Réalisme Dans Le Père Goriot

du progrès Défendre les valeurs humaines, morales et sociales en faveur de plus de liberté et de justice. Chercher la voie d’un bonheur collectif et moral Beaumarchais Balzac XIX : Le romantisme Le réalisme et le naturalisme Le symbolisme Romans La comédie humaines : « le père Goriot » « les illusions perdues » Les rougon-Macquart : « la Bêtes humaines » « l’assommoir » « madame Bovary » « l’éducation sentimentale » « Bouvard et Pécuchet » Zola Romans Flaubert Romans Le

discours, de la description et du portrait, et en leur fournissant des outils d’analyse dont ils se resserviront par la suite. L’œuvre pourra en outre être lue à la lumière de l’objet d’étude « Un mouvement littéraire et culturel du XIXe siècle : le réalisme », dont l’auteur de La Comédie humaine est l’un des principaux représentants. On mettra à profit l’Avant-propos de La Comédie humaine et l’introduction de Félix Davin aux Études de mœurs, dont le dossier de l’édition GF propose de larges extraits

le temps - La Guerre des mondes) - Arthur Conan Doyle (Sherlock Holmes) - Herman Melville (Moby Dick) - Lewis Carroll (Alice au pays des merveilles) - Bram Stoker (Dracula) - Charles Dickens - Robert Louis Stevenson - Alphonse Daudet - Andersen Réalisme et naturalisme: Émile Zola (Les Rougon-Macquart) - Les Soirées de Médan - Guy de Maupassant Philosophie : Hegel - Søren Kierkegaard - Karl Marx - Bakounine - Friedrich Nietzsche - Giacomo Leopardi - Gobineau (Darwinisme social) - Allan Kardec -

scène un anti-héros ? Objectifs : - Etudier le genre du roman et son évolution à travers les siècles - Etudier le personnage de roman et son évolution à travers les siècles (du héros au anti- héros) - Etudier un mouvement littéraire : le Réalisme Lecture cursive : L’Etranger, d’A. Camus. Lectures analytiques : - incipit de l’œuvre - partie I, chap. 2 : l’arrivée de Duroy chez Forestier - partie I, chap. 3 : l’écriture de l’article avec Madeleine Forestier - partie I, chap 10 : la mort de

rideaux)Scène : dialogues / discours Dans le Père Goriot , le plus utilisé est la scène alors qu’au théâtre ce sont les ellipses. II- Ordre de la narrationVOIR SCHÉMA COURS1- Ordre chronologique 2- Analepse = retour en arrière (ex: discours de Mme de Langeais sur le passé du Père Goriot : se fortune et mariage de ses filles(participe au réalisme) – explications : mépris total pour le Père Goriot pour ses filles.Caractéristiques (comment on

la nature et la recherche de la perfection, De nombreux auteurs font de la fin de leur histoire le début d'une autre, faisant ainsi travailler l'imagination de leurs lecteurs. Ainsi l'écrivain réaliste Balzac utilise ce procédé dans son roman Le Père Goriot.. L'étude de ce texte nous permettra de montrer l'image du double enterrement mis en place par l'auteur. Nous essayerons d'analyser les notations réalistes et la transposition du réel, la construction du portrait et l'impression dominante que le

de Sallenauve, (1856), et aussi les Paysans publié en 1854 par sa veuve, Évelyne Hanska. L’élaboration L’idée de relier entre eux les récits en faisant revivre les protagonistes de chaque roman ou nouvelle ne vient à Balzac qu’en 1835 avec le Père Goriot où l’on voit reparaître pour la deuxième fois l’important Eugène de Rastignac déjà présenté en 1832 dans « Étude de femme » et « Autre étude de femme » publié alors sous le titre « Une conversation entre onze heures et minuit » inséré dans les «

Alors que dans les romans de la comédie humaine, comme le Père Goriot, s'achève par un réel apprentissage d'un jeune provincial, lançant un défi à Paris, le roman Illusions Perdues raconte l'apprentissage de l’échec d'un autre jeune provincial qui quitte sa ville natale Angoulême pour tenter à Paris une facile carrière de journaliste à une vie difficile et artiste comme le Cénacle, dirigé par son ami d' Arthez, et ce malgré l'avertissement de son ami Lousteau, auquel il a demandé de l'introduire

transformée avec le romancier. fluctue et une quantité de détails insignifiants ponctue les flots calme ou tumultueux de l’existence, Le romancier, même d'armes de pratique, d'un résolution de fer et d'une voyance sans concessions dans la suprématie du réalisme ne peut représenter cette diversité. Comme le dit Maupassant dans la préface de Pierre et Jean, la seule alternative consiste dans le choix judicieux des adjectifs, des noms, des phrases, des situations pour tendre à la réalité. Le romancier réaliste

lieu ou plusieurs lieux bien qu’ils soient « axés » au courant de l’histoire. Le lecteur peut donc s’imaginer ce qu’il lui plait comme dans Candide où les lieux s’enchainent. On a aussi la liberté d’imaginé le « temps » de l’histoire ; dans le Père Goriot de Balzac, l’action se déroule en 1819. On peut donc imaginer à partir de cette date, les vêtements, les habitudes des gens et bien sur les lieux avec les décors et l’atmosphère de cette époque. Mais si nous pouvons voyager au cours de nos lectures