvernement (1752), ou encore Dictionnaire philosophique (1764). Il publie également des contes comme Candide ou l’optimiste (1759), L’ingénu (1767) ou encore Zadig ou la destinée (1748) II- Résumé de l’ouvrage : Préalablement, il est bon de savoir que Zadig a été publié pour la première fois en 1748, puis réédité en 1756, soit 8 ans plus tard. Cet ouvrage proche de Candide ou de Micromégas et est écrit sous la forme d’un apologue, plus