Rupture de pente

rhomboïdale est une pyramide dont les faces lisses constituent une pente à sections d'inclinaisons décroissantes en direction du sommet. La non-uniformité de cette pente pourrait s'expliquer par des difficultés architecturales et par l'instabilité de la maçonnerie de la pyramide. Cette pyramide à deux plans inclinés, l’un partant du bas jusqu’au milieu de l’édifice (58° de pente), l’autre allant vers la pointe (43° 22’). Cette rupture de pente serait due à une erreur d’appréciation des architectes. Cet

sur les caractères morphosédimentaires de la zone d’alimentation et de la zone amont des modelés de coulées de débris, permettent de mettre en évidence une topographie originale appelée cône apical, situé à la limite entre la paroi et le dépôt de pente, secteur où s’accumule le matériel sédimentaire qui est mobilisé par la coulée de débris. Sans cette accumulation préalable et même si les conditions météorologiques sont favorables, la coulée de débris ne peut se produire. Inversement, certaines coulées

Avalanches     Une avalanche est le mouvement qui, à partir d'un point, se communique à tout ou partie de la neige déposée sur une pente de montagne. On appelle aussi avalanche le mouvement qui suit le départ en bloc d'une masse de neige déposée sur la même pente.     Les avalanches se produisent dans toutes les régions où les conditions de pente et d'enneigement sont réunies. Cependant, les régions les plus touchées sont celles où la densité de la population et l'intensité de l'activité humaine

sismologie pour connaître la structure interne du globe terrestre. La sismologie est l’étude des séismes et de la propagation des ondes sismiques. Un séisme est une secousse dans l’écorce terrestre correspondant à la rupture de roches le long d’une fracture ou faille. La rupture est provoquée le plus souvent par l’accumulation de tensions ; plus rarement elle est due à une activité volcanique ou une explosion artificielle. L’énergie est brutalement libérée à partir d’un point appelé foyer. L’épicentre

­ graphique : droite subdivisée en segments :  ­ numérique : en forme de rapport numérique : 1/50 000  c – Altitude des courbes de niveau  L’altitude des courbes est souvent indiquée le long de leur tracé. En principe le  bas des chiffres indiquant cette altitude est dirigé vers le bas de la pente.  d – Equidistance et écartement (Fig. 1)  C’est  la distance  qui sépare deux  plans horizontaux  successifs  : sur la carte elle  correspond  à  la  différence  d’altitude  entre  deux  courbes de niveau consécutives. Il ne  faut  pas  confondre 

Rolle affirme que toute fonction différentielle à valeur réelle qui a des valeurs identiques à deux endroits distincts sur son graphique doit avoir au moins un point stationnaire entre les deux, c'est-à-dire une position où la dérivée première (la pente de la ligne tangente au graphique d'une fonction) est nulle. Si f(a) est égale à f(b), il s'ensuit que Le théorème de Rolle affirme qu'il existe un nombre réel c (a, b) tel que f'(c) = 0 dans cette situation exceptionnelle. Différence entre le théorème

soutènement découle de l'étude de la rupture du terrain situé derrière le mur. Considérons un massif en équilibre élastique soutenu par un écran. Il exerce sur l'écran une action appelée pression naturelle des terres ou pression au repos. Si on écarte d'une manière quelconque l'écran, on constate que le terrain se décomprime et son action décroît. On lui donne le nom de poussée. Si l'on augmente le déplacement, on atteint des contraintes critiques qui mettent le sol en rupture. Si on effectue le procédé inverse

de l’air reste très froide, les cristaux composant la neige ne frittent pas mais forment des cristaux appelés gobelets. C’est une couche particulièrement instable. Une avalanche est la rupture d’équilibre qui entraîne le glissement d'une quantité de neige d’autant plus importante que la pente est raide. La rupture peut être d'ordre thermique (effets climatiques) ou mécanique (effets du poids, surcharge). Il existe divers types d’avalanches définis en fonction de l’état de la neige. Les avalanches

l’essai on trace la courbe oedométrique, variation de volume ou plus spécifiquement variation de l’indice des vides e en fonction du logarithme décimal de la contrainte (Fig.6.3). En simplifiant, on obtient une première droite de faible pente et une seconde droite de pente beaucoup plus élevée. L’intersection des 2 droites est la contrainte de préconsolidation maximum que le sol a connu dans son histoire. Cet essai permet de connaître l’état initial du sol. Si la contrainte effective actuelle σ’v0 est

se produisent soit par effondrement, soit le long d’une pente. Ils peuvent être rapides et subits ou lents et continus.  Mouvements lents et continus : déformation progressive qui peut être parfois accompagnée de ruptures mais pas d’accélération brutale.  Mouvements rapides et discontinus : événement soudain, qui dépend de la nature des matériaux impliqués  ORIGINES DES MOUVEMENTS DE TERRAIN ?  Phénomène à dominante gravitaire (rupture)  Phénomène à dominante hydrique (« liquéfaction » ; dissolution