Rue Étienne-Marcel

vont encore nous faire faire? » disait Gautier en arrivant à son journal. Georges Duval conte, à propos des besognes une amusante anecdote : journalistiques, « De retour à Paris, je trouvai un mot d'Emile de Girardin me priant de passer à la Liberté, rue Montmartre. Il me demande s'il me conviendrait d'entrer dans sa rédaction. J'accepte avec enthousiasme ; il me fait asseoir et me dit : « — Écrivez de suite un article sur la marine du Brésil. Deux colonnes. Vite. Nous sommes en retard. « Je n'oublierai

|Hervé Le Tellier, Pierre Rosenstiehl (1992) | |Georges Perec (1967) |Bernard Cerquilini (1995) | |Marcel Benabou, Luc Etienne (1970) |Michelle Grangaud, Oskar Pastor (1995) | |Paul Fournel (1972) |Ian Monk (1998)

AUGUSTIN, sermon 81, § 8, décembre 410. 8 “Peut-être Rome n’a-t-elle pas péri si les Romains ne périssent pas” 9 Comme témoignage des origines – comme témoignage de la fin, il y aurait donc cette photo, prise pendant l’été 1918, que Marcel Antonetti s’est obstiné à regarder en vain toute sa vie pour y déchiffrer l’énigme de l’absence. On y voit ses cinq frères et sœurs poser avec sa mère. Autour d’eux, tout est d’un blanc laiteux, on ne distingue ni sol ni murs, et ils semblent flotter

1. INTRODUCTION 1.1 Présentation du thème Tous les jours, dans notre environnement, nous entendons beaucoup de musique sans le vouloir. Elle est partout : dans les magasins, dans la rue, dans les salles d'attente, au téléphone, dans les restaurants, les cafés, les gares ou les aéroports. C'est ce qui s'appelle de la « musique de fond » ou « d'ambiance ». C'est une simple présence sonore dont le but est de distraire, de détendre ou

le catéchisme et les premiers rudiments de la langue française. Senghor commence ses études au Sénégal, d'abord chez les Pères Spiritains à Ngazobil pendant six ans, puis à Dakar au collège-séminaire François Libermann et au cours secondaire de la rue Vincens, qui s'appellera plus tard le lycée Van-Vollenhoven et aujourd'hui lycée Lamine Guèye. Il est déjà passionné de littérature française. Bon élève, il réussit le baccalauréat, notamment grâce au français et au latin. Le directeur du lycée et ses

le catéchisme et les premiers rudiments de la langue française. Senghor commence ses études au Sénégal, d'abord chez les Pères Spiritains à Ngazobil pendant six ans, puis à Dakar au collège-séminaire François Libermann et au cours secondaire de la rue Vincens, qui s'appellera plus tard le lycée Van-Vollenhoven et aujourd'hui lycée Lamine Guèye. Il est déjà passionné de littérature française. Bon élève, il réussit le baccalauréat, notamment grâce au français et au latin. Le directeur du lycée et ses

d’illustres prédécesseurs, Hugo pour n’en nommer qu’un, qui ont associé poésie et engagement. Ce n’est encore qu’à l’état d’intuition chez Breton, mais il sent que l’art peut être une arme révolutionnaire. Il fonde avec Fraenkel et un autre camarade, Etienne Boltanski, le premier de ses cercles intellectuels le Club des sophistes. Ce sont déjà des réunions très privées, les adhérents sont choisis, et Breton y règne en maître, en faisant montre d’une autorité distante qui annonce le style des réunions

: M. Etienne THEVENIN, Maître de conférences, Université de Nancy 2 : M. Luc FRAISSE, Professeur, Université de Strasbourg Remerciement J'exprime ma profonde gratitude à Monsieur le professeur Michel HAU, qui a dirigé mes travaux. La confiance qu'il m'a témoignée, le temps qu'il m'a consacré, et les conseils qu'il m'a donnés tout au long de mes travaux, m'ont largement aidé à mener à bien cette thèse. Je tiens à exprimer toute ma reconnaissance à M. Jérôme GRONDEUX, à M. Etienne THEVENIN

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a par exemple "atténué les propos quelque peu racistes qu'il prête à Marcel." (27) Un vieil "autocar plein d'Arabes" emmène Marcel, représentant en tissus, et sa femme Janine vers "les villages des hauts plateaux et du Sud". Marcel ne pense qu'à sa marchandise, Janine s'interroge sur son mariage, sa vie. Devant le désert qu'elle découvre, elle se trouve confrontée seule au monde et à soi, en quête de liberté. Janine et Marcel sont les deux seuls noms qui apparaissent dans la nouvelle. Janine est