Rumeur d'Orléans

l’Allemagne, pragmatique, est différente de la France, bureaucratique... Ce n’est pas en France que l’on s’intéressera, un jour, du côté de l’Etat ou des médias, à ce que font les Institutionnalistes depuis 50 ans ! On se satisfait trop facilement de la rumeur, selon laquelle « ils veulent détruire nos institutions » (voir conclusion du livre), mais la France ne représente que 1% de la Planète, et dans le reste du monde, des personnes et des groupes, malgré le barrage des langues, se tournent vers la pédagogie

Le père Jean Calas est arrêté pour accusation de meurtre, soit disant pour l’empêcher de le convertir au christianisme. En 1762, trois enfants découvrent le corps d’une jeune femme dans un puits, fille d’archiviste. Cette affaire fait renaitre une rumeur que quand les enfants voulaient se convertir au christianisme, les parents tués leurs enfants. Une attestation médicale atteste qu’elle était morte avant d’être dans le puits. Les deux frères Calas vont voir Voltaire, qui se met à la place de la justice

période nouvelle de la royauté car il s'agit d'une période libérale. Dès lors va naître un schisme. Pour les royalistes (les légitimistes) le seul roi légitime est le fils de Charles X. Mais pour les Orléanistes le roi légitime est Louis Philippe d'Orléans. Depuis 1830, il y a une bataille entre les deux partis. Au milieu du 19e il y a un état d'esprit nouveau qui veut la modernité à savoir la république. Les républicains vont faire la révolution de 1848 ce qui abolit la I ère république : louis

la mine de Dourges, dans celle d'Ostricourt et dans les puits encore en exploitation de Courrières. Elle sera générale dans quelques jours si le gouvernement n'y prend garde. Je lui demande de ne pas envoyer de troupes là-bas."Entretenu par mille rumeurs sur les responsabilités et les mensonges de la compagnie concessionnaire - les ingénieurs des Mines seront inculpés d'homicide par imprudence, avant d'être mis hors de cause -, le courroux est encore attisé par les anarcho-syndicalistes. Ceux-ci,

l’incohérence est stigmatisée au profit de la cohérence, ou de l’unité, qui se trouvent décidément portées non seulement au rang de normes, mais de valeurs. Ainsi, l’attitude de la société est critiquée pour la défense de Mme de Bargeton, qui fait l’objet de rumeurs, de calomnies : on prétend qu’elle est la maîtresse de Lucien, c’est faux. Le narrateur pointe un paradoxe : « Mme de Bargeton allait se trouver dans cette situation bizarre où se sont trouvées beau- coup de femmes qui ne se sont perdues qu’après

plus poussée. « Et alors… » a planché sur une nouvelle affectation des espaces, où le vélo a la part belle. Les architectes imaginent des voies rapides sur les toits, au milieu de toitures végétalisées et de jardins, permettant de relier la porte d’Orléans à celle de Clichy en 25 minutes. A ranger dans la catégorie rêve ou réalité ? W MICKAËL BOSREDON Exposition « +2°C… Paris s’invente ! » jusqu’au 15 déc. au pavillon du Lac, jardin de Bercy (12e). LUNDI 18 OCTOBRE 2010 GRAND PARIS 3

Bourdieu s'intéresse à l'école, d'autres s'intéressent aux loisirs comme J. Dumazedier, question des organisations à travers la figure de Crozier et également les médias de masses avec l'oeuvre d'Edgar Morin (le mec vieux à la télé sur canal) >> "La Rumeur d'Orléans" Pierre Bourdieu Commence à écrire des les années soixante. Fils de facteur dans le Béarn, sur lequel il réalise ses premiers travaux. Pierre Bourdieu fait parti des "miraculés scolaires" sur lesquels il écrira plus tard. Part faire son service

Banania sur tous les murs de France. ».61 Momo ne peut pas cacher sa panique devant l’un des gardes de corps de monsieur N’da Amédée, en pensant qu’il va le manger; C’est pas vrai que les noirs mangent des enfants dans leurs pains, c’est des rumeurs d’Orléans, tout ça, mais j’avais toujours l’impression que je lui donnais de l’appétit et ils ont quand même été cannibales en Afrique, on peut pas leurs enlever ça.62 Au sujet de l’un de ces Africains, monsieur N’Da Amédée : Il parait qu’il avait

leurs serviteurs. -Texte 4 Bossuet  Oraison funèbre de Henriette-Anne d'Angleterre (1670) Monseigneur, j'étais donc encore destiné à rendre ce devoir funèbre à très haute et très puissante princesse Henriette Anne d'Angleterre, duchesse d'Orléans. Elle, que j'avais vue si attentive pendant que je rendais le même devoir à la reine sa mère, devait être si tôt après le sujet d'un discours semblable, et ma triste voix était réservée à ce déplorable ministère. Ô vanité ! ô néant ! ô mortels

d’Éros. Dans les petites consciences idolâtres et sans feu, le masculin étend désormais son monopole monotone. Quand les seuls biens convoités sont les instruments, ou plutôt, car cela suffit, les cocardes du pouvoir et de la réussite sociale, la vaste rumeur se répand, se faisant parfois clameur, ce qui ne change rien à sa fastidieuse répétition, selon laquelle les hommes sont toujours les gâtés, les pourvus, les nantis, et les femmes les dépourvues, les brimées, les injustement punies. Pour peu que certaines