Réalisme Et Merveilleux Dans Gargantua

hésite entre farce et œuvre sérieuse ? Conclusion :Deux scènes s’appuyant sur la parodie grotesque. Se moque d’une scène pathétique avec la confrontation du père Ubu et les personnages de secondes classes. Les personnages entrent dans une forme de réalisme. Un théâtre extrêmement régressif, absurde, fonctionne à l’intérieur dans un système de référence.Le malade Imaginaire Acte 2, scène 5 (début)Introduction : à revoirEn 1673, Molière propose au roi une nouvelle comédie ballet qui doit divertir la

gagner sa vie et compléter sa culture humaniste. En 1532 il entreprend une vaste épopée burlesque qui raconte l’histoire de bons géants. Le ton y est comique. Textes lu en classe: L’éducation de Gargantua Rabelais a recours à des images concrètes et à des modèles de l’antiquité. La journée de Gargantua: 1) Matières: sciences, lettres, sports, religion, musique, calligraphie => culture encyclopédique (théorie + pratique) 2) Horaire: longue journée, pas d’horaire strict, on suit le rythme de l’élève

de manière autonome : philosophe qui fait tout passer par l’expérience : empirique, empirisme. On a un intermédiaire de vie mais aussi philosophique. Une opposition entre la parole inutiles et l’action productive (parallèle avec Rabelais : dans Gargantua, il montre que l’homme doit agir pour former son destin). Les enseignements qui sont donné ici sont relatifs à une certaine forme de sagesse. C’est une morale qui manque d’enthousiasme mais qui rend la vie supportable. Cet épilogue est une étape

moins sensible à l’écriture de l’auteur, à se questionner sur le réalisme des personnages. Pour le lecteur, par une personnalité poussée à l’extrême d’un personnage, la possibilité de retrouver une personne semblable dans son environnement ne lui semble pas envisageable. La transposition de l’œuvre littéraire dans son propre monde lui parait donc inapplicable. C’est le cas de certains romans fantastiques, de certains romans merveilleux ou encore de science-fiction. En effet dans ce type de romans,

l'Antiquité, le héros existait. C'est ce héros antique, un sur-homme sinon un demi-Dieu, doté dans tous les cas d'un courage inégalable et d'un destin exceptionnel, qui détermine le premier héros romanesque. Ce héros évoluera avec le roman (héros merveilleux, vertueux, noble, bourgeois...) jusqu'à subir une révolution au XIXe siècle : devenir médiocre (sans éclat, inférieur à la moyenne). Le roman, qui baignait jusqu'alors dans la constante de « l'exceptionnel », met maintenant en scène la médiocrité

rappelle clairement celui des humains : il fait rire et réfléchir. Au 16ème siècle : François Rabelais met en scène des personnages qui proposent à la fois une satire de la société et une réflexion philosophique sur l’homme (les géants Pantagruel et Gargantua). Au 17ème siècle : Le genre romanesque se diversifie, cela donne naissance à des types différents de personnages. La parodie des valeurs chevaleresques conserve une place importante (Don Quichotte – 1605, Cerventès – par exemple. Mais aussi le

Histoire littéraire et culturelle : l’humanisme -Perspectives secondaires. Genres et registres. Genre : œuvre hybride, entre roman, conte merveilleux (les géants)et traité argumentatif. Mélange des registre : comique, épique, didactique. Plan de la séquence Problématique : Gargantua, du rire médiéval à la réflexion humaniste. Edition : RABELAIS Gargantua (Pocket n° 6089) A. LECTURES ANALYTIQUES   |5 extraits, étudiés en classe, feront partie de la liste d’oral

par le sport (développement physique).Les Humanistes croient au progrès de l’homme. Le modèle culturel est l’Antiquité (avec Horace, Platon, Aristote…) : on traduit et on imite les textes anciens Ecrivains représentatifs : Rabelais Pantagruel, Gargantua ; Montaigne Les Essais Contexte historique : naissance de l’imprimerie avec Gutenberg ; les pouvoirs de l’Eglise et de l’Etat sont complémentaires ; la plupart des érudits sont clercs pour pouvoir toucher des revenus réguliers ; après 1550, les

Bienséance) - parallélisme & symétrie | - dialogue argumentatif -ironie, implication du lecteur - éloquence   |   Ecrivains & œuvres   | T. More (L’Utopie,1516), Erasme (Eloge de la folie,1509),  Rabelais (Pantagruel, 1532 et Gargantua,1534) ; Montaigne (Essais, 1580-1588)…. | Ronsard (Odes, 1550 ; Amours de Cassandre,1552 ; Sonnets pour Hélène, 1578) ; Du Bellay (Les Regrets, 1558 ; Les Antiquités de Rome, 1558), Baillif, Jodelle.. | D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné

Bienséance) - parallélisme & symétrie | - dialogue argumentatif -ironie, implication du lecteur - éloquence | Ecrivains & œuvres | T. More (L’Utopie,1516), Erasme (Eloge de la folie,1509), Rabelais (Pantagruel, 1532 et Gargantua,1534) ; Montaigne (Essais, 1580-1588)…. | Ronsard (Odes, 1550 ; Amours de Cassandre,1552 ; Sonnets pour Hélène, 1578) ; Du Bellay (Les Regrets, 1558 ; Les Antiquités de Rome, 1558), Baillif, Jodelle.. | D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné