Résumé Le Miroir Brisé

différenciation et la diversification de sujets et objets, les transcendances individuelles et du collectifs et les facticités représentés par les acteurs, n'assurent pas le développement de sentiments et émotions reconnaissables par les scènes, chapitre, résumé, aperçu ou avant-garde du déroulement. Les émotions implicites tels que la philosophie du rire, du deuil, de la trahison, de la colère, de l'intrigue et frustration, de l'égo et du prestige, du combat, du combat corporelle et spirituelle en général

loin, Cornélius "revoit" (l.4) puis "admire" (l.12) avant de finalement ôter ses lunettes (l.19). Le "terne miroir plombé" du canal est ainsi le lieu d'un passage de la vision objective à la vision subjective. Miroir aux propriétés étranges, il reflète aussi bien la mélancolique Harleem que les souvenirs de Cornélius dont la conscience fait le voyage, littéralement "de l'autre côté du miroir". L'auteur joue de la polysémie des verbes qui servent de même pour décrire le regard sur les choses et le

d’autres dans la pénombre. • L’utilisation du « trompe-l’œil » (3). Car l’illusion d’optique favorise l’imagination. • La « mise en abyme » (4), que ce soit au théâtre, ou en peinture. • L’occupation de l’espace, avec l’utilisation des lignes brisées, des colonnes torses, des décrochements, des courbes (le dôme en particulier). Quelques artistes : • Des peintres : Le Caravage , peintre italien – Les frères Carrache, italiens eux aussi - Murillo, peintre espagnol – Rubens et son élève Anthony

monde Extrait 3 Extrait des Vrilles de la vigne : la conscience de soi dans « Le Miroir » Le recueil des Vrilles de la vigne est le premier ouvrage que Colette publie sans le contrôle de Willy, son premier mari, dont elle s’est séparée. Le livre commence par une fable éponyme (= « dont le nom (onoma) est inscrit sur (epi) le titre) pour illustrer la volonté de l’autrice de trouver son propre chant. Dans « Le Miroir », Colette convoque une figure de son passé : Claudine, personnage qu’elle avait

C'est ainsi que le lecteur peut arriver à avoir l'impression de se trouver dans un espace démesuré où les chemins se succèdent comme des passages et où les labyrinthes entrainent le promeneur dans une éperdue ivresse du paysage. Analyse du roman: résumé, extrait et appréciation Le récit commence avec une promenade dans Paris. Cette première partie se déroule plus précisément dans Le Passage de l'Opéra. Ici, le narrateur nous offre une ample description de l'entourage grouillant de l'époque. Il plonge

pense enfin avoir brisé la routine de son mariage bourgeois, et s’apprête à tomber amoureuse d’un beau vicomte qui l’invite à danser. Elle se croit à un tournant de sa vie, mais la danse s’avère être une valse, c’est à dire une série de cercles qui, après l’avoir éloignée tout au fond de la galerie de bal, la ramène à son siège de départ, près de son mari. Enfin, la circularité est aussi celle des éléments de l’intrigue, qui semblent se répéter en boucle. En effet, si l’on résume le roman, on s’aperçoit

mois. L'action est complexe, intrigue sentimentale et intrigue politique. La règle de vraisemblance est négligée, ainsi que celle de bienséance, en effet la mort de nombreux acteurs est vue par le spectateur. De plus, le drame romantique se veut le miroir du monde et de la nature humaine en mélangeant plusieurs registres, ainsi, Victor Hugo dans cette pièce de théâtre allie le comique et le tragique, comme dans la vie quotidienne, la fatalité qui condamne et unit Hernani et Doña Sol jusqu’à la mort

« gros mots » • Chérubin aggrave son cas en évoquant les dames qui le séduisent : Fanchette, Marceline, Suzanne, la Comtesse. ( Toutes les femmes du château. C- Le comte qui fait irruption, brise l’aspect ludique de la scène • La seule présence du Comte glace les deux jeunes gens et brise leur univers ludique. (L’univers ludique présenté dans la deuxième partie du commentaire) « Chérubin voit le Comte entrer ; il se jette derrière le fauteuil avec effroi » ( Malgré cette atmosphère

– La pêche à la baleine), la patrie (L'épopée – Histoire du cheval) et le travail qu'il présente comme une exploitation et une humiliation (Le temps perdu - Le paysage changeur – Dîner de têtes - L'effort humain où l'on trouve une expression qui résume tout : " La terrifiante chaîne où tout s'enchaîne / la misère le profit le travail la tuerie ". Prévert dénonce aussi d'autres oppressions comme l'emprisonnement (La chasse à l'enfant) ou la colonisation (L'effort humain) ou encore l'école et ses

les éléments visuels se combinent et se conjuguent. Plus ils sont nombreux à interagir, plus le sens doit normalement se préciser et se resserrer. Mais attention, changer l’interprétation d’un élément pourra changer tout le sens de l’image. Pour résumer, : Quel est le "message" porté par cette image ? Pour l’interpréter il faut toujours se rappeler que l’œuvre a toujours été réalisée dans un contexte précis et particulier et qu’elle est le signe d’une époque ou d’une société été parfois bien différentes