Résumé Le Fils Naturel

| Résumé[ • Acte I - Arnolphe, aussi appelé M. de La Souche, est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal, mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été tenue à l’écart des réalités. Horace, fils d’Oronte (un autre ami d’Arnolphe)

L’histoire se passe durant la naissance de ses enfants et durant leur vie. L’auteur raconte sa relation avec ses deux enfants (Thomas et Matthieu) lourdement handicapés, à la fois physiquement et mentalement. Le titre Où on va, papa? découle du fait que son fils Thomas ne cesse de répéter cette phrase lorsqu'ils sont en voiture. Il s’ouvre sans réserve, avec des touches d’humour, d’ironie, de sarcasmes.2 SYNTHÈE DE L’ŒUVRE Jean-Louis Fournier, l’auteur de ce roman, est le père de Thomas et Mathieu, les héros

Beaumarchais (1732-1799) Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799) est l’une des figures emblématiques du siècle des Lumières. Fils de l’horloger Caron, Beaumarchais connut une enfance heureuse dans ce milieu parisien d’artisans de luxe. L’aisance matérielle et l’appui moral contribuèrent à son assurance. Les Caron étaient des bourgeois ouverts chez qui l’on faisait de la musique, lisait, discutait interminablement. Il ne fait nul doute que cette liberté familiale est l’un des déterminismes

avec l’assassinat du roi Henri IV le 14 mai 1610 par le fanatique charentais Ravaillac. Il a alors 20 ans. I. La première moitié du XVIIème : période tumultueuse A. La régence de Marie de Médicis (1610-1617) A la mort d’Henri IV en 1610, son fils Louis XIII a 8 ans et demi. La régence est alors confiée à Maris de Médicis, la mère de l’enfant. L’organisation administrative et policière du royaume est imparfaite. La régente est influencée par un couple italien Leonora Galigaï et son mari Concini

répondre à cette interrogation. Sans pour autant entrer dans les détails, nous tenons à présenter un bref aperçu sur ce que le sceau des prophètes et des messagers Mohamed (que le salut et la paix de Dieu soient sur lui) a apporté au monde. Nous avons résumé ces apports dans les points suivants : 1. Mohamed (que le salut et la paix de Dieu soient sur lui) libéra l'homme – par révélation divine — de l'asservissement de l'homme à l'homme et de sa domination à l'asservissement de l'homme à son Seigneur

Fiche Cours Nº : 91002 FRANÇAIS Toutes séries LE TALENT C’EST D’AVOIR ENVIE Résumé d’œuvre : Candide de Voltaire Plan de la fiche 1. Contexte de création 2. Résumé Contexte de création Candide est un conte en trente chapitres numérotés et titrés, publié à Genève et diffusé en février 1759, simultanément à Genève, Paris et Amsterdam. En 1761, une édition augmentée paraît à Paris. Le contexte historique Au cours des années qui précédèrent Candide, des événements dramatiques se

- Présentation de l’auteur et de son œuvre : I-Jean- Marie Gustave Le Clézio. a- Le Clézio est fils d’un anglais et d’une française de l’Ile Maurice, dans l’Océan indien où il a passé son enfance .Il a vu le jour, en1940,à Nice, la capitale des Alpes maritimes, une ville réputée par la beauté de ses rivages et la douceur de son climat pendant toute l’année. Malgré ses nombreux voyages qui le mènent vers les rares régions encore vierges du Mexique, Le Clézio passe le printemps et l’été

peut-être né en 1474 à Séville, mais d'autres historiens l'y font naître vers 1484 ou 1485[]. Il est le fils de Pedro de las Casas, modeste marchand. À 9 ans, il voit le retour de Christophe Colomb à Séville après son premier voyage. Son père et son oncle ont participé au deuxième voyage de Colomb qui part de Cadix, le 25 septembre 1493. Bartolomé de las Casas a gardé une relation intime avec les fils de Colomb. Au retour de son père, il côtoie un esclave indigène et, en 1502, il part pour le nouveau

que, quelle que soit la différence de sens originel, le mépris est proche voisin de la méprise ! Je ferme la parenthèse. Le mépris de la femme, première étape de la misogynie, va conduire d’une manière que l’on qualifiera de naturelle (comme on parle d’une pente naturelle) vers un sentiment plus violent : la haine. La haine de la femme. Non pas de telle femme, mais de la femme en tant que femme, du genre féminin (de la gente féminine, pour reprendre une expression d’un rappeur dont nous aurons l’occasion

avec séparation des pouvoirs. Avant 1789 il existait des lois fondamentales du royaume qui fixé le contenu de la répartition du pourvoir, notamment la transmission de la couronne. C’est donc une monarchie héréditaire ( succession de père en fils). C’est le fils ainé qui succède le roi, sauf si il décède. L’autre règle c’est succession de male en male ( argument coutumière qui met les femmes a l’écart). Ce régime est inspiré du droit catholique. La règle de l’indivisibilité consiste a ce qu’il