Ruse de guerre

1944. A cette date Staline dirige la Russie depuis déjà 15 ans, malgré le refus de Lénine de le voir au pouvoir, l’armée rouge vient de libérer les pays de l’est de l’envahisseur allemand et Staline se voit déjà envahir l’Allemagne et remporter la guerre à lui tout seul. Sous des aires « bonhomme » Staline est un fin stratège et il n’hésita pas à aider l’Allemagne et Hitler avant de se retourner contre eux en 1941, il en profitera pour mettre sous contrôle soviétique les pays de l’est. C’est aussi

Erich Maria Remarque est un auteur Allemand du 20éme siècle. 3) montrer la première de couverture 4) Le genre : C'est un roman historique. 5) A quelle époque et ou commence t- elle ? Ce roman commence à 9km du front pendant la première guerre mondiale. 6) Personnage principal : Le personnage principal est Paul Baumer. 7) La situation du personnage au début : C'est un jeune étudiant de 19 ans qui suit les cours du professeur Kantorek. Celui ci leur bourre le crane et fait de la

Introduction 3 De l’Art de la Guerre… 4 Qui est Sun Tzu ? 4 Qu’est-ce que « L’art de la Guerre » ? 5 … A l’Art de la Négociation 7 Ce que « L’art de la Guerre » apporte à la Négociation 7 Conclusion 11 Introduction L'art de la guerre est le premier traité de stratégie au monde. Rédigé vers le Ve siècle avant J.-C., il développe des thèses originales, qui s'inspirent de la philosophie chinoise ancienne. Considérant la guerre comme une réalité inévitable, il

donc calquée sur la société féodale contemporaine. A travers la peinture des animaux reflètent le miroir des êtres humains. Les personnages : * Renart : le goupil espiègle, personnage principal de ces récits. Complexe et polymorphe. Il incarne la ruse intelligente. * Isengrin : le loup bête et cruel, éternel ennemi de Renart, toujours dupé (trompé). Son épouse Dame Hersent la louve, fut jadis « violée » par Renart ; d'où une éternelle rancœur. * Noble, le lion : roi * Chanteclerc,

dit mon époux » (VI, v. 244). C'est ensuite une divinité par ses prouesses. Lorsqu'il lance le disque, au pays des Phéaciens, celui-ci « dépass[e] toutes les marques » (VIII, v. 192). Il parvient à s'extraire des situations les plus critiques par sa ruse, par son endurance, son expérience, son courage. Surtout, c'est sa destinée qui lui permet d'exister. Ainsi Ulysse est élevé au rang d'héros. Parce qu'il est soutenu par les dieux, il peut se rendre aux Enfers et confronter la mort. Il dépasse ainsi

......................................................................... 8 I. INTRODUCTION. Le Philoctète met en scène un épisode particulier relatif à la guerre de Troie. Alors que le siège de la ville se prolongeait, Ulysse captura le devin Hélénos. Celui-ci les informa du décret divin annonçant que les Grecs ne gagneraient la guerre que lorsque Philoctète avec l’arc d’Héraclès et le sang d'Achille, donc son fils Néoptolème, combattraient avec eux en Ilion. Ulysse fut ainsi mandaté par les

(grâce à sa ruse légendaire et la protection d'Athéna il tuera toutes sortes de monstres et échappera à la vengeance de Poséidon) ; l'endurance car il ne renonce jamais, quoiqu'il lui en coûte ; la vengeance car lorsqu'il revient secrètement à Ithaque, il tue tous ses anciens amis qui courtisaient Pénélope. Il a cependant aussi des traits peu flatteurs comme : le fait qu'il refuse d'honorer sa parole (lorsque les rois Achéens lui demandent d'honorer sa promesse de participer à la guerre de Troie,

Ulysse en grec ancien et en anglais. Le nom français du héros vient de son nom latin Ulixes, plus tard devenu Ulysses. Sa spécialité est la ruse. Étant a peine marié et tout juste père, il part avec d'autres rois mener la guerre contre la ville de Troie, en Asie Mineure. Il élabore notamment le stratagème du cheval de Troie. Il se distingue au cours de cette guerre, racontée dans l'Iliade d'Homère. Voyant que les forces grecques n'arrivaient pas à faire tomber les murs de Troie, il a l'idée de construire

L'ouvrage est fondé sur le principe suivant : gagner ou perdre une guerre ne se fait pas par hasard, ni par l'intervention des dieux ou des esprits. C'est une question de méthode et de stratégie. De bons principes stratégiques conduisent à la victoire, il est donc important de les étudier. Il y a deux concepts de base dans ce traité : d'abord, « prendre les possessions de l'adversaire en entier » (au début du chapitre 3), et les conserver – si possible – intactes, en particulier les civils, car

tout associé aux « reproches » : c’est bien un jeu de piste mais les indices désignent assez clairement la nature du trésor à découvrir. Une histoire d’amour se dessine entre une femme et un jeune, très jeune, garçon. Davantage la désignation de la guerre comme décor de cette aventure voire comme responsable semble presque sacrilège. Enfin la métaphore filée du deuxième paragraphe joue dans cette esthétique de la provocation un rôle exemplaire. Tout d’abord elle étonne par sa trivialité voire son